Resident evil Operation raccoon city
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.


Forum regroupant les fans de resident evil
 
Accueil  Portail  Dernières images  Rechercher  S'enregistrer  Connexion  
https://www.youtube.com/channel/UC49Jz5NgJ1lPFmdfyycX33w/videos?tag_id=&view=0&sort=dd
http://www.resident-evil-addict.com/
http://raccooncity2025.forumsrpg.com/
http://pirate-des-mers.forumactif.org/forum
-40%
Le deal à ne pas rater :
-40% sur le Pack Gaming Mario PDP Manette filaire + Casque filaire ...
29.99 € 49.99 €
Voir le deal

 

 Paf le chien

Aller en bas 
Aller à la page : Précédent  1 ... 5 ... 7, 8, 9 ... 12 ... 17  Suivant
AuteurMessage
WAF
Le héros des survivants
Le héros des survivants



Messages : 1397
Points : 1401
Réputation : 0
Date d'inscription : 03/05/2013

Paf le chien - Page 8 Empty
MessageSujet: Re: Paf le chien   Paf le chien - Page 8 Icon_minitimeSam 2 Jan - 23:02

Mulhouse; Manoir Heizman

Une pluie battante frappait la toiture et des éclairs frappaient en faisant résonner leur coup aux alentours de 23H43 cette nuit là.
Le propriétaire de l'immense demeure situé au centre de la ville dormait paisiblement dans son lit douillé avec un masque de sommeil sur les yeux.
La porte de sa chambre était fermé, les lumières éteintes et les volets fermés.
En plus il avait une sécurité du tonnerre chargé de le protéger et même la nuit, au moins 40 agents étaient là pour faire leur ronde, il y avait des caméras et des chiens de gardes, rien n'aurait pu le tirer de son sommeil.
Enfin c'est ce qu'il aurait pu penser au premier abord car malgré le silence imposé dans la pièce, quelque chose vint troubler ce calme apparent.
La poignet se tourna et la porte s'ouvrit dans un grincement strident et crispant, cela fit sursauter l'homme qui se réveilla sur le coup, ne sachant pas ce qui se passait, il avait pourtant dit que personne ne devait le déranger dans son sommeil sauf si c'était grave.
Il eut la désagréable surprise de découvrir quand la lumière s'alluma, qu'il n'avait pas en face de lui l'un de ses employés, mais un homme avec le visage découvert dans un costume de lapin qui malgré sa noirceur, dégoulinait d'une substance rouge foncé qui avait une odeur horrible.
Le justicier avait le regard impassible, il s'avança vers le riche homme qui était entrain de sortir de son lit, laissant une traînée de sang derrière lui avant de fermer la porte pour être sur qu'il ne pourra pas s'échapper.
Bernard ouvrit rapidement un tiroir et prit le poignard s'y trouvent et il le pointa en direction de cette personne qui n'était plus qu'à deux mètres de lui et qui s'arrêta.
Personne ne semblait prendre la parole tout de suite, se regardant avec défiance, finalement l'un deux osa s'exprimer.

Bernard : Qui êtes vous !?

Maxime : Pinoulelapin ou Maxime Moulin ou encore celui qui va t'étriper dans quelques minute.

Bernard : Non ! A l'aide ! Aidez moi !

Maxime : Ferme là ! Tu es entrain de causer tout seul, il n'y a plus que nous deux de vivants ici.

Bernard : Comment !? Vous n'avez pas pu tous les tuer !

Maxime : Si, et tu seras le prochain.

Bernard : Mais qu'est ce que je vous ais fais !?

Maxime : Ce que tu m'as fais ?

Max chopa son bras et le craqua dans l'autre sens, le faisant hurler de douleur et lâcher son arme par la même occasion.
Le philanthrope se retrouva finalement le cul par terre, complètement apeuré, il se mit même à uriner dans son froc.
Une tache se forma en dessous de lui et le liquide alla jusqu'aux bottes du super lapin.

Maxime : Tu as commandité ces commandos, et à cause de ça, celle que j'aimais est mort, sale enculé !

Bernard : Je ne savais pas ! Je pensais que c'était la meilleur chose à faire pour que les choses aillent dans le bon sens.

Maxime : Dans le bon sens, tu te fous de ma gueule !?

Bernard : Ne me tuez pas, laissez moi vivant !

Maxime : Mais oui bien sur, ça servirait à quoi ? Je ne peux pas te faire arrêter, et même si je le pouvais, tu es tellement friqué que tu ne mettrais même pas un pied dans une prison, et tu me ferais éliminer juste après !

Bernard : Me tuer, ça ne servira à rien, ça ne vous la ramènera pas.

Maxime : Je sais... Mais je te ferai quand même payer tes crimes.

Bernard : Pitié, je vous donnerais tout ce que voulez ! Dites moi ce que vous voulez !

Maxime : Ta tête.

L'ombre de la mort toucha le pauvre homme trempé dans sa pisse, il était foutu.

19 Janvier 2016

A l'aube aux alentours de 8 heures, les gyrophares avaient encerclé le manoir en même temps que les vautours, il y avait de l'agitation.
Mais centrons nous sur un groupe d'individus en particulier, 4 agents de la DGSI avec Paul à leur bord, ils étaient de se diriger vers la chambre du proprio de l'endroit avec l'aide d'un major de police, ce dernier s'arrêta finalement juste devant la porte y menant pour s'exclamer.

Major : Allez y mais je vous préviens, ce n'est pas beau à voir.

Paul : A quel point ?

Major : Le légiste a passé une demi heure aux toilettes.

Paul : Ah quand même.

Finalement il entra avec ses collègues dans la chambre qui avait été très récemment repeinte en rouge mais pas avec de la peinture, il y avait des organes qui traînaient un peu partout sur les meubles et même par terre, Paul marcha au passage sur un rein à peine entré. Il y avait aussi des morceaux de chairs et de la peau, le tout collait au mur, c'était une chambre organique. Pour finir un squelette sans tête se trouvait sur le lit, posé sur le dos, le légiste était juste à coté et il semblait mal à l'aise, tout autant que les autres personnes dans la pièce.
Le superviseur évita de vider ses tripes sur le sol déjà bien recouvert et il alla parler à la seule personne qui pourrait l'éclairer sur ce qui s'était passé dans le coin.

Paul : Bonjour, Paul Duquart, DGSI, je voudrais savoir ce qu vous pensez savoir de ce qui s'est passé ici.

Légiste : Les fédéraux, ça doit être vraiment grave.

Paul : En effet, tuer autant de personne en une nuit dans un même endroit et avec la majeur partie d'entre eux étant bien entraîné, pour sur que ça nous inquiète.

Légiste : Hé bien tout ce que je peux vous dire, c'est que celui qui a fait ça a dû prendre son plaisir, il devait vraiment en vouloir à Bernard Heizman.

Paul : Et sinon, je me posais une question, où est la tête ?

Légiste : Aucune idée, ce qui est sur, c'est qu'elle n'est pas ici.

Paul : Donc le Tueur l'a emmené, un peu comme un trophée ou pour autre chose.

L'agent gouvernemental prit une pose de réflexion, il avait une petite idée de qui aurait pu faire ça mais il n'en avait pas la preuve.

Bischheim; Commissariat

Le Commissaire se trouvait dans son bureau comme à ses habitudes, il était entrain de rédiger la paperasse, il était quand même content, le plan diabolique des méchants avait été contrecarré. Mais des questions sans réponse demeuraient toujours. Qu'est il advenu du bras droit de Trystan ? Du type croisé dans les égouts par Violette ? Du duo J.J. ? Jérôme et Julien, Aaron et Neiji si vous préférez. Il n'en savait fichtre rien.
Mais alors qu'il faisait sagement ses devoirs, on toqua à la porte de son bureau, il invita à entrer.
Un flic lambda pénétra au sein de la scène avec une boite recouvert par un papier cadeau dans ses mains, il le posa sur le reposoir en face de type pas très loin de la retraite.

Flic : C'est arrivé pour vous Commissaire, l'expéditeur est inconnu, vous pouvez l'ouvrir sans crainte.

George : Très bien merci

Sa moustache et ses cheveux blancs tressaillirent un peu, ils leur avaient semblé entendre une antithèse mais il fit signe à ce bon gars de s'en allait au vol au vent.
Une fois seul avec ce paquet, il regarda le message qui était écrit de façon presque illisible en rouge sur l'étiquette. C'était écrit "Cet homme n'allait pas bien, je crois qu'il avait même perdu la tête."
Il ne comprit rien au message et il commença à déballer le tout, ceci fait il commença à sentir une odeur désagréable et il ne se doutait pas contrairement à un lecteur attentif de ce qui pouvait y avoir à l'intérieur.
Le couvercle fut retiré et Mr Monlard donna un coup à son bureau, faisant reculer sa chaise jusqu'à ce que le dossier touche le radiateur et la fenêtre derrière.
Il était écœuré par le contenu et il se leva en vitesse avec un mouchard sur le nez et la bouche pour partir prévenir les autres.
La tête du milliardaire resta à sa place, affichant une peur inégalée.


Dernière édition par WAF le Lun 18 Jan - 11:11, édité 8 fois
Revenir en haut Aller en bas
WAF
Le héros des survivants
Le héros des survivants



Messages : 1397
Points : 1401
Réputation : 0
Date d'inscription : 03/05/2013

Paf le chien - Page 8 Empty
MessageSujet: Duck Hunting   Paf le chien - Page 8 Icon_minitimeSam 2 Jan - 23:46

POV Albert Wesker

La musique New Divide de ce groupe Linkin Park était entrain de jouer au moment où je bus cul sec mon 4ème verre de Sherry, c'était délicieux.
J'avais décidé aujourd'hui de faire halte dans un bar appelé le "Holy Shit" où je traînais depuis 2 heures déjà, noyant mon chagrin dans l'alcool.
En effet j'avais perdu l'un de mes 9 canards aujourd'hui, il s'appelait Crupirs, j'avais l'habitude de prendre des bains avec lui.
Et alors que j'avais espéré être tranquille aujourd'hui, voila que Chris Redfield déboule dans le bar avec sa bande, son équipe du BSAA.
Il était venu rien que pour m’embêter, le saligot.
Je me levai alors pour lui faire face.

"Tu viens me chercher Chris ?
- Oui, je vais t'emmener à l'asile d'Arkham.
- Il faudrait que tu me touche déjà pour voir !
- Ah bah tiens !"

Il me toucha le nez avec son gros doigt dégueulasse, en réponse, il se prit un coup de boule de ma part, tous les autres piliers du bar se mirent à m'applaudir, même mon verre.
Chris qui avait maintenant le nez en sang commença à rigoler.

"Alors, c'est tout ce que tu peux me faire mon canard ?"

Il m'énervait cet idiot !
Je pris ma bouée coin coin et je commençais à battre des ailes pour voler dans la pièce tel un oiseau majestueux  avant de chier une fiente sur la tête de singe en bas, il rigolait moins maintenant.

"Alors, on dit quoi maintenant !?
- Je dis que tu aurais du crever dans le volcan !"

Il dégaina un fusil de chasse et me pointa avec, ça sentait le roussit.

"Oh Oh !
- Pull !"

Un seul tir et ce fut fini pour moi, il m'avait eu pour de bon cette fois ci.

POV Jill Valentine

Nous étions dans la salle à manger, moi et Claire Redfield quand son frère qui était aussi mon petit ami nous apporta ce qu'il avait cuisiné rien que pour nous, le plat était caché par un couvercle.

Chris : Je vous ais préparé un bon canard en sauce.

Il posa le tout sur la table et ôta le couvercle, il nous servit ensuite la viande avec la sauce et les spaghettis qui accompagnaient le tout.
Sauf que quelque chose d'inhabituelle se retrouva dans mon assiette, j'eu aussitôt fait de le faire remarquer.

Jill : Chris, pourquoi il y avait des lunettes de soleils avec ton canard ?

Chris : Hé bien....

Claire : Moi j'ai des cheveux blonds avec la sauce.

Chris : Je reviens tout de suite.

Et je le vis se barrer en courant, je compris alors qu'il y avait anguille sous roche, mais bon je mangeais quand même ce soit disant canard, fallait pas gâcher la bonne viande.
Revenir en haut Aller en bas
WAF
Le héros des survivants
Le héros des survivants



Messages : 1397
Points : 1401
Réputation : 0
Date d'inscription : 03/05/2013

Paf le chien - Page 8 Empty
MessageSujet: Re: Paf le chien   Paf le chien - Page 8 Icon_minitimeJeu 7 Jan - 10:30

20 Janvier 2015

Bischheim; Bar Wess Raven

Maxime était le seul client du bar alors qu'il était 9H14 et que celui ci avait ouvert ses portes depuis une heure et quart. Il avait commandé un grand verre d'Ice Tea à la barwoman qui remplaçait l'ancienne personne à cette place, elle s'appelait Suzanne, et c'est elle la proprio du bar depuis la mort son mari qui était justement je vous le donne ne mille le défunt barman.
Finalement la porte s'ouvrit, laissant entrer un nouvel acteur sur le devant de la scène, celui ci se dirigea vers le comptoir pour prendre le tabouret à la droite du Maximilien.
Il s'exclama avec une voix très familière aux oreilles de l'autre pour commander à boire.

Paul : Un picon, s'il vous plait.

Suzanne : Je vous amène ça de suite.

Cette personne qui avait une certaine attirance pour Maxime, se tourna vers lui et lui adressa un sourire amicale avec les yeux fermés.

Paul : Alors ça va ? Content de ta petite tuerie ?

Maxime : Bonne chance pour prouver que c'est moi qui ait fait ça.

Paul : Tu es doué... Et désoler pour ce qui s'est passé quand j'étais manipulé par ce RIN.

Maxime : Tu es juste venu pour te faire pardonner ou bien tu me cache quelque chose ?

Paul : Je vois que tu t'es amélioré. Oui en effet je suis là car nous avons une nouvelle mission et j'ai vraiment besoin de toi sur celle là.

Maxime : Besoin de mes service ? Pour quoi faire exactement ?

Paul : Hé bien, des failles commencent à s'ouvrir un peu partout dans le monde, elles mènent à des dimensions parallèles mais aussi à des simulations de divers univers, pas seulement des mangas, animés et lights novels japonais.

Maxime : Et quelqu'un s'est introduit dans notre monde je suppose, qui ?

Paul : Haruhi Suzumiya.

Maxime : Sérieux ? Bon rassure moi, elle n'a pas les même pouvoirs que dans le roman ?

Paul : Malheureusement si.

Maxime : Donc elle peut détruire ce monde et en créer un autre à sa place selon ses envies et besoins... Putain de merde, il faudra qu'on trouve un moyen d'arrêter ces failles.

Paul : Je sais, mais viens on a d'abord un problème à régler.

Maxime : Espérons qu'elle n'ait rien fait de grave.

Max avait fini son verre et son "boss", lui, emmena sa boisson en laissant l'argent sur place avec le pourboire, il n'y avait pas de temps à perdre.

Strasbourg; Palais Rohan; Cour

C'était bondé de monde dans cet endroit très populaire auprès des touristes et qui se situait juste à coté de la Cathédrale. Sauf que la foule n'était pas ordinaire et ça Maxime et Paul s'en rendirent compte en s'y incrustant, c'étaient des personnages d'animés nippons.
Autant vous dire que c'est pas banale, en plus une scène avait été monté au fond de la cour, près à accueillir un célèbre groupe de pop, essayez de deviner qui.
OH allez vous n'avez aucune idée !?
C'est les Backstreet Boys mais Max le savait aussi bien que son camarade que l'un des membres chanteurs, Nick Carter, était malade donc il faudrait quelqu'un pour le remplacer.
Finalement la question tant attendu fut enfin posé par Shuichi Akai qui déboula comme ça de façon normal comme si il savait la raison de leur présence ici.

Shuichi : Hey les gars, vous pensez que cette Susu machin à avoir avec ça ?

Maxime : Surement... J'aurais dû me taire et apporter mon New Costume.

Shuichi : Tu as une nouvelle tenue ?

Maxime : Oui, on la verra dans la prochaine saison.

Paul : Qu'est ce que tu fais là Akai, tu n'es pas retourné dans ton monde ?

Shuichi : Non, je voulais profiter un peu du monde réel... Et aussi enquêter de mon coté sur les perturbations qu'il s'y produit, les autres sont rentrés eux par contre,

Mr Moulin arrêta de suivre la conversation, le malpolie, et regarda un peu les gens aux alentours, essayant d'en reconnaître un maximum.
Il y avait Seta Noriyasu; Sasuke Uchiwa; Rukia Kuchiki; Stella Vermillion; Fremy Speeddraw; une prêtresse nommé Melissa; Louise Françoise Le Blanc de La Vallière; Hideyuki Makimura; Gourry Gabriev; Ranma Saotome et tant d'autres !
Il se demandait comment tous ces personnages pouvaient être là et surtout comment ils faisaient ne pas foutre le chaos car il y avaient des spécimens du même level ou presque de celui de la Génialissime Présidente de la Brigade SOS.
En parlant de celle ci, la voila enfin qui arrive avec le groupe qu'elle avait réquisitionné sous un tonnerre d'applaudissement. Elle avait toujours son adorable sourire enfantin, sa tenue de lycéenne, un brassard "Grande Chanteuse" et pour le coup elle avait un micro dans sa main et elle se mit en avant sur la scène, laissant les autres membres derrière qui eux devaient partager un seul micro et fixe en plus.
Maxime commençait à se demander ce qu'il faisait là sans remarquer la disparition de Paul et d'Akai.

Haruhi : HEEEEEEEEEEELO les gens ! Ça va !?

Les gens sauf Max et quelques autres comme Klaus Seishirou : OUAIS !!!!!

Haruhi : Avant de commencer, je tiens à changer ce style de dialogue que je trouve dégueulasse !

"Voila, là c'est mieux ! Allez c'est parti !"

Je... Pardon, ce qui était surement la plus jolie fille dans cet endroit mais après il y en avait d'autre très belles aussi, de la concurrence... Bref elle tapa du pied en rythme sur le sol alors que la zic commençait et après une dizaine de seconde elle commença les paroles.

"Everybody, yeah
Rock your body, yeah
Everybody, yeah
Rock your body right
Backstreet's back, alright"

L'intrépide fille fait un tour sur elle même.

"Hey, hey yeah, well,
Oh my god we're back again
Brothers, sisters, everybody sing
Gonna bring the flavor,
Show you how
Gotta question for ya
Better answer now yeah"

La Mélancolique lance un regard à "son" groupe pour leur faire signe.

"Am I original?
- Yeah
Am I the only one ?
- Yeah
Am I sexual ?
- Yeah
Am I everything ya need ?
You better rock your body now"

La Beauté Énergique fit signe à tout le monde de chanter avec elle en cœur.

"Everybody
Yeah
Rock your body
Yeah
Everybody
Rock your body right
Backstreet's back, alright
Alright !"

Le Justicier ne put malheureusement profiter du spectacle orchestré par l'un des meilleurs persos féminins d'animés/mangas/lights novels jamais créé puisque quelqu'un lui attrapa le bras et l'extirpa de cette masse humaine pour se retrouver seul à seul sur la place devant avec juste 3 militaires qui patrouillaient dans les environs.
Il reconnu alors la personne en face de lui, une jeune femme du même age que lui avec des cheveux mi longs en pointe couleur lavande, de magnifiques yeux bleus qui comme ses sourcils se trouvaient parfois par dessus les cheveux comme dans la plupart des mangas, Maxime préférait ceux où c'était plus réaliste de ce coté là comme Détective Conan ou Rokka no yūsha. Mizore Shirayuki de son nom était comme toutes les filles que Maxime à l'habitude de côtoyer, forte et débrouillarde, et Maxime avait failli avoir une relation amoureuse avec elle mais cela fut empêchée à la dernière minute, vous saurez bientôt pourquoi et comment.
Enfin bref la femme de glace avec son teint blanc et sa sucette dans la bouche prit la parole d'un ton calme et doux assez inhabituelle pour la Seiyū qui la double qui était connu comme la Reine des Tsundere.

Mizore : Salut Maximou.

Maxime : Salut Mizore, toi aussi tu es venu pour voir ça ?

Mizore : Non je suis venu pour quelque chose de grave et j'ai besoin de toi.

Max sentit qu'il n'était pas près d'avoir du repos, une nouvelle aventure l'attendait déjà.

Canada; Monts Logan; Laboratoire Secret

Un homme blessé était entrain de courir en se tenant le bras droit portant la marque d'une griffure, il était apeuré et il se planqua dans la première pièce venue qui n'était qu'un placard.
Il bloqua la porte avec ce qu'il pouvait et attendit en pensant à voix basse à ce qui venait de lui arriver.

Homme : Cet enfoiré m'a trahit, maintenant nous courons tous à notre perte avec le Wendigo en liberté.

Il entendit alors un cri inhumain au loin, presque animal, et finalement des bruits de pas arrivèrent très rapidement dans sa direction et un coup fut asséné sur le porte, il en sursauta.
L’assaillant continua ses coups et finalement la porte céda et le chercheur fut projeté en arrière, tombant sur le fesses contre le mur.
Il regarda sans défaillir l'immonde bête mi homme mi wapiti avec la peau desséché, une odeur affreuse et les os visibles à plusieurs endroits du corps.
Cette créature ressemblait à une des nombreuses interprétations que l'on se fait d'un Wendigo, et elle sauta le scientifique pour le dévorer car ces bestioles étaient anthropophages.
Et l'auteur me fait signe de laisser le suspense à son comble et il me demande aussi de révéler ma vrai identité car oui je ne suis pas qu'un simple narrateur à la 3ème personne.
Je suis l'unique Haruhi Suzumiya pour vous servir et j'espère que ce que j'ai écris vous a plus, j'ai apporté quelques modifications à certains passages que l'auteur avait mal foutu, il me dicte, j'écris à ma façon.
Allez, ciao les gens !


Dernière édition par WAF le Mar 19 Jan - 22:31, édité 2 fois
Revenir en haut Aller en bas
WAF
Le héros des survivants
Le héros des survivants



Messages : 1397
Points : 1401
Réputation : 0
Date d'inscription : 03/05/2013

Paf le chien - Page 8 Empty
MessageSujet: Re: Paf le chien   Paf le chien - Page 8 Icon_minitimeVen 8 Jan - 20:55

YYYOOOO les gens, c'est votre Grande Déesse à tous ou Dieu tout simplement si vous préférez, je vais vous dicter la suite des aventures de Pinoulelapin !

11 Novembre 2015

France; Lorraine; Forêt Vosges

Maxime Moulin et Mélianne marchaient tranquillement le long d'une route longeant ce bois, la pluie battait fort et c'est le jeune adulte qui tenait le parapluie. Ils venaient de revenir d'une mission dans la simulation de Detective Conan qui les avait épuisé. Pour en savoir plus lisez Brigade C.0-A.I de Maître Sylkabe.
La pauvre blonde semblait la plus triste sur les deux, Pinou lui essuya ses lunettes embuées.

Mélianne : Du coup... Tout est raté c'est ça...

Maxime : Pas forcément... Les liens sont détruit par l'habitude... Créés par l'inconnu, par l'aventure... Je pense qu'ils en on eu une bonne dose...

Il pouvait être très poétique quand il le voulait, ça en était impressionnant.

Mélianne : Vrai...Et nous aussi... Enfin nous... La Brigade bien sûr.

Max s'arrêta et regarda la femme un poil plus âgé que lui dans les orbites avec ses yeux revolvers.

Maxime : Tu sais Cami... Attends !

Mélianne : Quoi ?

Maxime : J'ai une idée ! Je dois te laisser, à la prochaine, j'appel un ami !

Et il la laissa en plan tout en sortant son portable et en courant pour trouver un endroit où il y aurait du réseaux pour passer cet appel.

Bischheim; Maison Sylkabe

Fin d'après midi et l'auteur de fiction français aurait aimé être un peu tranquille après les récents événements, mais non voila que Maxime déboule chez lui et accompagné en plus. Il avait avec lui 5 types en costard noir et blanc, japonais et des cicatrices pour deux d'entre eux, c'étaient des Yakuzas c'était sur mais Sylkabe n'avait pas envie de demander sur pourquoi ils étaient là, il tenait à sa vie.
A la place il demanda ce que lui voulait son humble ami et celui ci répondit avec franchise.

Maxime : Branche moi le portail simulateur sur l’univers de Rosario + Vampire, moi et mes amis avons un boulot à faire là bas, j'espère que ça ne te dérange pas.

Sylkabe : Eu non, c'est juste que ça fait bizarre.

Maxime : Si t'as un problème, vas voir avec Kuronushi.

Kuronushi : Vous avez quelque chose à dire ?

L'homme aux cheveux noirs en queue de cheval avait un regard très froid et dénué de sentiments qu'il portait vers son interlocuteur, il serrait au passage le Bren Ten dans ses mains.

Sylkabe : Non c'est bon, pas de problèmes.

La machine fut finalement branché et mise au point, mais Max voulant être sur que c'était bon fit signe à seulement deux des hommes de venir avec lui et ils passèrent à travers le portail bleu-violet.
Seulement l'alsacien en revint 1 minute plus tard, en sueur, et effrayé. Il choppa son collègue de fanfiction-fr.net et le secoua comme un malade.

Maxime : Tu te fous de ma gueule !? C'était pas le bon monde ! C'était Parasite Eve ! Mes deux camarades, frrroum ! Carbonisés ! Alors tu ne merde pas cette fois ci putain !

Sylkabe : Si tu pouvais me lâcher s'il te plait !

Il l'écouta et finalement la machine fut réglé sur la bonne simulation, Maxime lança un dernier regard à son ami et leva le pouce en l'air en sa direction avec un petit sourire qui voulait tout dire avant de se rendre de l'autre coté avec Kuro et les deux autres.
Paul de son prénom se retrouva seul mais pas pour longtemps car quelqu'un défonça la porte de la cave où il se trouvait, c'était sa nee-chan qui semblait être à bout de souffle.
Elle leva sa tête en direction du portail et poussa un petit râle.

Lévannah : Ne me dis pas qu'il est passé de l'autre coté ?

Sylkabe : Si, désoler.

Lévannah : Alors on a un gros problème.

Sylkabe : J'ai envie d'un civet de lapin au dîner d'un coup.

Pinou semblait leur avoir joué un mauvais tour, mais lequel ?

Simulation Rosario + Vampire; Coin Caché du Monde des Humains; Yokai Academy

Mizore Shirayuki était planquée derrière un arbre non loin du parcours de course autour du terrain de foot. Elle avait comme d'habitude une sucette dans sa bouche lui maintenant sa température corporelle puisque pour ceux qui ne savent pas, c'était une Yuki-onna. Elle portait ses habits habituelles, un sweat shirt blanc avec des manches longues bleus foncé, celui ci était assez bas pour permettre de voir une partie du maillot noir en dessous ainsi que le pendentif jaune autour de son cou. Elle était aussi vêtue d'une mini jupe marron à carreaux plissée, une ceinture nouée à sa jambe gauche, de longs bas rayés mauves et violets et des chaussures blanches.
Comme à son habitude elle était entrain de mater dans son coin celui qu'elle aime, Tsukune Aono en mode Stalker comme le dirait Kurumu Kurono qui était malade aujourd'hui, les Succubes pouvaient être malades comme les gens normaux.
Donc Tsukune était juste entrain de courir tranquillement avec Moka Akashiya, une vampire, et Yukari Sendo, une petite sorcière surdouée.
Le femme de glace avait les étoiles en plein dans les yeux et elle répétait son nom à voix basse en boucle jusqu'à que son instinct lui signale un danger, elle généra une dague de glace qu’elle sortit d'une de ses manches et se retourna très rapidement pour voir à 2 mètres d'elle un jeune homme aux cheveux châtains clairs lui faire un salut de la main avant de rehausser ses lunettes.
Il avait l'air en apparence amical mais elle ne baissa pas sa garde.

Mizore : Qui êtes vous ?

Maxime : Ton sauveur.

Mizore : Je n'ai pas besoin d'être sauvée.

Maxime : Si de ton amour pour lui, tu devrais savoir que ce ne sera jamais possible, surtout depuis que les deux Moka ont fusionné, qu'ils se sont mariés et que ceux qui ne connaissant ni le manga ni l'anime sont un peu dans la merde.

Mizore : Je sais mais... C'est dur.

Maxime : C'est pour ça, tu dois arrêter et trouver quelqu'un d'autre.

Mizore : Bon OK.

Maxime : C'était plus simple que prévu... Enfin bon viens avec moi, je t'emmène dans un charmant endroit.

Elle leva un sourcil, pas vraiment convaincu par cette requête.

Maxime : Bon je suis humain, tu as du le sentir et je suis non armé donc franchement tu n'as rien à craindre et au pire tu peux appeler à l'aide, je suis sur que je serai mort avant d'avoir pu dire "Ah lalala, que c'est chouette la vie !".

Mizore : Je marche mais au moindre truc louche...

Elle transforma brièvement ses mains en griffes de glaces, lâchant la dague, avant de rendre à nouveau tout cela plus humain, le mettant en garde. Mais à part ça elle obtempéra et le suivit sans problème, hors de l'académie, direction le monde des humains de cette simulation.

16 Novembre 2015

Kyoto; Maison Traditionnel

Max longeait une ruelle étroite de cette ville avec une architecture ancienne, il avait loué une maison temporairement où il vivait depuis quelque jours avec la jolie femme des neiges avec qui il voudrait vivre le restant de leur jours, d'ailleurs leur relation s'était grandement amélioré mais n'était pas encore passé au cran supérieur, entre autre à cause des 3 autres locataires.
Oui les 3 Yakuzas mais ça va ils étaient plutôt cool en vérité.
Là le Héros de ces aventures revint d'un mini-marché avec un sac remplie de provisions, diverses nourritures pour tenir la route.
Il arriva à l'entré de leur logis et remarqua un homme qui marchait sur place contre un mur, il était surement victime d'un bug dans la matrice, mais pas de quoi faire appel à Néo.
Il entra avec l'aide de ses clés et referma la porte derrière lui en faisant signe aux autres de son retour, ensuite il prit la direction de la cuisine où se trouvaient les deux hommes de mains avec leur noms pas encore dévoilé.
L'un d'eux, Hogara, était près de la machine à café a attendre que ce soit près, il avait toujours un grand sourire sur ses lèvres, c'était celui qui mettait de la bonne ambiance dans l'équipe.
L'autre, Sasori, était assit à une chaise entrain de rigoler sur la dernière vidéo de Squeezie qui arrivait à être capté même dans la simulation. Il était connu pour s'emporter facilement et surtout pour avoir un couteau dont la lame avait la forme d'une queue de scorpion et qui pouvait littéralement empoisonné sa victime en la touchant, la tuant dans la minute qui vient et dans d'atroces souffrances.
Max posa le sac sur la table et commença à tout déballer alors que Kuronushi arrivait à son tour, c'était un membre haut placé dans la Famille Okinawata. Il était très redouté par ses ennemies, d'une nature calme, froide, réservée et secrète, il parlait très peu et quand il le faisait, un silence accompagnait souvent ses paroles. Il est en vérité plus doux que ce qu'on pourrait pensé, il avait juste une voix très grave et monocorde, et il était très timide, ce qui expliquait une bonne partie de sa légende.
Donc il se contenta de regarder Maxime sans dire un seul mot avant de partir vers la cafetière, en ayant donné un vent frais dans la pièce.
Une autre personne froide mais dans un sens différent entra à son tour dans la pièce avec un jolie sourire, c'était la femme aux cheveux goûts lavandes.

Mizore : Salut Maximou, tu nous a ramené quoi ?

Maxime : Oh diverse chose mais surtout des glaces à la vanille comme tu les aime et au chocolat comme je l'ai aime, et pour vous les gars je vous ais prit du café.

Kuronushi : Merci.

Mizore : Sinon je me disais que nous pourrions cet après midi nous rendre aux sanctuaires Kamo, j'aurais une petite requête à te faire là bas, juste nous deux.

Maxime : Pas de problèmes, tu sais bien que je ferai tout ce qui peut te faire plaisir.

Je tiens à repréciser qu'ils ne sont pas en couple, pas encore, oui c'est con.

Hogara : Le café est près !

Sasori : Ferme là, je regarde "LE RIRE ULTIME 3 !" !

Une tasse valsa dans la pièce pour s'écraser devant deux paires de pieds qui entrèrent dans la pièce sans que personne ne les ais entendu venir.
Ce que Maxime craignait fut avéré vrai quand il reconnu les deux personnes.

Maxime : Eyto et AiEdogawa4869, que me vaut le plaisir de votre visite ?

Eyto : Tu le sais bien.

Sa petite amie, aux deux sens du terme, de 15 ans à ses cotés, aux cheveux blonds et yeux bleus/verts qui semblait à première vue calme et timide, fit un pas vers l'avant pour s'exprimer.

AïEdo : Ramenez la fille et nous effacerons la dette.

Maxime : Bioshock Infinite !

Eyto : Arrête de faire l'imbécile, l'auteur du manga est furax, donc nous sommes là pour tout remettre dans l'ordre, donc j'espère que tu vas faire le bon choix car nous n'hésiterons pas à passer par la violence si il le faut et c'est pas ces Yakuzas qui nous ferons peur.

Maxime : Hé bien... Je...

Mizore : Maxime, je crois qu'on a pas le choix, fais le...

Un sourire ravi se dessina sur le visage du couple d'invité tandis que l'autre duo eut le leur s'assombrir, tout semblait rentrer dans l'ordre.
Mais des coups de feux à l'extérieur interrompirent ce moment, les hommes de mains se levèrent armes aux poings près à en découdre si il le fallait.
Un autre homme déboula dans la cuisine en ayant fracassé un meuble contre la porte d'entré de la maison, Max le reconnu à son tour, c'était Harper Blades.

Eyto : Harper, il se passe quoi !?

Harper : Des gars bien armés nous ont attaqué, les autres sont partis avec le fourgon à l'arrière de la maison !

AïEdo : Dites leur d'arrêter de nous attaquer.

Maxime : Bein ils sont pas avec nous, il y a juste ces 3 là.

Eyto : Très bien, fallait que ça se complique, on va les retenir, Harper tu sais quoi faire.

Harper : Oui, on se retrouve au point de rendez vous, allez suivez moi !

Le Camp de Max suivit le frère aîné d'Aaron qui avait dans ses mains une grosse mitrailleuse BREN L4A4 et traversèrent ensemble les différentes pièces de la maison jusqu'à ouvrir une porte en papier donnant sur la cour arrière.
De là ils virent ce "fourgon" attendre juste devant, c'était en vérité une Mercedes-Benz Sprinter II Phase II, et la chauffeuse klaxonna comme une folle pour leur dire de se grouiller de monter.
Ils écoutèrent et s'y rendirent, Aaron leur ouvrit la porte avec à la main droite un SR-98.

Harper : Julien, couvre nous !

Julien : Bien reçu mais dépêchez vous, Shiho et Jérôme s'impatientent !

Jérôme : Pourquoi c'est pas moi qui ait le fusil !

Shiho : Parce que tu es mon copilote, alors arrête de geindre !

Une fois que tout le monde fut à bord, les premières silhouettes apparurent à l'horizon et le sniper en descendit l'une d'elle tandis qu'au même moment la personne au volant pressa l'accélérateur et passe en 3ème vitesse pour se sortir de ce pétrin.
Heureusement ces mystérieux ennemis n'arrivèrent pas à les suivre, mais qui étaient ils ? Vous ne le saurez pas de suite alors laissez vos suppositions en commentaire.
Pour Mizore elle retourna auprès de sa famille et Maxime fut raccompagné et enguirlandé dans le monde réel et dû comme punitions chanter "Everyday I'm drinking !" en slip au Théâtre National Strasbourg pendant 1 heure, ce fut éprouvant.


Dernière édition par WAF le Mer 20 Jan - 13:03, édité 1 fois
Revenir en haut Aller en bas
WAF
Le héros des survivants
Le héros des survivants



Messages : 1397
Points : 1401
Réputation : 0
Date d'inscription : 03/05/2013

Paf le chien - Page 8 Empty
MessageSujet: Re: Paf le chien   Paf le chien - Page 8 Icon_minitimeDim 10 Jan - 23:02

21 Janvier 2015

Canada; Monts Logan; Ancien Hotel Abandonné

Alors qu'une forte tempête de neige soufflait à l'extérieur pendant que le soleil était déjà presque aux alentours de 19 heures, deux silhouettes se dessinèrent dans ce brouillard enneigé pour rentrer dans le seul bâtiment en vue.
Ce n'étaient autres que Arnaud, le Capitaine du RAID à Strasbourg et Jacques, un de ses gars.
Ils étaient complètement gelés dû à ces températures très basses et le vent qui allait avec.
De la neige tomba en poudre sur les blanches de bois, ceux ci grincèrent sous la pression des crampons avançant au chaud.
Ils étaient vêtus de grosses doudounes pour tenir chaud et ils n'étaient armés que de simples sig sauer sp2022, ils avaient le droit d'avoir leurs armes de services même en dehors du boulot suite aux événements de Novembre 2015.
Mais ils n'avaient pas vraiment prévu de les utiliser sauf en cas de danger, ce qui n'était pas le cas.
Jacques observa les 4 tables poussiéreuses se trouvant dans les environnants, et la poussière c'était ce qui avait de plus visible dans le coin avec les toiles d’araignées un peu partout.
Etant un geek, il ne put s'empêcher de penser à un jeu en voyant cet endroit assez familier.

Jacques : On se croirait dans Until Dawn !

Arnaud : Content pour toi.

Son chef semblait moins apprécier l'endroit, son attention étant porté sur une mouche prise dans une des toiles et qui était entrain de se faire envelopper délicatement par les longues pattes velues d'une petite araignée.
Il grimaça, il avait beau avoir vue pire que ça dans vie, il avait horreur des araignées.

Arnaud : Jacques, tu peux me rappeler ce qu'on fiche ici ?

Jacques : A cause de cette lettre que nous avons reçu nous deux, voici mon exemplaire.

Il sortit de sa poche une froide lettre plié en 6 et la donna à son supérieur qui la déplia pour lire les lettres écrites en noir avec une écriture particulière.

Lettre de Pinoulelapin

Jacques Boudreau; je souhaiterais vous parler d'une chose importante, mais pour cela vous devez me retrouver au Chalet Darois situé dans les Monts Logan au Canada, c'est très important et vous ne serez pas seul. Signé Pinoulelapin, le Justicier Alsacien.

Ça lui revint en mémoire, il redonna la lettre à son partenaire et se frotta les mains en évitant de regarder le décor en profondeur par dégoût.

Arnaud : Sauf qu'on est pas au chalet là.

Jacques : C'est pas notre faute, avec cette tempête qui s'est soudainement abattue, mais bon on va trouver un chem...

Un son vint interrompre ces paroles, une musique des années 70 ans se fit entendre au loin, elle était assez forte. C'était Don't Let Me Be Misunderstood de Santa Esmeralda, elle semblait provenir de la pièce se situait au fond à gauche derrière le comptoir poussiéreux.
Ils eurent pour reflex de regarder dans la direction en question avec un mélange de surprise et d’incompréhension se lisant sur leur visage.

Arnaud : Je crois qu'on est pas seul.

Jacques : Je vais voir, reste là.

Arme de poing à la main, il avança et contourna le comptoir pour ensuite se rendre dans cette mystérieuse pièce, laissant son collègue dans le hall avec le froid ambiant ainsi que la faune qui vivait dans les environs.
Un rat passa par là en poussant un petit couinement et se faufila sous une des tables, Arnaud remarqua alors une brochure sur celle ci et comme celle ci brillait surnaturellement, il la prit pour lire la couverture.

Brochure Hotel Lurch

Bienvenue à l'Hotel Lurch dirigé par l'Oncle Fester, c'est à dire moi, c'est le Meilleur Hotel des Années 60 et j’espère que vous vous y plairez ! Vous découvrirez des activités exceptionnels comme la chevauchée de dragon, des bains de morves ou encore le Ping Pong Explosive ! Amusez vous et tachez de ne pas mourir !

La brochure retomba sur la nappe où elle se tenait depuis des décennies et le capitaine préféra oublier ce qui avait lu et constata alors que la musique s'était arrêtée.
Mais Jacques ne revenait pas et seul le bruit du vent extérieur sifflait à ses oreilles puis se fut des bruits de pas craquant sur la neige qui attirèrent son attention.
Quelqu'un venait !
Il se planqua en vitesse juste derrière le comptoir pour ensuite observer une silhouette pousser les portes battantes permettant d'entrer dans cet endroit démodé.
L'homme était vêtu d'une grosse doudoune verte, un jeans, des chaussures à crampon, des gros gants noirs, un foulard recouvrant la moitié de son visage, l'autre moitié étant caché par les lunettes de ski et son bonnet blanc.
Impossible de décrire la personne plus que ça, elle était méconnaissable.
Arnaud se méfiait de cette personne et ne préférait pas se montrer à elle surtout quand il la vit avoir une Winchester 1200 dans ses mains.
Le type resta là durant de très courtes minutes à regarder les alentours et écouter les bruits ambiants avant de finalement faire machine arrière.
Quand les portes se refermèrent, le cap attendit un peu puis se releva et constata qu'il était à nouveau seul.
Du moins c'est ce qu'il croyait puis il attendit la porte à sa droite s'ouvrir, croyant que c'était Jacques qui revenait enfin, il se tourna vers elle avec un sourire.
Celui ci s'effaçant progressivement suite un carreau d'arbalète qui lui rentra dans l’œil droite et endommagea fatalement le cerveau, le faisant sombrer vers le sommeil. Un sommeil éternellement long, froid et vide de sens.
Si il avait su, il aurait préféré se réfugier vers l'inconnu vue plus tôt, mais le mal est fait et la soirée ne venait juste que de commencer.


Dernière édition par WAF le Sam 23 Jan - 8:15, édité 3 fois
Revenir en haut Aller en bas
WAF
Le héros des survivants
Le héros des survivants



Messages : 1397
Points : 1401
Réputation : 0
Date d'inscription : 03/05/2013

Paf le chien - Page 8 Empty
MessageSujet: L'Incroyable Interview de Maxime Moulin   Paf le chien - Page 8 Icon_minitimeLun 11 Jan - 22:31

Mardi 12 Janvier 2015

France; Paris; Plateau de TV

Maxime avait été invité au Talk Show de 23 Heures de Michael Bourish sur TF1 pour parler des diverses actualités le concernant, l'émission s'appelait "Où est mon prompteur !?" et elle était reconnaissable par le faux décor représentant des fenêtres montrant la surface de Mars, très crédible.
Le début avait été lancé depuis un moment et notre auteur préféré... Ouais bon l'auteur attendait en coulisse que l'invité avant lui ait fini, il était vachement moins connu que lui. C'était Arnold Schwarzenegger qui finalement dit "I'll be back" avant de partir se chercher un café.
Le grand moment arriva enfin.

Michael : Et maintenant accueillons tout de suite le célèbre auteur de fiction à succès.... Oups je me suis planté de fiche, ah voila ! Je disais un homme qui a dû mal à se démarquer et c'est bien normal quand à coté on a superA, la nouille, Aaron maister, Eyto et une centaine d'autres personnes mille fois mieux, c'est dur ! Accueillons Maxime Moulin !

La seule personne du public, une otarie, se mit à applaudir de toute ses forces. Et Pinoulelapin s'avança dans sa tenue composée d'un bas de jogging et d'un tee-shirt "Je Suis Charlie" pour prendre place dans un fauteuil en face du présentateur avec son sourire freedent.

Michael : Alors mon cher Maxime, je peux vous appeler Maxime ?

Maxime : Non.

Michael : Très bien Maxime, j’espère que vous vous portez bien.

Maxime : Non, Sylkabe va encore me reprocher de faire un mélange d'écriture théâtrale et romanesque alors que je pourrais juste faire l'un ou l'autre.

Michael : Et à ça vous répondez quoi ?

Maxime : Quoi.

Michael : Bon, on vous connait sur la majeur partie des sites où vous êtes inscrit sous le pseudo de "TheExecutor"...

Maxime : Ça c'est le pseudo d'un ami qui a une chaîne Youtube où il fait principalement du Call of Duty, moi c'est Pinoulelapin.

Michael : Ouais bon, actuellement vous faites la Saison 2 de vos mésaventures, c'est bien cela ?

Maxime : Oui, même si en vérité je l'ai déjà fini et j'ai déjà fais le Prologue de la Saison 3 qui malheureusement ne portera pas sur Détective Conan.

Otarie : Connard !

Michael : Allons bon madame calmez vous et pas de vulgarité chez moi, putain ! Sinon quelles autres fictions écrivez vous en ce moment ?

Maxime : J'écris la première fausse interview de moi même et la dernière phrase que j'ai écrite c'est "J'écris la première fausse interview de moi même et la dernière phrase que j'ai écrite c'est "J'écris la première fausse interview de moi même et la dernière phrase que j'ai écrite c'est "J'écris...

Michael : Ouais c'est bon ça va on a compris !

Maxime : Et voila c'est tout.

Michael : Maintenant passons aux questions posés par les internautes puis nous aurons le droit à l'invité mystère en rapport avec vous.

Maxime : Cool, j'ai hâte de voir ça !

Michael : Première question d'Emilie74*coeur, "Aime tu le chocolat ?"

Maxime : Oui, comme tout le monde je crois.

Michael : Deux question toujours d'Emilie74*coeur, "Quel ton type de femme ?"

Maxime : Oh je suis assez ouvert mais j'ai une tendance à préféré les femmes fortes, mais bon je suis toujours puceau.

Michael : Troisième question de la même personne, "Veux tu sortir avec moi ?"

Maxime : Eu...

Michael : La prochaine, c'est même plus une question, "Je te vois !"

Pinou flippa et vit alors planqué juste derrière l'animateur, une jeune fille fantomatique aux longs cheveux noirs qui lui glaça le sang. Fort heureusement, tout rentra dans l'ordre avec un coup de taser dans la nuque de la part de Dent Blanche et elle fut mise dehors par les 36 mafieux qui assuraient la sécurité de la zone.
On remonte un peu sa cravate et c'est reparti pour un tour.

Michael : Voici alors le moment le plus apprécié de l'émission, l'Invité Mystère ! Tintintululululalalatutututmio ! Je vais vous donner 3 indices et vous allez devoir vous en servir pour pouvoir gagner cette personne qui vous est liée d'une certaine manière, si vous échouez, elle sera distribué à une association caritative.

Maxime : Balance la sauce JP !

Michael : GRRR, plus tard chaton... Hum, l'Invité Mystère est connu internationalement, c'est un hippie et il a déjà bossé pour la Croix Rouge ! Vous me dites !?

Maxime : Jésus bien sur !

Michael : Et oui, vous remportez donc Jésus !

Le Messie arriva en rayonnant sur le plateau avant de se faire percuter de plein fouet par un camion sortant de nul part en mode Destination Finale.
L'homme au volant était Schwarzy qui avait la vitre ouverte et qui s'adressa à tout le monde.

Arnold : J'avais dis que je reviendrais, et j'ai renversé mon café.

Une musique trop classe fut jouée hors diégèse et le Moulin à Vent décida que c'était le bon moment pour clore cette interview mouvementée.
Revenir en haut Aller en bas
WAF
Le héros des survivants
Le héros des survivants



Messages : 1397
Points : 1401
Réputation : 0
Date d'inscription : 03/05/2013

Paf le chien - Page 8 Empty
MessageSujet: Notre Nom est Bond, James Bond   Paf le chien - Page 8 Icon_minitimeMar 12 Jan - 23:02

Londres; Devant l'entré du QG des Méchants

Un camion était à l'arrêt devant ce building de 40 étage qui était la cachette des méchants, tout commençait comme un pré générique de James Bond.
Et finalement alors que les 8 gars à l'entré discutaient tranquillement et faisaient leur petite ronde quotidienne, une silhouette se dessina dans l'obscurité et tous se tournèrent vers elle, frissonnant en reconnaissant la personne.

POV Sean Connery

C'était moi, me tenant fièrement là au beau milieu de la route déserte, le bâtiment que nous avions pour cible en ligne de mire, malheureusement il était bien gardé et devant moi se tenaient 8 types.
Heureusement ceux ci n'avaient que des armes blanches, et moi... J'avais ma cornemuse et mon kilt.
Je pris une grande bouffée d'air et je soufflais le plus longtemps que possible dans mon instrument qui était enfaîte une vrai mitrailleuse qui se mit à descendre ces types qui ne s'étaient doutés de rien.
Je tombai très vite à court de de balle mais heureusement l'avant garde était HS, je pus en profiter pour sortir une bonne vieille réplique comme au bon vieux temps.

"C'est les risques du métier, m'en voulais pas."

Ce n'était pas du gout de tout le monde à priori, un autre type déboula courageusement tandis que la musique Night of the Hunter du groupe de rock alternatif Thirty Seconds to Mars résonnait en fond sonore.
Un combat dantesque était près, je m'élançais vers ce pauvre type pour le rétamer.
Il ne comprit rien à ce qui lui arrivait et se mangea un coup de coude dans la margoulette, je lui empruntai ensuite son Glock pour lui en tirer une dans la tête. Après ça il en rigola tellement qu'il en tomba à la renverse.
Moi je pus reprendre mon souffle, seulement j'étais loin d'en avoir fini.
De nombreuses autres silhouettes se dessinèrent de tous les cotés.

"Ils sont trop nombreux..."

Je n'avais pas l'avantage très clairement, il me fallait de l'aide, mais l'aide se faisait attendre.

"Que fout Lazenby !?"

Ce bon vieux George ne se montrait pas, alors qu'il était censé débarquer en deuxième pour m'épauler.
Le plan foirait déjà.


Dernière édition par WAF le Sam 30 Jan - 23:11, édité 2 fois
Revenir en haut Aller en bas
WAF
Le héros des survivants
Le héros des survivants



Messages : 1397
Points : 1401
Réputation : 0
Date d'inscription : 03/05/2013

Paf le chien - Page 8 Empty
MessageSujet: Re: Paf le chien   Paf le chien - Page 8 Icon_minitimeDim 17 Jan - 14:57

20 Janvier 2015

Bischheim; Bar Wess Raven

Après le départ de Pinou, une bonne ambiance s'y était installée quand Suzanne vit 4 habituées débouler et demander du Dry Martini pour le dénommé Sylkabe, un Vesper Martini pour Mélianne, un Bloody Chantal pour Maître Eyto et une brique de jus d'orange pour la Nouille.
Il était 11H49 et les 4 gracieux auteurs étaient entrain de parler de diverses choses les concernant, se remémorant de bons souvenirs.

Sylkabe : Pinou est fort, il a réussi a anticipé le coup de maître de superA, je sais pas comment il a fait.

Eyto : L'élève dépasse le maître.

Mélianne: T'as l'air d'un vieux en disant ça.

Lévannah : 2015 fut une année chargée et riche en aventures.

Mélianne : La Traîtrise de StrongHold.

Eyto : L'Enquête concernant "Le Fantôme"

Sylkabe : L'Impasse Mexicaine entre nous, le MitsuAï, le CoAyu et Gosho.

Lévannah : Et n'oublions pas le Nouvel An avec les Fanatiques de l'Organisation.

Eyto : Et les récents événements.

Sylkabe : Tu dois avoir les nerfs de ne pas avoir pu croiser Akai.

Eyto : Un peu... Beaucoup même.

Mélianne : Je me demande où sont passés Jérôme et Julien.

Lévannah : Je suis sur d'avoir aperçu Hayate Ayasaki tout à l'heure aux toilettes.

Les piaillements furent stoppés quand deux autres invitées se permirent d'entrer dans le bar, remarquant tous les regards sur eux.
C’étaient un peu les STARS de cette saison avec leur puissance et leur....

Maxime : Fini les éloges ? On pourrait peut être passer à la suite.

Bon OK, c'étaient Maxime Moulin et Mizore Shirayuki qui se dirigeaient, main dans la main, vers leurs amies tranquillement assis sur leur tabourets de fortune.

Sylkabe : Maxime, qu'est ce qu'on avait dit la dernière fois ?

Maxime : Rien à voir, et vous n'avez pas de leçons à me donner, ça ne vous a pas suffi de me l'enlever une fois, maintenant que j'ai perdu Violette, vous voulez remettre ça sur la table ?

Mélianne : Non...

Mizore : En plus comme le dis Maxime, c'est pour autre chose que nous sommes là.

Maxime : On a un gros problème.

Eyto : Expliquez vous.

Mizore : Il y a de cela 4 jours, un homme bossant pour votre ami Paul...

Maxime : Pas toi.

Sylkabe : J'avais compris.

Mizore : ... s'est introduit dans notre monde et a enlevé une créature pour l'emmener dans le votre et l'étudier pour de sombres expériences. Cet homme se nomme Duval Matome et la créature est un Wendigo.

Lévannah : Vraiment !?

Maxime : Ouais, suite à ça, Mizore a été envoyé ici avec des semblables pour rechercher cet homme.

Mizore : On voulait demander votre aide mais vous étiez un peu occupé alors nous avons dû nous occuper nous même pour savoir où il l'avait planqué. Finalement nous avons découvert qu'il le planquait dans un labo sous un hôtel à l'abandon dans les Monts Logans au Canada, mais à notre arrivé tôt ce matin, le Doc était déjà mort depuis peu de temps avant notre arrivé, tué par le Wendigo.

Sylkabe : Comment cela se fait ?

Mizore : Les documents trouvés au labo nous ont appris qu'il avait un complice mais nous ne savons pas qui, ce serait lui qui aurait libéré la créature pour une raison inconnue avant de partir et laisser Matome mourir.

Maxime : Le Wendigo est toujours dans les montagnes et il ne bougera pas, à priori, il aurait défini cette zone comme son territoire.

Mizore : Heureusement nous avons une liste de suspects pour l'identité du complice, c'est forcément l'un d'eux, alors j'ai demandé à Maxime d'envoyer une lettre à chacun d'eux pour qu'ils nous retrouvent dans un chalet situé non loin du labo.

Maxime : Une fois qu'ils seront tous là, les amies de Mizore créeront une barrière sous forme de tempête de neige qui entourera la zone et empêchera tous ceux à l'intérieur de s'enfuir.

Mizore : Notre but étant que le coupable se dénonce car sinon il mourra avec tout le monde et ensuite le Wendigo sera rapatrié ou tué, ça dépendra.

Lévannah : Je trouve que c'est un peu abusé comme méthode...

Mizore : On veut être sur que ça ne se reproduira pas, mais ne vous en faites pas, moi, Maxime, l'autre Paul et le Commissaire de Bischheim nous serons là bas et nous serons bien équipé pour survivre, nous allons pas nous laisser mourir comme ça.

Eyto : Une question me démange... On sert à quoi nous dans ce plan ?

Maxime : A rien.

Eyto : Mais pourquoi avoir fait le déplacement alors !?

Maxime : Paul voulait que je vous confie une tache pendant que nous serons pas là, car ce ne serait pas drôle sur les problèmes arrivaient tous seuls.

Sylkabe : Tu veux parler des failles ?

Maxime : Bingo ! Vous n'êtes pas sans savoir qu'en ce moment des failles s'ouvrent un peu partout sans aucune explication scientifique plausible pour le moment et ça crée un bordel fous. Suzumiya ça allait encore, mais imaginez si quelqu'un de mal intentionné profitait de ça.

Mizore : Comme Matome.

Maxime : Les Fédéraux Américains ont remarqué que le personnage d'Eve du jeu Parasite Eve avait disparu du jeu depuis un mois.

Mélianne : Un mois !?

Maxime : Oui, comme ils ne se penchent pas trop sur cette série en ce moment, ils n'avaient pas remarqué qu'elle s'était faite remplacer par une copie et qu'elle s'était barrée. L'équipe de Paul quand à eux ont remarqué que depuis quelques temps d'étranges bugs se produisent dans les univers de Conan, de City Hunter, de Suzumiya et celui de Mizore.

Mizore : Ils pensent que ce serait elle qui les créerait mais ils n'en sont pas sur, ils ne savent même pas si elle est dans le monde réel ou dans un de ceux là.

Eyto : Et donc on doit enquêter de notre coté ?

Maxime : Ouais, à vous de gérer comment, le plus logique étant que chacun d'entre vous parte dans un des 4 mondes pour voir ce qu'il en tire.

Sylkabe : Ça marche.

Maxime : Bien allez on doit vous laisser, salut les gars.

Le couple impossible se retira et quitta l'édifice, laissant la joyeuse bande de vainqueurs continuer leur beuverie et discutions dynamique alors que Suzanne s’absenta pour sortir les poubelles.
Ils en étaient à leur 6ème verre chacun quand la plus petite du lot eut une réflexion qui lui passa dans son esprit en vitesse lumière.

Lévannah : Je ne sais pas vous, mais tout ceci me fait penser à Kingdom Hearts, et justement je verrai trop Pinouichi dans le rôle de Sora !

Eyto : Oh non, je viens d'y penser mais avec toutes ces failles qui s'ouvrent, ça augmente les chances que je croise un jour dans la rue Mickey Mouse... Heureusement que j'ai mon calibre 45 avec moi.

Mélianne : Oh il y a pire... Jar Jar Binks.

Sylkabe : Oh mon dieu !

Un rugissement se fit entendre, mais pas celui d'un lion, plus grave et plus monstrueux, ils se regardèrent tous comme des extraterrestres.

Lévannah : C'était quoi ?

Mélianne : Je sais pas.

Sylkabe : Eyto ?

Eyto : Le rat.

Il pointa du doigt un rat gris se trouvant non loin d'eux et qui poussa à la fois des couinements de rats mais aussi ces affreux rugissements. Le rongeur se mit sur ses pattes arrière, une douleur mystique semblait l'envahir, il ouvra grand la gueule.
Tout en poussant un rugissement encore plus puissant, toutes ses dents se changèrent en pointes et s'allongèrent, créant une armée de crocs près à arracher de la chair vivante.
Il tomba ensuite au sol et la peau du museau s'arracha pour se rétracter, laissant voir ce qu'il y avait en dessous. Sur d'autres partis de son corps aussi la peau se barra tandis qu'un liquide brun jaunâtre suinta et tomba en gouttelette sur le sol marbré.
Il tripla de volume, ses pattes devenant plus grandes et sa queue se rallongea tout en se divisant en 3 parties avec en extrémité une sorte de pique s'apparentant à un scorpion.
Sa mâchoire était elle aussi devenue plus longue et ressemblait plus à celle d'un croco dépecé qu'à celle d'un rat.
Il braqua les 4 humains dans la pièce avec sa queue qui pouvait rappeler la forme d'une pince avec ces 3 piques amovibles.
Autant dire que les pauvres larrons étaient scotchés devant cette "chose".

Sylkabe : Je savais bien que les OGM c'étaient pas cool.

Eyto : J'ai signé pour affronté le CoAyu ou encore le ShinKaito, mais pas ça !

Lévannah : Il fait quoi avec sa queue ?

Mélienne : Oh oh !

Elle prit une jaune rouge avant de former du feu et elle balança trois boules de flammes dans leur direction avec chacune des pointes.
Eyto en bon gentleman, prit Mélianne dans ses bras et sauta par dessus le comptoir avec elle pour tomber lourdement sur le sol de l'autre coté et tout en se prenant des débris de verres produits par les verres qui venaient de s'éclater au passage.
Le Paul N°2 prit sa petite protégée par la main et l’entraîna hors du bar à la vitesse Scooby-Doo.
C'est à ce moment là que la porte des chiottes mixtes s'ouvrit, faisant apparaître un jeune homme avec une voix de tafiole comme si il était doublée par une femme (NDA : C'est le cas) et des cheveux bleus maya, arriver tranquillement avant de poser si gentiment une question innocente.

Hayate : Tout va bien ici ?

Et puis il remarqua le rat cancéreux level 100 et plissa les yeux avec un sourire bébête.

Hayate : Ah d'accord !

Il recula assez rapidement jusqu'à l’endroit d'où il était venu et il s'y enferma. A première vue personne n'avait envie de se frotter à la créature qui heureusement mourra finalement dans l'incendie qu'elle avait elle même provoquer avec ses bouboules magiques.


Dernière édition par WAF le Sam 23 Jan - 23:36, édité 4 fois
Revenir en haut Aller en bas
WAF
Le héros des survivants
Le héros des survivants



Messages : 1397
Points : 1401
Réputation : 0
Date d'inscription : 03/05/2013

Paf le chien - Page 8 Empty
MessageSujet: Re: Paf le chien   Paf le chien - Page 8 Icon_minitimeLun 18 Jan - 22:09

POV Maxime Moulin

15 Décembre 2012

La phrase que je vais écrire peut vous paraître clichée mais c'est vrai, c'est ce jour que ma vie a vraiment changé, le jour où tout a basculé pour moi.
J'étais dans un tram, aux environs de 16H40, c'était un Mercredi si mes souvenirs sont bons. Il pleuvait a torrent ouvert, les gouttes claquants sur les vitres du tram où je me trouvais à la manière d'une crosse frappant la rondelle dans un match typique de hockey sur glace.
La raison pour laquelle j'étais à cet endroit là m'échappe mais ce que je me rappel c'est que j'étais sur le trajet pour me rendre chez moi, c'est à dire, la ligne B.
J'étais vêtu d’une grosse veste noire censée me tenir au chaud, la tirette était descendu de quelques centimètres pour ne pas que j'étouffe et je me tenais à la barre à ma gauche en sentant le poids de mes vêtements trempés me peser lourd sur mon corps fragile et affreusement maigre à cette époque là.
Il y avait peu de monde dans ce wagon, seulement 5 personnes, je m'en rappelle très bien puisque mon regard déviait d'une personne à l'autre pour occuper le temps, des fois s'orientant vers l'extérieur qui défilait au même rythme que la pluie, un rythme long et terne qui ferait passer un épisode de Derrick pour un Expendables.
L'ambiance maussade de cette journée pluvieuse me faisait posé d’innombrable questions sur ma vie. Qui suis je vraiment ? Est ce que tout ceci n'est qu'une illusion et la vie qu'un immense rêve ? Ma vie a t'elle d'ailleurs un sens ? Si oui, lequel ? Il est libre Max ? Il y en a même qui l'ont vu volé... Mais moi je plonge, je me noie, je me meurs en coulant dans les sombres abysses éternels de la solitude.
J'avais quasiment peu d'amis à cette époque là, Stive n'était pas encore vraiment présent et mon seul vrai ami s'était révélé être un voleur m'ayant trahi, une belle joie de vivre.
Il y a des fois j'ai envie de prendre un couteau, de faire couler l'eau, plonger mon bras dedans et me taillader les veines, laissant le sang s'épandre de sa majestueuse couleur vive et enfin laisser mon esprit s'en aller vers un monde inconnu dont je ne reviendrai surement jamais.
Mais qui c'est ? Personne ne sait ce qui a après la mort après tout ? Et si je revenais ? Et que je pouvais dire aux autres l'après vie ? Faut il encore que je meurs pour cela.
Je secouais alors la tête pour chasser ces mauvaises pensées avant de me rendre compte que 3 personnes étaient partis et 2 avaient prit la place.
C'étaient deux bonnes femmes, la cinquantaine je dirais, l'une d'elle avait son sac à main bien serré contre son torse tandis que l'autre tenait un lourd cageot de légume qui la faisait suer.
Mais pour tout vous dire je n'eus même pas l'idée de proposer de l'aide, je peux avoir parfois l'air d'un connard et c'est après ces moments là que je me hais, plus que d'habitude vas t-on dire.
Mon attention lança ses dés vers le jeune homme qui se tenait à l'opposé des dames, se tenant sur le support central tout en secouant la tête comme un demeuré tout en écoutant sa musique avec son baladeur aux oreilles.
Il avait l'air d'un gros gogol et le gros bonnet gris, la veste Wati B et le jeans troué qui laissait voir son caleçon n'arrangeait pas on va dire sa situation.
Laissons le dans son trip de mec venant de passer à l'age adulte et portons notre fixette sur le type devant moi avec son chapeau excentrique du type Trilby à fleur qui allait bien avec son manteau du même gout. Il était dodu ce gros sanglier et il n'arrêtait pas de regarder toutes les 5 secondes sa montre, j'en avais conclu qu'il était attendu quelque part et qu'évidemment comme toute de personne de bon sens, il ne souhaitait pas arriver en retard.
Finalement ma longue attente dans ce train au trajet interminable prit un tournant quand la voix off annonça avec un jingle que nous arrivions au "Pont Phario" qui était mon arrêt.
M'appuyant sur la barre soudée à ma peau, je me levai de façon engourdit pour patauger jusqu'au bouton marquant l'arrêt qui se mit à clignoter, je le pressai, les portes s'ouvrirent, me voila dehors avec ma capuche sur la tête remarquant que la pluie avait cessé mais que l'on se croirait toujours dans Angel Hearth.
J'avançai sur la quai et ne voyant aucun tram venir de l'autre sens, je me mis sur les rails pour accéder au passage piéton qui était au vert et je traversai le chemin zébré en même temps que d'autres personnes suivant la cadence de cette banale journée d'une année banale d'une vie banale dans un monde banale, mais ce que j'allais vivre serait tout sauf banale, j'allais enfin prendre gout à la vie sans pour autant créer la Brigade SOS.
Car naviguant maintenant dans les fleuves infinis de mes pensées, je n'entendis pas cette faible voix m'appeler, du moins au début.
J'avais sombré dans le clair de mon inconscience, je me demandai alors ce que je ferai en rentrant chez moi.
Les devoirs ? A quoi bon !? Je ne suis qu'une merde, je crèverai de froid et de faim comme un clochard plus tard ! Moi un acteur/réalisateur de renommé ayant trouvé l'élue de son cœur !? Peuh ! Trop beau pour être vrai !
J'envisageai finalement de passer mon temps sur l'ordinateur comme toujours pour trouver le moyen de m'amuser en regardant des vidéos de jeux vidéos, mon père n'ayant pas encore réussi à l'époque à me convaincre de mater des animes en VO avec lui. Vous devinez donc que Détective Conan, Rosario + Vampire, Love Hina, Gokudo et j'en passe, c'était pas encore mon truc.
On pourrait dire la même chose de tout ce qui est japonais, alors que pourtant j'en avais regardé en étant plus jeune mais là c'étaient Scooby-Doo et Films d'Horreurs.
Un frisson !
Je me retournai subitement en ayant senti une main toucher mon épaule faisant couler mon rafiot, me ramenant à la dure réalité des choses.
C'était une adolescente, du même age que moi, des cheveux similaires ainsi que le look comprenant les habits noirs et les lunettes.
Sauf qu'elle n'était pas laide contrairement à bibi, 10 points en plus pour elle.
Elle afficha un sourire et semblait se retenir de sauter dans tous les sens, à première vue c'était une pile alcaline celle là.
Elle me posa alors une question qui était inattendu pour mes oreilles en 2012.

"C'est vous Maxime Moulin ?
- Eu... Oui.
- Je suis fan de vos vidéos et je me demandais, quand est ce que vous sortiez enfin une nouvelle vidéo, il n'y en a plus depuis Septembre !
- Désoler j'ai un peu perdu l'envie depuis qu'il m'est arrivé une tuile donc je ne sais pas quand je reprendrai mes vidéos sur Dailymotion."

Oui je n'étais pas encore sur Youtube à ce moment là.

"Au pire vous pouvez reprendre aujourd'hui, qu'est ce qui vous en empêche, vous n'en avez vraiment pas envie !?
- Hé bien... C'est vrai que maintenant que j'ai GTA San Andreas, j'avais envie d'en faire une dessus ainsi que sur Vice City donc....
- Donc ?
- Je vais reprendre mes vidéos ! Merci de m'avoir donné ce coup de pouce dont j'avais besoin !
- Oh il n'y pas de quoi !
- Puis je juste savoir votre nom ?
- Jane Smith."

J'avais senti quelque chose de bizarre dans cette réponse comme si ce n'était pas sincère mais je ne fis pas plus attention à cela sur le moment.

"Bon bah sur ce encore merci et continuez à suivre mes aventures !
- Au revoir !"

Elle se retourna et commença à partir, il me sembla ensuite l'entendre murmurer des mots mais ceux ci étaient incompréhensibles tellement ils étaient faibles.
Moi, je repris mon chemin sur le pont grisâtre, cette rencontre m'avait redonné des couleurs et une joie qui me manquait, une joie de vivre.
Ça peut vous sembler exagérer mais c'était la première fois que je rencontrais quelqu'un qui regardait mes vidéos, même les très rares invités de l'époque de les regardaient quasiment pas.
Mais ce 15 Décembre, j'étais loin de me douté que cet abouchement allait conduire à de plus grands événements, la Fin du Monde que les gens censés ne croyaient pas... Je fus de ce lot avant de me rendre compte de ma naïveté. Le Monde n'était pas banale, oh non ! Et j'allais le découvrir...


Dernière édition par WAF le Jeu 21 Jan - 7:49, édité 1 fois
Revenir en haut Aller en bas
WAF
Le héros des survivants
Le héros des survivants



Messages : 1397
Points : 1401
Réputation : 0
Date d'inscription : 03/05/2013

Paf le chien - Page 8 Empty
MessageSujet: Re: Paf le chien   Paf le chien - Page 8 Icon_minitimeMer 20 Jan - 22:57

Après cette rencontre, plus rien de sera comme avant, le destin du monde allait reposer entre mes gros doigts dégueulasses, et personne ne peut changer les rouages du Destin.
Ce même Destin qui unit et détruit des milliards de couples, qui décide de la vie ou de la morts des minuscules habitants de cette planète bleu.
Dirigeant vents et marées, chavirant des bateaux prisonniers des toiles de Vénus au fond desquelles ils subiront son courroux flamboyant et brillant de milles éclats, d'un éclairci lointain redonnant espoir.
Espoir traversant les nuages pour se propager jusqu'aux fenêtres luisantes, pour passer au travers tel un prestidigitateur faisant son plus beau tour, mais les deux sont contraints à voir le rideau se baisser devant leurs yeux larmoyants.
Seulement une fine couche de lumière passa au travers des mailles du filet pour éclairer sombrement cette chambre d'ado pleine de poussière et de pollen virevoltant, dansant, vagabondant dans une démonstration éternel juste troublé par le bruit agaçant des tirs résonnant dans le jeu vidéo affiché par le biais de la TV.
L'écran montrait une voiture de police faire un drift pour s'arrêter, un homme en sortit alors, il s'appelait C.J. et il resta immobile avec sa matraque en 3D dans la main attendant le signal du gourou du jeu pour faire un mouvement.
Une voix grave et impromptue se fit entendre et elle fut enregistrée par la caméra posée sur une pile de cartons eux même posé sur une chaise, le tout pointant la principale source de lumière présente.

"Vous ne m'aurez jamais !"

Ce garçon de 15 ans encore imberbe à l'époque et qui avait un sourire idiot sur son visage, c'était moi. Moi qui jouait, à GTA San Andreas avec une manette de PS2 filaire dans mes mains indélicates.
Une joie m'avait envahi, la joie d'enfin refaire des vidéos, cette passion qui me brûlait depuis le début de l'année et qui avait dû s'interrompre à la mort de mon ancien PC fonctionnant sous Windows XP, j'avais depuis ce jour et encore à l'heure actuelle un Windows 7.
Ça faisait du bien, je retrouvai une joie de vivre, mais je savais aussi que la vidéo allait bientôt se terminer.
Et c'est un motard de police, planqué derrière sa moto, qui sonna le gong sur mon perso qui s'écroula dans sa marre de sang naissante.
Un message s'afficha sur l'écran : "T'es Mort ! :"
Ma réponse fut toute trouvée : "J'vois bien, ch'uis mort !"
S'ensuivit un petit rire et moi m'exclamant qu'ils étaient sans pitiés les policiers de ce jeu, comme si ils pouvaient m'entendre !
Et après quelques dernières phrases, je concluais cette cette vidéo de 19 minutes et 26 secondes par : "Bon allez bye ! Achète !"
Clou du spectacle, j'éteignis la cam.
Mon ancien caméscope, décédé depuis, il me manque.
Je le fis glisser sur une rampe invisible pour atterrir sur mon bureau puis je commençais à ranger le matériel, soulevant la chaise costaude avec mes muscles en biscotte pour la mettre à sa place, dans le coin entre mon ordi et l'étagère à console.
Ceci fait je pris la câble traînant non loin de là pour le branche d'une part à l'ordinateur et d'autre part à la fente de l'appareil vidéo prévue à cet effet, on me fit signe qui c'était bien branché.
Le transfert débuta juste après et la barre de progression se fit voir, 20 minutes et c'était dans la boite.
J'ouvris la porte, puis le rideau, j'eus la désagréable surprise de me prendre une lumière intense dans les yeux qui fermèrent leurs écoutilles pour éviter d'en subir d'avantage.
Je mis un peu de temps avant de pouvoir m'habituer à cet éclat brutal, heureusement mes paupières laissèrent passer les images du monde extérieur, derrière ces barreaux me séparant d'une vie de nomade.
J'entendais quelque chose atterrir sur le lit juste derrière moi puis un coup de tête sur ma fesse droite vint me demander des câlins.
Sans même prendre le temps de regarder, j'en conclu que c'était Salème, alias Pinou, mon chat personnel, il m'avait choisi comme maître.
Ce chat de gouttière a une mine de papy alors qu'il n'est pas si vieux que ça, il a des poils courts, gris sur la majeur partie du corps avec des nuances de beige sur le ventre et de blanc sur la gorge, la bouche et les pattes.
Il aime les câlins, même sur le ventre, mais il est trouillard et est même capable de piffer sur une plante verte car il croit qu'elle l'agresse.
Il miaule très rarement et fait des bruits bizarres pour signaler qu'il veut qu'on s'occuper de lui, et son ronronnement me fait personnellement penser à un Compteur Geiger.
C'est un des 3 chats de l'époque, 1 autre s'est rajouté depuis.
Ceci dit, je ne fis pas vraiment attention à lui et je lançai un petit regard sur l'écran qui s'était mis en veille.
On fait bouger la souris et c'est bon, il m'affichait 12 minutes restantes.
Je pris à nouveau place sur ma chaise pour réfléchir à ce que je pouvais faire pour passer le temps. Une idée vint à moi !
Quelque clics et me voici dans le dossier "8" où se trouvait une bibliothèque de vidéo et je cliquai sur la première qui m'arriva entre les doigts, elle se nommait "Porn Porn Girl !".
Je descendis la tirette de mon jeans, c'est vrai que j'en portais encore à l'époque, et... Je dû la remonter car un petit clampin sonna à la porte d’entrée de l'appart à ce moment là.
Et je peux dire que je l'avais entendu ce bruit de trompettiste entrain de se faire étrangler en plein concert !
Mes pieds me traînèrent d'un pas léchant jusqu'à la moquette orangée lisse du couloir, j'ouvris la porte.
Un visage me semblant inconnu se trouvait devant moi, des cheveux noirs en perditions, un teint de peau rosé, des yeux rapprochés et globuleux pouvant vous donner très facilement un sentiment de malaise et ce fut le cas pour moi. Cet homme qui devait approcher de la cinquantaine maintenant que j'y repense, était vêtu d'un costume anglais gris avec une cravate rouge. Autre détail très important, il avait un holster avec un pistolet, à la forme je peux dire maintenant que c'était un Sig-Sauer SP 2022. Ce qui me fit savoir que c'était un flic puisqu'il n'avait pas l'air méchant, en plus à ce moment là je remarquai son brassard au niveau du coude qui me fit savoir que j'avais raison.
Et comme si ça ne suffisait pas, il présenta sa carte à moi tout en se présentant oralement.

"Brigadier Thomas Dachour de la Brigade anti-criminalité, j'enquête sur un vol qui a été commis tôt ce matin dans le domicile de Monsieur et Madame Higgens, vos voisins de l'appart en dessous."

Je la rangea et prit un bloc note et un stylo pour normalement noter mes réponses à ses questions, mais je remarquai son étrange regard envers moi, il semblait dédaigneux, je ne savais pas pourquoi.

"Où sont vos parents jeune homme ?
- Ils sont partis faire les courses.
- Et vous êtes ?
- Maxime Moulin.
- Où étiez vous aux alentours de 3 heures du mat ?
- Je dormais ici.
- Quelqu'un peut il le prouver ?
- Non, tout le monde dormait.
- D'accord..."

J'avais senti son ton devenir de plus en plus méprisant, c'était clair, il voyait le mot Coupable sur ma tronche, allez savoir pourquoi vue que je suis complètement innocent dans l'affaire.

"Êtes vous Juif ?
- Quoi ? Non !
- Vous avez un problème contre les Juifs ? Car les Higgens sont Juifs.
- Non, je m'entends même très bien avec eux.
- J'espère pour vous."

J'espérais qu'il en ait bientôt fini car il m'énervait ce con.

"Êtes vous le voleur ?
- Non ! Vous en avez fini avec vos questions !?
- On commence à stresser n'est ce pas, mais oui j'ai fini.
- J'espère que les réponses que vous avez noté vous serons utile.
- Comment ça ? Je n'écrivais pas, je dessinais !"

Il tourna d'un geste ample son carnet révélant un dessin d'enfant mais avec moins de couleurs mais tout aussi mal dessiné. On y voyait un papa et une maman tenir leurs deux enfants par la main, une école en fond, et le soleil qui souriait à pleine dent. Il est sérieux ce type !? Faut croire.
Je vis soudainement un objet apparaître devant moi, c'était son bâton télescopique qu'il venait de déployer sans que je le remarque, il me braquait ma face avec tout en sifflant de mépris.

"Vous avez de la chance cette fois ci, mais en aurez vous tout autant la prochaine fois ? Ah !"

Il descendit les escalier par paire tout en continuant à me fixer façon chouette avec un QI proche d’Ève Angeli, et encore c'est méchant pour elle.
Tout ce qui me resta à faire, c'est de fermer la porte.
J'allais le revoir, je sentais toujours quand quelqu'un allait me chier dans les bottes pendant plusieurs jours. Au pire je pourrais crier au harcèlement et je gagnerais surement, mais bon j'ai pas vraiment envie de faire parler de moi et il s’ennuiera tout seul j'en suis sur.
Tant qu'on parle de ce type, son visage m'était étrangement familier, mais j'étais incapable de mettre le doigt sur quand et où je l'aurais déjà croisé.
Le bruit du téléphone vint interrompre mes prestigieuses pensées du moment, c'était le fixe du salon, je n'en avais pas encore rien que pour moi.
J'accouru en évitant de trébucher sur le Blanc qui se mit sur le chemin, ce gros steak de 7 kg avait l'air d'aimer se foutre en travers du chemin. Il aimait aussi miauler pour qu'on le laisse se promener dans les escaliers, ainsi que courir et sauter dans tout les sens tel un lémurien, il avait la queue qu'il fallait d'ailleurs.
Bon assez parlé de ce chat timbré, je répondis à l'appel tout en me posant sur le premier canapé qui vint à moi, celui à coté de la cage des rates et en face de l'entré de la pièce.
A l'autre bout du fils, une voix grave qui avait tendance à siffler les f et les s se fit entendre, c'était celle d'un de mes rares amies.

"Maxime ?
- Oui Jamey l'abeille.
- Je m'suis dis, ça t'dis une partie de Call Of ?
- Pas aujourd'hui, mais ce week end si tu veux.
- D'ac, j'ai hâte de t'poutrer.
- Tu peux toujours rêver Alexis. Allez, salut.
- Salut Moulinex."

Courte conversation, mais au moins on est allé droit au but.
Je revins après ça dans ma chambre, terminant un cercle et revenant au point de départ.
La souris bougea et sur l'écran la barre de chargement n'était plus.
La vidéo est enfin prête à être postée, signant mon grand retour sur Dailymotion.


Dernière édition par WAF le Jeu 28 Jan - 18:13, édité 5 fois
Revenir en haut Aller en bas
WAF
Le héros des survivants
Le héros des survivants



Messages : 1397
Points : 1401
Réputation : 0
Date d'inscription : 03/05/2013

Paf le chien - Page 8 Empty
MessageSujet: Re: Paf le chien   Paf le chien - Page 8 Icon_minitimeLun 25 Jan - 10:30

21 Janvier 2015

Canada; Monts Logans; Chalet

Maxime se regardait dans un miroir, dans la chambre à coucher réservé à lui et sa tendre, celle était très bien chauffé, il avait pu donc se mettre en tee shirt sans problème.
Il souleva celui ci avec ses deux mains, révélant un beau ballon ovale rasé qu'il espérait pouvoir faire dégonflé. Il sentit ensuite des mains froides dans son dos et vit sa bien aimée qui ne s'était pas changé quand à elle et d'après le reflet, elle était entrain de regarder quelque chose dans son dos qu'elle toucha.
C'était une marque ressemblant à une cicatrice qui aurait été soudé au fer.

Mizore : Qu'est ce que c'est ?

Maxime : Un souvenir du 21 Décembre 2012, c'est que les emmerdes ont commencé pour moi, tu vois ce que je veux dire.

Mizore : Tu pourras me raconter ce qui s'est passé ce jour là ?

Maxime : Bien sur mais c'est une longue histoire, et d'abord on ferait mieux de voir si nos invitées sont arrivées.

Il rabaissa son haut et s'approcha de sa nouvelle tenue mentionné à la fin de la dernière saison, il l'enfila avec l'aide d'une deuxième paire de main et posa à nouveau devant le miroir pour la contempler.
Globalement elle avait gardé sa principale noirceur exceptée pour le symbole en forme de tête de lapin au centre du torse et pour les yeux du nouveau casque intégral, les deux en rouge. Elle avait aussi gardé les oreilles pointus et les Jet Boots, mais les autres accessoires avaient été viré pour être remplacé par deux lames secrètes, sortant chacune des deux gants en se possession pour qu'il puisse immédiatement les attraper en vitesse, il avait aussi une ceinture explosif et un bouton sur son masque qui lâchait un gaz mortel. Sympa quoi !
La tenue en elle même était maintenant plus légère pour permettre à plus de souplesse.
La fille d'un autre monde avait des paillettes en plein dans les yeux, elle se les essuya.

Mizore : Tu as la classe dedans.

Pinou : Ouais... Ah le narrateur a oublié de dire que j'ai installé un système de communication vidéo dans le casque, c'est super pratique.

Mizore : Allez, allons rencontrer les suspects.

Pinou : Après vous, très chère.

Elle le devança et quitta la chambre pour débouler dans la grande salle principale de la demeure où se trouvait le grand escalier les menant au rez de chaussé ainsi que celui menant au sous sol, il y avait aussi l'entrée arrière, la porte menant au salon et celle menant à la cuisine pour ce qui est de l'étage en dessous. A A leur étage se trouvait le couloir menant à la salle de bain ainsi qu'au grenier et les chambres.
Ils descendirent ensemble les première marches en profitant de la bonne aire pure du coin et arriver sur le palier de cet escalier en T, ils virent les deux autres atouts de l'opération les attendre en bas tout en discutant, sans les avoir remarqué.
C'étaient le Commissaire George Monlard et Paul Duquart, le superviseur de la Direction générale de la Sécurité intérieure, qui étaient de se marrer un bon coup.

Paul : Les Rumeurs disent que Gosho Aoyama serait toujours vivant et qu'il aurait simulé sa mort pour prendre des vacances quelques temps et pour se concentrait sur Kaito Kid.

George : Rhé, qui croirait ça franchement ?

Les deux hommes remarquèrent alors leurs amies descendre et il se tournèrent vers eux en laissant tomber encore la poudre blanche qui se trouvaient sur leur gros manteaux. A première vue, on pouvait se douter qu'ils venaient de rentrer de l'extérieur et qu'il avait assisté à la fameuse tempête entourant la zone. Le flicard avait une doudoune verte et un bonnet blanc tandis que son était une Winchester 1200. L'agent avait opté pour un gros manteau violet améthyste avec bonnet gris et un lance flamme pour la sécurité.
Les deux amoureux eurent enfin descendu tout l''escalier quand une voix reprit de plus belle dans cette salle.

Pinou : Alors comment c'était ?

George : Rien à signaler du coté du vieil hôtel et la tour radio, à par la tempête bien sur.

Paul : Rien vue du coté de la grange et de la cabane à part un troupeau de cerf canadien.

Mizore : Nos "amies" sont là ?

George : Presque tous, ils attendant dans le salon d'entré.

Pinou : Il manque qui ?

George : Arnaud Tonpère et Jacques Boudreau, pourtant il y en a qui affirment les avoir vue traîner aux alentours de l’hôtel, mais je n'ai rien vue là bas, ils ont dû ce perdre.

Mizore : Mes confrères ont activé la barrière, je le sens, ils n'ont pas pu s'enfuir.

Pinou : Allez voir à la mine abandonnée, ils y sont peut être.

Paul : OK, tu préfère qu'on prenne quelle entrée ?

George : Celle vers la cabane, c'est la plus proche.

Et à ces mots, les voila partis.
Les deux autres ouvrirent la porte qui les mena au salon où attendaient 8 personnes. Dans l'ordre alphabétique :
- Anne Durceau, une psychiatre française qui est plutôt du genre rational, donc le genre à ne pas survivre dans ce genre d'histoire. Ellle avait des cheveux très courts, noir et elle portait des lunettes rectangulaire avec un petit coté autoritaire.
- Ashley Beaudoin, l'un des rares survivants du gang MitsuAï, c'était le trouillard croisé dans les égouts par Violette. Il avait une grosse touffe de cheveux bruns façon Picasso, son visage aussi était une grosse touffe façon Picasso, et son bide, j'en parle même pas. Il portait des lunettes ovales et avait une manie de murmurer des choses dans une parle qu'il n'avait point.
- Jean-Jean Jean; l'ami défoncé de Maxime, une tronche pale avec des cheveux mi-longs châtains lui cachant la partie gauche de son visage.
- Pierre-Emmanuel Barré, allez voir sa page wikipédia pour plus amples informations.
- Niels Dureau, le second du défunt Général Trystan, il a survécu et le voila ici.
- Silvia Marsome, mi espagnole mi française, c'est la jeune blonde à forte poitrine de 21 ans que Maxime a sauvé du dangereux Robert dans le Prologue de la Saison 1, allez la voir si vous ne l'avez pas vu, ce qui serait con.
- Stive People, vous le connaissez déjà, au suivant !
- Tiffany Matamatov, francorusse et gothique avant tout dans un coté plus traditionnel que Stive lui est souvent dans le steam-punk.
Maxime tapa dans les mains pour attirer l'attention sur lui.

Maxime : Bienvenue à vous tous te merci d'être venu…
Silvia : PINOU !!!
Maxime : Si je vous ais fais venir ici c'est parce que le Docteur Matome, actuellement mort, a ramené dans ce monde un Wendigo et le tout avec l'aide d'un complice inconnu. La créature se balade tranquillement dans les environs et le complice est celui qui l'a relâché, et même si nous ne connaissons pas encore son identité, nous savons qu'il se trouve parmi vous…
PEB : C'est une blague ?
Stive : Elle est où la caméra caché ?
Jean-Jean : J'en ais trop prit gros.
Maxime : Et non, ce n'est pas une blague…
Niels : Dans ce cas, on va se barrer d'ici…
Mizore : Vous ne pouvez pas, la zone est recouverte d'une barrière magique sous forme de blizzard, vous ne pouvez pas partir sauf si nous vous l'accordons.
Anne : Une barrière magique, mais oui…
Niels : Vous n'avez pas le droit de faire ça !
Maxime : Vous voulez vraiment discuter de droit alors que vous avez mi le monde à vos pieds pendant 1 jour et que moi et mes maies nous avons du mettre fin à vos conneries.
PEB : C'est vrai que vous n'êtes pas la meilleur personne pour parler.
Niels : Ferme là connard !
Ashley : On va tous mourir !
Maxime : Sur ce amusez vous bien et…

La porte s'ouvrit avec fracas, interrompant la fin du discours, révélant deux femmes portants un uniforme de flic, enfin je dis deux femmes mais la deuxième on ne la remarquait qu'au deuxième coup d’œil. Elle était planqué derrière la première en mode toute mimi et mimi au passage, elle ne voulait pas se faire remarquer. C'était Nine Blanchfleur, une jeune recrue de 19 ans de la Police Monté (NDA : Leur vrai nom, c'est la Gendarmerie royale du Canada et contrairement aux croyances leur costume classique n'est aujourd'hui porté que comme tenue de parade) qui avait d'incroyablement longs cheveux châtains très clairs tirés en arrière et allant jusqu'aux fesses, ainsi que de très beaux yeux verts clairs. Elle se tenait juste derrière une afro-canadienne de 27 ans qui avait les yeux qui changeaient de cible à 100 à l'heure pour être sur d'avoir bien visualisé tout le monde. De son nom, Lila Roseburd, elle débordait d'énergie et n'était pas timide ça c'est sur, c'était le contrairement plus tôt et elle n'y allait pas par quatre chemin quand elle voulait dire quelque chose. Du coté physique, elle était maigre, avait des cheveux noirs en chignon et un rouge à lèvre rouge foncé du plus beau goût qui allait bien avec ses yeux marrons foncés.
Max semblait le seul à remarquer que les deux femmes avaient exactement la même alliance à la main gauche pour la timide et la main droite pour l'effrontée.

Lila : Alors les filles, prêtes à mourir !? Et cette fois ci les beus ne vous sauveront pas ! Non, nous sommes là pour enquêter et trouver qui qu'à fait le coup !
Pinou : Ah oui j'avais failli oublier que le gouvernement canadien nous avait envoyé des renforts car ils ne nous font pas assez confiance.
Lila : Nine, tu veux dire quelque chose.

Elle secoua de façon négative la tête.

Lila : Dans ce cas, c'est parti pour la chasse aux mystères, poussez vous !

Elle rentra dans le tas et quitta la pièce par la porte en face de celle du couple froid, celle ci donnait à un couloir délabré et très peu utilisé qui donnait sur le débarras.
Max voulait partir lui aussi.

Pinou : Si vous nous cherchez, nous serons dans la chambre ne haut tout à gauche.

Ils furent partis à leur tour, laissant les 8 suspects.

Niels : J'ai vu sur un plan qu'il y avait une cabana pas si loin que ça, pour les amoureux, qui m'aime me suivre.
Anne : Je viens, toutes ces idioties me font regretter d'être venue ici.
Stive : Je vais à la cave, il y a peut être des trucs sympa là-bas.
Tiffany : Je viens avec.
PEB : Moi, je vais faire un tour dans la cuisine pour voir si il n'y pas de l'alcool.
Silvia : Je vais aller me chauffer un bain.
Jean-Jean : Je vais faire un tour dans la grange qu'il y a sur la carte.

Ils furent tous partis à leurs activités, sauf une seule personne.

Ashley : Et Moi ? Bon je reste là alors…

Il commençait déjà à flipper grave.
Revenir en haut Aller en bas
WAF
Le héros des survivants
Le héros des survivants



Messages : 1397
Points : 1401
Réputation : 0
Date d'inscription : 03/05/2013

Paf le chien - Page 8 Empty
MessageSujet: Burn with me !   Paf le chien - Page 8 Icon_minitimeJeu 28 Jan - 21:50

POV Takagi

Ah le jour que j'avais attendu depuis longtemps arrivait enfin, ça faisait plaisir !
J'allais enfin me marier avec Sato, pardon la futur Miwato Takagi je veux dire !
Elle était là devant moi dans sa belle robe blanche, toute rougissante, moi ça devait être encore pire de mon coté.
Tous nos amies de la police étaient là, même si une bonne partie d'entre eux me lançaient des regards noirs, ils pouvaient aller voir ailleurs si ils ne sont pas content !
D'autres personnes que nous connaissions étaient également là, et aussi de parfaits inconnus comme un gros type moustachu habillé en salopette rouge avec un M marqué sur sa casquette, il semblait italien.
Nous étions dans une grande église chrétienne pour célébrer le mariage, c'était évidemment pour faire plus occidental.
Le prêtre n'était autre que le surintendant Hyoue Kuroda, j'évitais de le regarder car pour être franc, il me fichait un peu la trouille.
Et quand il prit la parole ce n'était guère mieux, j'avais l'impression d'entendre Satan me réciter des sermons de Dieu.

"Wataru Tagagi, souhaitez vous prendre prendre pour épouse mademoiselle Miwato Sato ici présente ?
- Oui je le veux !
- Et vous, vous, vous, vous, vous, vous..."

Après avoir à priori "bugué", le surintendant se volatilisa sans laisser de traces, et il ne fut pas le seul.
Toute la salle se vida presque de tous ses occupants, oui je vous le jure, ça peut sembler incroyable mais même moi j'avais l’impression de rêver. Et ce ne serait pas la première fois que je rêve d'un mariage.
Il ne restait que 11 personnes au totale :
- Moi qui était complètement perdu.
- Sato qui dégaina son arme de service.
- Chiba qui était trop occupé à manger pour remarquer quoi que ce soit.
- Yumi qui me regarda étrangement, elle était bizarre depuis le début du mariage, elle semblait déprimé.
- Shinichi qui était entrain de murmurer des choses à l'oreille de sa femme, Shiho, qui elle ne faisait qu'approber de la tête
- Le Détective de l'Ouest qui tenait son amie, Kazuha si je m'en souviens bien, à bout de bras tout en regardant en direction d'une autre personne.
- Celle ci était la femme que j'avais pris pour un garçon au départ et qui était détective, elle aussi regardait le détective, il y avait une sorte d'alchimie entre les deux.
- Il y avait aussi le garçon que j'avais pris pour une fille la première fois, il était revenu des Etats Unis rien que pour ça et à ce moment là, il avait les yeux fermés, il semblait concentrer son chakra.
- Et pour finir il y avait l'homme qui possédait une subaru, il avait presque tout le temps les yeux fermés, ça ne doit pas être facile de vivre comme ça. Là il était entrain de toucher son cou, je ne sais pas pourquoi.
En plus de ça, la lumière s'était abaissée soudainement alors qu'il faisait grand jour avec un beau soleil précédemment. Maintenant il faisait nuit et la seule chose qui éclairait l'édifice était une mystérieuse lueur rouge/orange provenant de l'extérieur et traversant les vitraux.
Une douce voix pourtant ferme et strict me vint aux oreilles.

"Wataru, je sens une présence se rapprocher.
- Comment ça ? Miwato ?"

Ma réponse fut la porte d'entrée qui vola en éclat, rajoutant plus de lumière dans la sombre pièce éclairée. Une lumière blanche vive nous illumina tout en laissant se mouvoir une forme angélique aux ailes de flammes. C'était... Ran Mouri !?
Elle n'était pas morte !? Faut croire que non !
Elle avança dans sa tenue de lycéenne lentement vers nous deux tout en créant deux murs de flammes des deux cotés de l'allée pour dissuader toute personne de s'approcher d'elle au risque de se brûler.
Un orgue joua surnaturellement un air venu de nul part, je me pinçai discrètement pour être sur de ne pas rêver, mais pas de doute, tout ceci était réel.
Ran s'arrêta, la musique aussi et elle esquissa un sourire qui était très loin d'être innocent, je peux le dire de par mon métier qui en avait vu des similaires.
Elle pointa sa main vers Sato et... Désoler je peux pas !
C'est trop dur de vous le raconter !
Je me met à trembler comme au Jour J.
Mais il le faut, sinon j'arriverai jamais à m'en remettre.
Bon... Respirons... Sato prit feu.
A ce moment là mon cœur sauta un battement et le temps s'écroula autour de moi pour se faire aspirer par le feu ardent hantant le cœur de la lycéenne qui n'était plus celle que je connaissais jadis, si elle l'avait vraiment été une fois.
Son dernier geste d'amour envers moi, son dernier geste tout court, fut de tendre la main vers moi.
Je voulus l'attraper mais elle était si proche et si loin en même temps, et bientôt, elle ne fut plus.
La personne pour qui je tenais le plus n'était plus qu'un cadavre calcinée comme je peux en voir au boulot, pour le première fois de ma vie je pouvais comprendre tous ces meurtriers qui avaient cherché à venger la mort de leur bien aimé car la justice n'avait pas pu le faire.
Je voulus tirer sur ce Diable ricanant mais je ne pouvais plus bouger un seul muscle, j'étais complètement paralysé.
Et le Mal en personne se retrouva bien vite devant moi, victorieux, et une seule question vint à mes lèvres sanglotantes.

"Pourquoi ?"

Son visage respirait une joie psychotique et elle me répondit avec un sourire démoniaque.

"Il n'y a pas de raison que vous ayez votre mariage alors que moi je n'ai pas pu avoir le mien avec Shinichi.
- Tu vas nous emmerder encore longtemps !? Cria la copine du concerné.
- Patience, je m'occuperais de toi après, j'en finis juste avec ce cher Takagi."

Des flammes se reflétèrent au travers de ses yeux, ce n'était pas bon signe pour moi, surtout que mes membres faisaient grèves.

"Brûle avec moi !"

Et alors que tout espoir semblait perdu pour moi, une voix vint raviver  mon cœur brisé, c'était une voix à la laquelle je n'avais vraiment fait gaffe mais elle me semblait si douce et excitante maintenant que je m'attarde là dessus.
Elle cria mon nom de désespoir avant de sortir des flammes tel un poltergeist pour se fondre sur l'ange déchu qui affichait pour la première fois de la peur sur son visage.
La chaleur se refroidit quand la gâchette fut pressée, la mort put être lu dans ses yeux, le tout mêlé à une incompréhension totale.
Le corps chuta mais ne tomba jamais sur le sol, à la place il traversa le sol alors que les flammes s'éteignirent, laissant arriver le retour de notre ami le soleil pour pouvoir redonner de la vie dans cette pièce où la mort avait prit les rennes pendant quelques instants.
Je peux être poétique quand je veux, il faudrait que je pense à une reconversion.
La personne qui m'avait sauvé la vie se tenait là où se tenait Ran juste avant, elle avait les vêtements brûlés, de même pour certaines parties de sa peau blanche.
Elle me regarda avec un petit sourire puis mit un petit coup à ses longs cheveux bruns pour les faire danser, avant de prendre la pose, la main gauche sur la hanche et la main droite qui était plus occupée à me tapoter le front.

"Tu pourrais me remercier d'avoir risquer ma vie pour la tienne."

Cette façon de me taquiner, c'était du Yumi tout cracher, mais pour la première fois j'étais heureux de l'entendre me faire ses blagues, me faisant oublier la mort de Sato un peu trop rapidement me direz vous mais c'est comme ça dans la vie faut prendre le train quand il passe sinon tu peux encore attendre longtemps pour le suivant.
En tout cas mon espiègle favorite fut surprise quand elle sentit le contact de mes lèvres sur les siennes, elle se laissa alors entraîner par ce rythme envoûtant soutenu par les applaudissements des invitées qui n'ont servi à rien dans cette histoire, faut le dire.
2 heures plus tard, on avait refait la scène du mariage mais dans un sanctuaire shinto cette fois ci, avec kimono comprit dedans. Il y avait des miko présentes pour cette cérémonie religieuse, mais le rôle du prêtre était joué non pas par un vrai mais par une certaine superA qui était chargée de faire en sorte que le coup de l'église ne se reproduise pas.
C'était une jeune femme brune de petite taille, qui avait l'air très gentille mais aussi maladroite, et elle galérait à lire ses fiches pour respecter les étapes de la cérémonie, je me souviens clairement de ses plaintes.

"P'tain, elle est où la feuille suivante !? Sylkabe va me tuer si je fais foirer le truc ! Ouf la voila ! Ah non, c'est pas la bonne !"

Heureusement elle la trouva, nous bûmes pas mal de saké et je fus complètement déchiré après le mariage, de même pour Yumi, mais au moins tout s'était bien passé cette fois ci.
Voici donc comment je me suis marié avec Yumi Miyamoto, ce fut son ex copain qui fut vert de jalousie pour le coup.
Revenir en haut Aller en bas
WAF
Le héros des survivants
Le héros des survivants



Messages : 1397
Points : 1401
Réputation : 0
Date d'inscription : 03/05/2013

Paf le chien - Page 8 Empty
MessageSujet: Re: Paf le chien   Paf le chien - Page 8 Icon_minitimeVen 29 Jan - 22:47

Route menant à la Cabane et aux Mines

Dans ces bois de feuillus, la neige était reine, et même si la tempête ne se manifestait pas dans cet endroit, le paysage était d'une blancheur éclatante malgré qu'il faisait nuit et qu'il était 20 heures passées.
Deux silhouettes assombris s’avancèrent du mieux qu'ils pouvaient au travers de cette mer de neige, avec leur gros manteaux et leur armes de prédilection.
Cela faisait plusieurs longues minutes qu'ils s'étaient aventurés au travers de la forêt pour arpenter un chemin peu praticable qui était censé donner à la cabane des amoureux ainsi qu'à l'une des entrées minières du coin.
Ils n'avaient presque rien dit du chemin et ce n'étaient pas leurs lèvres gelées à -12 qui allaient arranger la chose.
Malgré cela, le Commissaire réussit à remuer les siennes, se les réchauffant un peu au passage.

George : On est bientôt arrivé tu crois ?

Paul : Ouais c'est bon, je me rappel de ce Sapin baumier avec un point d'exclamation rouge gravé dessus, on ne devrait plus tarder à voir la cabane.

George : Et sinon, pas trop dur le boulot ?

Paul : Ça va, même si en ce moment ça déborde pas mal avec Daesh et Al-Qaïda qui essayent de montrer qui a la plus grosse en massacrant des gens.

George : C'est vrai que notre pays est sous l'état d'urgence.

Paul : Ça craint beaucoup, même si le monde a l'air de s'améliorer, ce que les gens ne voient pas c'est qu'il régresse sur plein de points, et donc il reste toujours aussi merdique à la fin.

George : Je le sais, n'oublie pas que je suis commissaire de police depuis 14 ans, j'ai remarqué à quel point l'humanité pouvait m'exaspérer.

Le vieux briscard était complètement d'accord avec son ami du gouvernement, ils avaient la même vision cynique de la société dans laquelle ils vivaient.
Ils arrivèrent au bout du compte devant l'abri silencieux perdu dans la pénombre qui comptait une pièce principale qui servait de salon et de cuisine puis un couloir accessible sans porte qui menait à la chambre à coucher qui elle en avait une et où se trouvait la salle de bain.
Le seul truc, c'est qu'ils n'avaient pas besoin d'aller se prélasser là bas pour le moment. Paul montra à George avec son doigt un écriteau que lequel se trouvait la carte du coin, on pouvait voir leur position et où se trouvait la mine par rapport à eux.

Paul : C'est à deux minutes au Nord, sachant que nous venons de l'Est.

George : Je mène la marche.

Dit il d'un air assuré avec son fusil 7 coups chargé en calibre 12 avant de partir devant en éclaireur, ses bottes cramponnant la neige qui avait maintenant un niveau plus bas et n'atteignait que leurs chevilles alors qu'avant elle était au niveau des genoux.
Il se retrouva à nouveau à traverser un petit chemin entre les arbres sous la lueur de la pleine lune rayonnante de soleil ambiancé par un silence inquiétant qui ne laissait présager rien de bon.
Sa moustache se leva fièrement quand il vit l'allure de cette caverne creusée par l'homme se dessiner dans l’horizon, laissant scintiller certaines poutres en bois moins usées par les temps que ses congénères.
Il évita néanmoins d'exprimer son contentement à haute voix car un petit troupeau de 5 caribous se tenait à 10 mètres devant lui, juste devant l'entré de la grotte.
Ils étaient entrain de brouter l'herbe qui parvenait à dépasser de la neige sauf l'un d'entre eux qui était plus en retrait et était entrain de se nourrir de lichen près de la cime des arbres.
Ne voulant pas se faire remarquer, le moustachu s'était planqué derrière un tronc qui s'était cassé la gueule sur la route et il observait ce spectacle assez magique qui s'offrait à ses yeux et qu'il ne pouvait que peu voir au quotidien.
La nature qui fait son chemin sans l'intervention de l'homme, c'était splendide, finalement il ne regrettait pas d'être venu ici, il en oubliait presque la menace qui pouvait surgir à tout moment.
Une main se posa sur son épaule gauche, c'était Paul qui lui aussi semblait apprécié cela et qui allait étaler sa science en murmurant.

Paul : Les 4 là ce sont des Caribous des bois, ils se trouvent en général dans les zones moins froides du canada ou dans les frontières entre les deux comme ici, d'ailleurs celui qui est tout seul est un caribou de la toundra, eux c'est l’inverse, ils se trouvent dans les zones les plus froides. Ils sont les proies idéales pour les loups canadiens.

George : Tu n'avais pas parlé de Wapiti tout à l'heure ?

Paul : Ouais, normalement on trouve ces cerfs dans le sud ouest du Canada, mais de rares spécimens vivent dans le coin aussi, j'ai eu de la chance on dirait. Ce qui serait drôle c'est de croiser un Orignal.

George : Tant que c'est pas un Glouton, ça me va. Un de mes amis c'est fait attaquer par une de ces bêtes là, on a dû lui greffer un nouveau visage.

Paul : Il parait que les Ours Polaire descendent de l'arctique jusqu'au Canada et qu'il commence à y en avoir dans le coin, à cause du réchauffement, on pourrait peut être assisté à un affrontement Ours Polaire/Grizzly.

George : Tu en as de ces idées...

Un hurlement se fit alors entendre, celui d'un loup, une meute devait se trouver non loin de là entrain de chasser.
Les rennes canadiens l'avaient bien compris et ils étaient entrain de regarder dans les alentours en orientant leurs oreilles vers le moindre son suspect. A partir de cet instant il leur fallait être méthodique si ils ne voulaient pas se faire avoir comme des bleus.
La faux du Destin s'abattit sur le pauvre caribou de la toundra qui n'eut pas le temps de bramer qu'un loup sauta hors d'un buisson et s'agrippa à sa nuque pour la mordre le plus fortement possible tandis que ses 5 autres potes sortirent à leur tour, faisant fuir au passage les herbivores dans la direction opposé.
La proie ne survécu que très peu de temps puisqu'elle eut la nuque brisé et elle tomba sur le sol, son assaillant la relâchant enfin pour pouvoir entamer le festin avec sa joyeuse bande de camarade.
Ils plantèrent les crocs dans la carcasse encore chaude de la bête et lui extirpèrent des morceaux de chairs, mâchouillant tout ce qu'ils pouvaient à pleine dent, à la fin il n'en restera plus rien du corps.
George n'aurait jamais cru assister à une partie de chasse d'une meute de loup, Paul, lui, sourit, il semblait apprécier le spectacle.

Paul : Les deux qui ont la queue levée sont le couple Alpha, ils dirigent la meute.

George : Ils ont l'air de se faire plaisir.

Paul : Ça me fait penser que je n'ai pas eu le plaisir de rencontrer mon animal favori du coin, le Lynx Polaire, en général pour le croiser, il faut traîner là où se trouvent les lièvres américains.

George : Vue que tu as l'air de t'y connaitre, on ne risque rien avec ceux là ?

Paul : Non, les loups ont peur de l'homme, si un loup t'attaque c'est presque toujours parce qu'il la rage mais encore c'est peu fréquent, si ceux là remarqueraient notre présence, ils fuiraient.

Le femelle alpha hurla à son tour à la lune et eut une réponse, un autre hurlement plus monstrueux, ne venant pas d'un loup, qui résonna dans toute la forêt.
Et la créature dont ce cri provenait semblait très proche vue hauteur du son, c'était vraiment pas bon signe. Le mec de la DGSI le savait et il se leva lourdement avec son matos.

Paul : Dans la mine vite !

Ils sautèrent par dessus le tronc pour ensuite accourir vers la seule porte se présentant à eux, laissant leurs empruntes derrière eux et passant près de la meute affolée qui firent de même en s'éclipsant derrière les buissons d'où ils venaient.
Ils passèrent juste à coté d'un écriteau avec des pictogrammes leur disant que "Attention, risque d'éboulement élevé", mais évidemment ils n'eurent pas le temps d'y consacrer une attention particulière, ils devaient se préoccuper de leur vie d'abord.
Ils s'engagèrent donc à l'intérieur de ce sombre endroit mais ne purent pas continuer plus loin car George trébucha sur quelque chose et tomba à la renverse, sur le ventre et son fusil glissa loin de lui, tapant le pied de Paul qui eut le sang qui se glaça en voyant ce qui se tenait devant lui.
George le découvrit aussi quand ils se retourna pour se mettre sur le dos. Ce fameux Wendigo tant mentionné qui se trouvait là debout à l'entré, ne laissant qu’une silhouette à contrenuit.
Le superviseur Duquart se rappela alors en partie la description que Basil Johnson avait donné à ces créatures.
« Le Wendigo était émacié à un point extrême, sa peau desséchée tirée et tendue sur ses os. Avec ses os poussant contre sa peau, elle-même de la couleur des cendres grises de la mort, et ses yeux repoussés au plus profond de leurs orbites, le Wendigo ressemblait à un squelette récemment déterré de sa tombe. Ses lèvres, étaient en lambeaux […] souillé de sang et de souffrance et de suppurations de la chair, le Wendigo dégageait une odeur étrange et inquiétante de dégradation et de décomposition, de mort et de corruption. »
Sauf que le squelette en question était plus celui d'un cerf à la posture humaine que d'un vrai humain, mais sinon ça y ressemblait bien.
La bestiole s'approcha aveuglément vers l'homme sans défense au sol qui s'attendait à se voir y passer. Heureusement pour lui une rafale de flamme vint rappeler au monstre qui était le patron et il fit un petit bond de 5 mètres en arrière en poussant un petit cri de colère.
George regarda son ami brandir son lance flamme tel un grand héros sur le champ de bataille, mais il revint bien vite à la raison.

Paul : Le fusil !

Comprenant le message, le concerné se retourna à nouveau pour être sur le ventre et rampa rapidement jusqu'à l'arme et la ramassa avant d'ensuite se remettre sur le dos et tirer un coup vers la cible qui était immobile.
Seulement celle ci évita le tir par la droite et enclencha la 3ème vitesse en réussissant à sauter par dessus le pyroman qui se retourna pour la garder en ligne de mire. Ça ne marcha que moyennement puisqu'un coup de patte lui fit valdinguer en arrière, puis tomber durement sur le sol rocailleux, se prenant une grosse masse sur le ventre.
Le flicard ne savait plus quoi faire, cette fois ici son pote ne pouvait plus rien faire, il était coincé.
Seul contre cette abominable créature, il ne pouvait faire qu'une seule chose avant d'y passer...
Appuyer sur la gâchette.
Bien sur le wapiti cannibale ne sentit rien mais il fit quand même un petit bond en arrière et toucha la poutre derrière lui. Suite à ça, toute l'entrée se mit à trembler et des gros morceaux de roches tombèrent du plafond, ce fut un éboulement totale.
L'entrée fut condamnée entièrement en moins de 10 secondes, ensevelissant au passage les 2 personnages et le Wendigo, les deux premiers étaient très certainement morts, le dernier surement pas mais au moins il serait bloqué dans la mine pour le moment.
Mais est ce qu'il est pour autant le seul danger qui plane au dessus de la tête des suspects ?


Dernière édition par WAF le Dim 31 Jan - 20:30, édité 5 fois
Revenir en haut Aller en bas
WAF
Le héros des survivants
Le héros des survivants



Messages : 1397
Points : 1401
Réputation : 0
Date d'inscription : 03/05/2013

Paf le chien - Page 8 Empty
MessageSujet: Re: Paf le chien   Paf le chien - Page 8 Icon_minitimeSam 30 Jan - 23:51

POV George Lazenby

Qu'est ce que je fous là ?
C'est la question que je me posai après avoir traversé une drôle de faille pour me retrouver dans une ville, Tokyo je crois, avec tout qui était représenté comme dans un de ces "animés" que regarde mon petit fils.
J'étais donc coincé au milieu d'un trottoir à regarder les habitants de cette ville passer devant moi, mais il ne semblaient pas réels.
D'ailleurs on me regardait comme un extraterrestre, car moi j'avais gardé mes couleurs du vrai monde, je ne saurai dire pourquoi.
Finalement l'idée la plus censé que l'on pouvait avoir à ce moment là me vint en tête. Me renseigner auprès des passants.
J’interpellai une jeune femme aux longs cheveux bruns clair tirant même vers le roux et qui semblait vouloir se cacher, elle portait un gros manteau rose, des lunettes de soleils de la même couleur et un chapeau melon rouge foncé.
Elle s'arrêta face à moi et sembla gêné en quelque sorte, j'essayai d'être brève tout en ayant mon coté charmeur même si je n'avais plus l'age pour draguer des jolies jeunes femmes comme celle là.

"Excusez moi, vous pouvez me dire exactement où nous sommes ?
- Eu... Oui, nous sommes à Beika, et là bas vous pouvez voir le Café Poirot."

Elle pointa du doigt un café à quelques pas d'ici où se trouvait des logis aux étages au dessus. Un homme en costard cravate blanc semblait attendre quelqu'un, la jeune femme femme était entrain de le regarder un peu embarrassé, je joignais vite les deux bouts.

"C'est vous qu'il attend, n'est ce pas ?
- Oui en effet, je vais vous faire une confidence, comme vous me semblez sympathique malgré que vous soyez un peu perdu, je suis Yoko Okino, une grande stars de la pop ici et lui c'est le célèbre Détective Mouri, nous avons prévu de bientôt nous marier et aujourd'hui nous avons prévu un rendez vous dans le Café Raoul.
- Je comprends, je ne vais pas plus vous déranger.
- Merci, et désoler de ne pas pouvoir plus vous aider, vous semblez venir de très loin."

A ces mots, elle s'en alla rejoindre le détective et moi je ne fus pas sorti de l'auberge, je décidai alors de me promener un peu, mais je ne pus même pas faire 3 pas qu'une personne m’entraîna dans une ruelle et me plaqua contre le mur.
C'était une silhouette sombre, comme si elle était nue, qui me menaçait avec un couteau et un sourire d'une blancheur interstellaire.
Fallait que ça m'arrive à moi !
Mais le bougre ne savait pas qu'il avait à faire à un disciple de Bruce Lee, donc je pus très facilement parer sa lame et lui enchaîner 5 poings dans la face avant de le finir avec un coup de pied circulaire.
Après cela je le laissai à l'état de larve sur le bitume avant de partir essayer de retrouver mon chemin mais ce n'était pas facile, je crois que les autres allaient pouvoir m'attendre encore longtemps.


Dernière édition par WAF le Mar 2 Fév - 6:27, édité 1 fois
Revenir en haut Aller en bas
WAF
Le héros des survivants
Le héros des survivants



Messages : 1397
Points : 1401
Réputation : 0
Date d'inscription : 03/05/2013

Paf le chien - Page 8 Empty
MessageSujet: Re: Paf le chien   Paf le chien - Page 8 Icon_minitimeDim 31 Jan - 21:06

Rez de Chaussé du Chalet

Un faisceau de lumière éclairait des étagères poussiéreuses et froides dans une petite pièce qui était l'une des pièces servant de débarras, toutes étant situé dans la partie droite du chalet au rez de chaussé. Cette seule source de lumière venait de la toute timide policière aux longs cheveux soyeux qui faisait son boulot tout en essayant de se rassurer pour ne pas paniquer. En effet tout ce qui effet lié au surnaturel la faisait facilement flipper, un peu comme Ran de Détective Conan, mais malgré ça elle pouvait se montrer aussi très courageuse si il le fallait ainsi que contre des individus normaux.
Là elle observait une des nombreuses étagères qui obstruaient la pièce, sur celle ci se trouvait une vieille photographie en noir et blanc représentant un couple serrés entre eux. L'Homme avait une grosse moustache et un long menton en forme de banane tandis que la femme était un peu enrobée avec de grosses joues et elle portait des lunettes de vue rondes.
Le chalet était visible en arrière plan, ils semblaient heureux.
Nine prit le cadre et regarda derrière, un message y était inscrit.

Message derrière la photo du couple du chalet

Lucia, cette photo est le dernier souvenir qu'on est eu ensemble avant ta tragique disparition. Tu me manque, les jours sont fades, dénués de sens sans ta présence. C'est pour cela que je laisse une dernière trace de ma vie à cet endroit là pour que tu puisse le voir de là où tu es. Ce soir j'irai te rejoindre. Ton Mari, Samuel. 15 Juillet 1936.

Nine eut les larmes aux yeux, c'était un message de suicide adressé à la femme de cette personne qui est morte. Et le plus troublant c'est que cette inscription date des années 30, c'est une relique.
Elle ne savait pas vraiment quoi en faire de ça, et elle se demandait si le cadavre du mari se trouvait encore quelque part ou si ses collègues l'avait trouvé et qu'il se trouvait enterré dans un endroit plus approprié. Après il y avait une chance même minime qu'il ait changé d'avis à la dernière minute, mais ça elle ne le saura sans doute jamais.
Elle reposa le cadre à sa place, entouré par des bibelots un peu plus futiles.
Soudain son corps se tétanisa quand elle sentit une présence lui frôler le dos, ses yeux s’écarquillèrent tandis qu'un souffle chaud vint se poser sur sa nuque tel un astronaute sur la Lune.
Elle réussit néanmoins à désarticuler ses fins doigts jusqu'à son holster pour prendre son Sig-Sauer P226, mais une main étrangement familière attrapa la sienne.
Elle se retourna violemment et fut bloqué contre l'étagère, renversant une partie des objets s'y trouvant.
Un masque illuminé par le faisceau d'une autre torche se trouvait juste devant elle, il rappelait le Cri de Edvard Munch.
La jeune femme voulut pousser un cri pour appeler à l'aide, mais la même main que tout à l'heure lui boucha la bouche puis finalement le faisceau se dirigea ensuite vers un visage qu'elle connaissait plutôt bien qui lui fit un petit "Bouh" avant d'arrêter ce cinéma et de se plier de rire.
Ce n'était que Lila qui avait fait une blague et avait l'air de s'en amuser beaucoup contrairement à la victime de ce coup qui soupira.

Nine : Lila, c'est pas vraiment le moment.

Lila : Désoler ! C'était plus fort que moi ! J'ai trouvé un costume du méchant de Scream et je me suis dis que ce serait trop génial !

Nine : Scream ? Qu'est ce qu'un costume d'un film pas si vieux que ça fait ici ?

Lila : Je sais pas, il appartenait peut être à un voyageur de passage. Parce que je ne pense pas que le Wendigo soit du genre à se déguiser en Ghostface ou en Freddy Krueger.

Nine : Mais s'il te plait, évite de faire ça là, c'est un peu trop...

L'expression du visage de l’espiègle changea drastiquement, passant de la joie et de l'enjouement à l'inquiétude et la désolation.
Elle posa une des ses mains dont les ongles étaient couverts de vernis rouges sur le visage blanchâtre de la femme chagrinée et anxieuse.

Lila : Ma petite fleur de lys, je suis désolé, je n'aurai pas dû, t'as raison, c'est pas vraiment le moment pour faire ça avec cette menace omnipotente.

Nine : Lila, j'ai peur... Cet endroit respire la mort, j'étouffe...

Lila : Ecoute, si ça ne va vraiment pas, je demande à ce qu'on nous fasse sortir et on rentre à la maison dans ce cas là. Ils n'auront qu'à envoyer quelqu'un d'autre au suicide.

Nine : Merci... Mais c'est bon, je peux y arriver, il le faut bien, on a une mission à faire.

Lila : Tu es sur ? Ça ne me dérangerait pas de partir... Enfin si un peu, mais pour moi, le bonheur de ma récente femme passe avant tout, si vraiment ça te dérange, on peut partir.

Nine : C'est gentil, mais je vais refuser, pour l'instant. Par contre je préférerais qu'on sorte juste de ce chalet...

Lila : Très bien, faisons cela dans ce cas... Mais d'abord un petit baiser pour nous porter chance.

Nine esquissa un sourire angélique tellement innocent que même la Vierge Marie en serait comblée, et elle se transforma de plus en plus en une tomate au fur et à mesure que les lèvres de Lila se rapprochèrent des siennes jusqu'à finalement s'y visser et échanger une douce saveur de pommes fraîchement cueillit à l'arbre de la connaissance.
Un torrent de douceur coula le long du tunnel de l'amour jusqu'à finir son plongeons dans un bain d'acide et disparaître dans les profondeurs du gouffre de subsistance.
Même le plus grand poète français ne saurait trouver les mots justes pour décrire cette sensation qui parcourait leur être.
Ce beau moment fut interrompu par un craquement sur le plancher de bois, une personne pas vraiment prévu au programme fit son apparition et semblait un peu gêne d'avoir gâché tout cela.

Ashley : Désoler pour le dérangement, je ne voulais pas rester seul alors je suis allé voir si tout se passait bien de votre coté.

Lila : Tout va bien, on allait y aller, pas vrai Nine ?

Nine : Oui.

Ashley : OK, je vous accompagne.

Lila : Merci c'est gentil, je saurai vous protéger tous les deux sur le chemin.

Elle le poussa un peu hors du chemin pour prendre la tête du minuscule cortège et ils arrivèrent en fin de compte à nouveau à l'entrée qui était désormais presque vide. Presque vide car l'humoriste de France Inter se tenait là, du moins il essayait car il manquait de se vautrer par terre puisqu'il était déjà complètement saoul avec sa bouteille de Vodka Pincer qui glissait doucement au-de-là de sa main gauche.
Lila lui fit une grosse tape dans le dos, ça le fit lâcher la bouteille qui tomba au sol et roula derrière un meuble.

Lila : Hé bein, c'est que t'es rouge mon p'tit bonhomme !

PEB : Ch'uis pas un Indien, je leur bouffe les couilles !

Lila : T'approche pas, tu sens fort !

La porte de l'entrée s'ouvrit à ce moment là, c'était Jean-Jean qui descendit un peu la tirette de son manteau maintenant qu'il était un peu au chaud.
Il fit un petit salut de la main aux quatre personnes devant lui.

Jean-Jean : La grange est clean, aucun Wendigo là bas.

Ashley : D'accord, je vais y aller, enfin essayer.

Jean-Jean : Bien, moi je vais voir si Silvia a de l'eau chaude en haut.

PEB : Et moi, j'crois que j'vais faire un tour !

Nine : Lila, on y va ?

Lila : Oui, ne t'en fais pas, bon on vous laisse vous deux et j'espère qu'aucun de vous n'est le complice sinon il aura à faire à moi !

Ils se séparèrent, les deux policières partirent dehors avec le blagueur bourré qui s'isola juste après, les laissant toutes les deux se rendre à leur véhicule de fonction, une Chevrolet Tahoe.
Nine monta sur la place du guide tendit que sa femme prit le volant, laissant apparaître une petite lumière réchauffant le cœur et qui s'évapora quand toutes les portières furent refermées.
La tête du couple alluma le lecteur cd pour renforcer un peu l'ambiance.

Lila : Tiens je vais te mettre notre musique à nous, ça devrait te déstresser.

Nine : D'accord, c'est vrai, j'ai un peu besoin de me calmer.

Elle mit la musique White of Crime de Revalcy, ça mit un peu d'ambiance en cette froide soirée, la clé fut ensuite installée sur le contact et les phares s'allumèrent.
Le véhicule recula puis fit un demi tour avant de partir hors du cadre, les forces de police venaient de quitter la scène principale, laissant de pauvres agneaux en proie avec le Loup.


Dernière édition par WAF le Mar 16 Fév - 22:32, édité 8 fois
Revenir en haut Aller en bas
WAF
Le héros des survivants
Le héros des survivants



Messages : 1397
Points : 1401
Réputation : 0
Date d'inscription : 03/05/2013

Paf le chien - Page 8 Empty
MessageSujet: Re: Paf le chien   Paf le chien - Page 8 Icon_minitimeDim 31 Jan - 21:41

16 Décembre 2012

Hé oui nous étions déjà le lendemain matin, ça passe vite me direz vous.
Et avant de vous conter plus de détail, je tiens à remercier Sylkabe pour son soutien, vous pouvez lui jeter des roses si vous voulez, ou des grenades, ça lui fera surement plaisir. Sans lui je ne me serai jamais lancé dans l'écriture de mes mémoires fastidieuses et nébuleuses... Je sais c'est plus drôle quand c'est Suzumiya qui raconte, mais là c'est moi, il faudra faire avec, mais ne vous en faites pas, il y aura de l'action.
Attardons nous sur le cours de 9 heures - 10 heures, c'était un cours d'histoire-géo avec Monsieur Tabakovic, un cas spécial.
Il est bosniaque et natif de Sarajevo, je ne savais pas quel age il avait mais il semblait vieux donc on lui colle la cinquantaine et puis bastas.
Pour son physique, il avait une fine moustache noire qui formait un sourire de Cheshire, la peau brun/gris, des rides sur tout le visage, des cheveux très courts et gris. J'avais dis qu'il faisait vieux. Ses yeux étaient bleus clairs je crois, une mince bouche desséché comme la Mer d'Arale. Son nez pouvait rappeler les plus belles batailles de Napoléon 1er dû à sa difformité.
Son cou fripé semblait frémir à chaque fois que la sonnerie retentissait.
Il en rajoutait en plus en s'habillant façon bouseux de la cambrousse, il avait l'air encore plus vieux que ce qu'il n'était, une momie vivante.
Après on pouvait lui pardonner certains de ses attraits qui furent causés par des expériences passés qu'il s'amusait à nous conter tel un vieux loup de mer ayant vecu milles et une aventures dans des contrées lointaines, naviguant à vent contraire avec la marée haute qui ferait chavirer son navire tandis qu'au dernier moment seulement il prononcerait ce qui furent ses derniers mots : "De mon temps en 1453, il n'y avait pas de tomate !"
Attendez... Qu'est ce que je viens d'écrire ?
Faut que j'arrête les substances de Jean-Jean, et puis ce prof n'est pas SI vieux que ça, même si parfois on dirait le grand père Simpsons mais ça c'est autre chose.
Pour info, j'étais en classe de 3ème, redoublant, et au passage le Doyen de la classe, ce n'est pas pour autant que j'étais Sage. Et cette année, j'avais pu enfin me faire quelques amies, dont un que me semble vraiment amical, Alexis Jamey, qui se trouvait assit à coté de moi juste devant le bureau du prof.
Il avait des cheveux carrés châtains foncés, un gros front, des petits yeux qui laissaient la place à des sourcils plus gros qu'eux, un nez patate, une bouche ni trop grosse ni trop maigre et une mâchoire un peu prononcé.
C'était un fan invétéré de Call of Duty, son Dieu était Activision, il ne jurait fidélité qu'à cette boite de jeux vidéos.
Mais assez parlé de lui, revenons au cours qui avait commencé depuis même pas 5 minutes, le prof commençait à peine à parlé du thème du jour, à savoir "L'industrialisation de la Fin du 19ème Siècle" que me voila déjà entrain de sombrer dans mes songes, la porte se refermant derrière, me laissant prisonnier des toiles de mes neurones frétillant à l'idée de relater de doux souvenirs d'un temps ancien qui me semblait plus agréable.
Me voila entrain de replonger un an en arrière, au mois de Septembre quelques jours après la rentrée, au début de la dernière année scolaire.
Un soleil brûlant frappait la cour du collège, les élèves s'amusaient entre eux durant la récrée, moi j'étais dans mon coin entrain d'imaginer des scénarios de fous dans ma tête et à converser avec des personnes qui n'étaient pas là.
L'une d'elles était Ami, mon ami imaginaire, un jeune homme de 18 ans, beau brun avec de belles dents qui a trop la classe. Que j'aimerais être lui !
Je m'étais assis sur un banc en prenant bien soin d'éviter les mines de chewing-gum et les marres de fientes, Ami lui s'en foutait car il n'existe pas donc évidemment il sera toujours aussi classe !
J'étais content d'être avec lui et je ne prenais point garde à ces condors qui m'épiaient en passant près de moi, je ne remarquai pas à l'époque le panda intrigué se trouvant dans cette nuée de plume et qui deviendrait plus tard mon meilleur ami, mon bro.
Ami avait l'art de commencer à parler en premier, ça ne me dérangeait pas, et puis seul moi pouvait l'entendre.

"Alors, que pense tu de cette journée ?
- Fait trop chaud !
- Moi ça va de mon coté.
- Comment tu fais pour garder ton brushing impeccable ?
- Des années d'entrainement.
- Pour finalement ressembler à Sammy Rogers."

Il poussa un petit rire amusé et plissa les yeux de façon amicale avant de me faire une petite tape dans le dos avec un hochement de tête vers l'avant.

"Tu peux te moquer si tu veux, mais voila quelqu'un pour toi."

Il avait raison, je vis une adolescente s'approcher de moi, faisant claquer ses tongs sur le sol dans un pas endiablé qui me donnait envie de danser, mais je n'avais pas besoin d'en rajouter.
Cette fille avait un teint tirant vers le brun foncé, me rappelant le doux gout sucré et noisette du Nutella. Ses dreadlocks noirs lui donnait un certain charme, de même pour ses yeux marrons foncés qui me scrutaient attentivement avec un grand sourire. Elle possédait deux bonnes grosses joues comme son nez et ses lèvres roses, ce qui se différenciait de sa silhouette fine. A priori c'était avec moi qu'elle voulait discuté, l'autre solution était plutôt improbable à moins que gros retournement de situation, Ami ne soit pas si imaginaire que ça.

"Hey salut ! Tu parle tout seul !?"

Non c'est bon, ça me rassure, c'était bien à moi qu'elle parlait. D'ailleurs elle avait engagé la conversation avec une énergie fraîche comme une bonne douche, ça faisait plaisir.
J'étais un peu gêné de mon coté, c'était rare que quelqu'un vienne me parler, surtout une fille, mais bon après je préfère traîner avec les filles qu'avec les garçons. C'est mon petit coté fille manqué, mais en général elles m'évitaient comme la peste.
Finalement je trouvai le moyen de bouger mes lèvres en un faible bégaiement muet.

"Oui...
- Dis, je peux m'asseoir pour que tu puisse me présenter à ton ami ?
- D'accord..."

Oui je sais je suis très peu sociable et bavard à ce moment là, je dirais même à cette époque là, c'est dû à un peu de timidité et surtout au fait que comme je l'ai déjà dis on m'évitait comme si j'étais un rat mutant cleptomane.  A la base d'ailleurs j'étais très bavard, mais j'ai appris à me taire à force de saouler tout le monde, finalement maintenant j'ai dû mal à commencer les conversations. Et en plus je suis maladroit quand je parle même encore maintenant, j'aurais vraiment voulu avoir une sœur ou un frère, ça m'aurait évité ça...
Revenons à cette jeunette qui se posa sur le banc, par chance elle choisit d'aller à ma droite, alors qu'Ami était à ma gauche, coïncidence ?
Je me demandai avec un peu d'amertume, ce que ce smiley vivant allait faire, à priori elle jouait à mon jeu. J'étais pour ainsi dire méfiant, si ça se trouve c'était une caméra caché... Ou juste pour se foutre de ma gueule.

"Alors tu discute avec ton ami imaginaire, tu peux me le présenter ?
- Ouais eu, il s'appelle Ami, ça fait 7 ans qu'on se connait.
- Enchanté Ami, moi c'est Missira, ravie de te connaitre.
- Moi aussi, lui répondit il."

Son regard se transforma en de la surprise mêlé avec de la peur, mon regard dévia vers la gueule d'ange à ma gauche tout vêtu de son sourire classique. Une question me frôla l'esprit pendant quelques instants. L'avait elle entendu parler ? Cela semblait impossible, il était dans ma tête, logiquement tout bon psychologue dirait que c'est le fruit de mon imagination et que donc personne d'autre que moi peut le voir.
Tous mes doutes s'envolèrent dans le ciel dégagé quand la fille nommée Missira reprit son smile attitude comme si de rien n'était avant de se frotter un peu le cou comme cherchant une excuse vaseuse à laquelle j'allai gober comme un con.

"J'ai eu un coup de chaleur, excuse moi.
- OK..."

Je remarquai à ce moment là qu'Ami s'était envolé lui aussi, pour rejoindre mes doutes dans un monde lointain où il vivra heureux jusqu'à la fin de sa vie d'hallucination.
Et avant de pouvoir continuer ce tripe philosophe, de douces mains prirent mon visage pour l'orienter vers le haut, admirant une mer bleu sans vague que je n'avais jamais pensé à voir de cet angle.
Faut dire que j'ai eu des vertiges en contemplant la distance infini à mes yeux, j'avais la même chose quand j'étais dans un vaste espace fermé sauf qu'il fallait rajouter à cela du stress, mes muscles qui se paralysent et même de la peur, la peur d'être submerger par tout cela sans jamais me relever.
Je suis agoraphobe, mais ne vous en faites pas j'arrive à gérer dernièrement.
Même si durant une noire période, ça s'était aggravé à tel point que ça me hantait la nuit et que j'en avais développé une phobophobie. J'ai aussi le vertige et quelques autres peurs plus bénignes, celle là reste celle la pire pour moi.
Alors que je naviguais dans cette mer grâce à mes yeux, je sentis bien que quelque chose commençait à mûrir doucement en moi pour éclore 1 an plus tard, le sentiment d'être vivant.
Et soudain plus rien n'est pareil, c'est comme si j'avais des ailes !
Et soudain le monde m'émerveille, j'ai touché le ciel !
Et soudain plus rien n'est pareil, je suis un autre moi même !
Et soudain je ne doute plus de rien, et je me sens bien !
Mes yeux se refermèrent sous cette mélodie rappelant les souvenirs à un grand enfant redécouvrant un de ses films d'animations préférés.
Il se rouvrirent en 2012, à ma bonne vieille table en bois au coté d'Alex qui me regardait d'un drôle d'air, comme si il attendait quelque chose. C'est marrant, je me disais, le prof et tous les autres élèves, même le caïd de la classe, me regardaient avec cet air là.
Oui, l'enseignant m'avait posé une question, vous vous doutez bien, si il m'avait juste fait une remarque sur le fait que je dormais, ils auraient un autre regard et ces idiots poufferaient de rire, ce qui n'était pas le cas même si je pouvais entendre quelques subtiles moqueries.
Evidemment, je suis plus fort et intelligent que ça, j'échafaudais alors une réponse toute trouvée.

"L'industrie du cinéma était en effet très prohibant vers la fin du 19ème siècle, surtout avec l'invention de la 3D, ça relança le commerce et donc l'agriculture, car sans les animaux, on ne pourrait pas avoir assez de viandes pour nourrir les acteurs, c'est logique.
- Et la marmotte met le chocolat dans le papier d'alu...
- En effet, c'est plus pratique pour...
- Une heure de colle Monsieur Moulin !"

Les rires fusèrent dans la salle, je me retrouvai à nouveau coincé dans ma carapace, évitant les projectiles de ces imbéciles d'élèves de 3ème, à me traiter comme si je n'étais qu'une pauvre merde qui n'attendait qu'à être marché dessus.
Si ces cons venaient à mourir, je m'en ficherais, je peux aussi me mettre à leur niveau !
Si seulement j'avais su que j'allais leur sauver la vie à ces cons quelques jours plus tard, quelle ironie !


Dernière édition par WAF le Mer 3 Fév - 6:53, édité 1 fois
Revenir en haut Aller en bas
WAF
Le héros des survivants
Le héros des survivants



Messages : 1397
Points : 1401
Réputation : 0
Date d'inscription : 03/05/2013

Paf le chien - Page 8 Empty
MessageSujet: Re: Paf le chien   Paf le chien - Page 8 Icon_minitimeMar 2 Fév - 22:17

POV Roger Moore

Malgré mon vieil age, 88 ans les jeunes, faut pas oublier que je suis le doyen du groupe, j'avais commencé à interpréter ce rôle à l'age de 45 ans.
C'était l'heure, l'heure c'était.... Même mes figures de styles sont complètement raté...
Où j'en étais ? Ah oui, je me suis préparer pour ce qui serait surement ma dernière mission, mais ouais je ne serais pas seul...
Dans une ruelle sombre bordant cet endroit, ch'ais plus le nom, mais c'est l'endroit du premier chapitre, oui le QG des méchants comme l'avait nommé Sean Bean lors de notre dernière cuite.
Et alors que Sean Paul avait fini de défourailler les loubards, d'autres arrivèrent et mieux équipés, ils avaient des flingues.
Je le vis du coin du muret où je me planquais, se réfugier sous un camion pour échapper aux tirs.
Alors normalement selon le plan, c'était à ce moment là que George Romero devait intervenir... Mais le bougre ne se pointa pas !

"Qu'est ce qu'il fout George Clooney !?"

Pas de temps à perdre, je rehaussai mes lunettes de vieux et en avant guingamp !
Luttant contre mon arthrose, je m'approchais de 8 types entrain de tirer sur le camion en ratant tous leur tir, ils ne remarquèrent pas ma présence de prime abord.
Sacripants ! Je n'hésitai pas une seule seconde en sortant un sifflet de ma poche pour le mettre entre mes deux lèvres et souffler dessus, signalant ma présence à toute personne se trouvant dans le coin.
Les types dont j'avais parlé se tournèrent vers moi et remarquèrent le Walther PPK muni d'un silencieux que j'avais dans ma main droite et je braquais sur le plus trapue des 8 qui me lança un petit ricanement pour me montrer à quel point il était débile.

"Tu compte nous faire quoi avec ton flingue de PD ?
- A votre avis, vous tuer très cher.
- Ou lala j'ai peur, il me menace avec son sac à main !"

Une balle fut tirée.
Elle traversa la tête du type puis celle de tous ses potes avant de finir sa course sur l'un des yeux de l'oiseau bleu dessiné sur le camion.
Je rangeai mon arme puis je m'approchai de mon interlocuteur, maintenant dans un monde meilleur.

"Moi, je l'aime bien mon sac à main."

Malheureusement un petit ricanement me fit vite prendre conscience qu'il y avaient encore d'autres personnes, je vis alors 3 types arriver de derrière le camion, deux armés de couteaux et le 3ème, un grand barbue avec un Mossberg 590.
Ce n'est pas ça qui m'empêcha de garder ma bonne humeur.

"Vous venez prendre le thé ?
- Tu vas crever pour nos potes morts, s'écria le barbue.
- Moi, j'ai une petite soif, répondit une voix familière."

Mes yeux se tournèrent vers un tierce acteur dans cette scène géante.
C'était la voix de Timothy Geithner.


Dernière édition par WAF le Sam 6 Fév - 22:54, édité 2 fois
Revenir en haut Aller en bas
WAF
Le héros des survivants
Le héros des survivants



Messages : 1397
Points : 1401
Réputation : 0
Date d'inscription : 03/05/2013

Paf le chien - Page 8 Empty
MessageSujet: Re: Paf le chien   Paf le chien - Page 8 Icon_minitimeJeu 4 Fév - 22:40

Belle : Shiho Miyano

La Bête : Shinichi Kudo

Gaston : Gin

Lumière : Kaito Kuroba

Narrateur : Shuichi Akai

Big Ben : Kogoro Mouri

Mme Samovar : Sumiko Kobayashi

Zip : Ayumi Yoshida, Mitsuhiko Tsuburaya, Genta Kojima

Maurice : Hiroshi Agasa

Lefou : Vodka

L'Enchanteresse : Vermouth

L'Armoire : Yukiko Kudo

Le Fourneau : Yusaku Kudo

Le Boulanger : Heiji Hattori

Le Libraire : Eisuke Hondou

Monsieur d'Arque : Rei Furuya

Plumette : Yumi Miyamoto

Les Bimbettes : Ran Mouri, Masumi Sera, Sonko Suzuki
Revenir en haut Aller en bas
WAF
Le héros des survivants
Le héros des survivants



Messages : 1397
Points : 1401
Réputation : 0
Date d'inscription : 03/05/2013

Paf le chien - Page 8 Empty
MessageSujet: Re: Paf le chien   Paf le chien - Page 8 Icon_minitimeSam 6 Fév - 21:00

POV Timothy Dalton

Sortant de la nuit, le justicier de l'ennui.. Hum hum ! Pardon, je me la pète un peu trop, non moi c'était plutôt j'arrive tranquillou comme si de rie n'était avec mon petit sourire au coin des lèvres.
La tafiole avec son fusil à pompe n'avait pas l'air de s'émoustiller en me voyant, après j'avais un look plus ordinaire que mes confrères. Une chemise bleu à moitié ouverte, un pantalon beige, des mocassins et les mains dans les poches.
Je lançai mon petit regard habituelle qui voulait tout dire à mon pote Roger Moore.

"Laisse moi m'occuper d'eux.
- Si tu veux, ils sont tout à toi."

Il parlait toujours d'une façon très anglaise, donc raffinée et glamour, et il se déplaçait en mode dandy, tout le contraire de moi.
Tiens en parlant de moi, je m'approchai de ce type qui avait ouvert la gueule et il tira un tir de somation pour me dire de ne pas m'avancer plus, ça me faisait rire.

"Un problème ?
- T'approche pas !
- Qu'est ce que tu attends pour me tuer ? Tu attends d'avoir tes jambes brisées et une mâchoire en moins, ou bien ?"

Il avait peur, il avait peur de mon coté froid et sombre, c'était le moment.
Avant d'avoir pu choisir entre le pour et le contre, il se prit un crochet du droit dans la face pour aller faire un roulé-boulé en arrière et finir KO.
Je me massai ensuite un peu le poignet car c'est pas que ça faisait mal, mais un peu quand même.
Les deux autres types s'échangèrent des signaux pour se dire qu'ils devaient m'attaquer à ce moment là, mais j'avais capté cela.
Je ne fus donc pas surpris quand ils s’élancèrent vers moi avec leur canifs tels des aigles majestueux, et moi en bon chasseur, je me mis à plat ventre. Donc je vous laisse imaginer ces deux idiots se poignarder eux même et mourir comme des cons en ayant rien gagné.
Je pus me relever sans problème, du moins c'est ce que j'avais pensé, j'avais oublié une menace, mais c'était sans compter sur ce bon vieux Pierce pour me sauver la mise.


Dernière édition par WAF le Lun 8 Fév - 23:34, édité 1 fois
Revenir en haut Aller en bas
WAF
Le héros des survivants
Le héros des survivants



Messages : 1397
Points : 1401
Réputation : 0
Date d'inscription : 03/05/2013

Paf le chien - Page 8 Empty
MessageSujet: Re: Paf le chien   Paf le chien - Page 8 Icon_minitimeLun 8 Fév - 20:38

POV Pierce Brosnan

Je fus l'un des deux derniers loups à arriver aux alentours de la tanière, mais l'autre me quitta pour entrer dans le bâtiment pendant que j'allais aider nos vieux débris d'amis à tenir bon face aux derniers gardes.
Je descendis les escaliers extérieurs tout en regardant Dalton se baisser et les deux gardes se tuer comme des imbéciles, Moore lui était un peu en retrait et Connery était entrain de se relever TRES lentement mais c'était dû à ses douleurs au dos.
Seulement je fus le seul à remarquer un danger, un type encore vivant se releva lui aussi et s'approcha discrètement d'un fusil à pompe traînant près de lui.
Si je ne faisais rien, Dalton qui était le plus près, allait y passer.
Je sortis mon Walther P99 et j'envoyai une balle propre et nette droit dans l'oreille gauche du type pour qu’elle ressorte de l'autre coté et qu'elle finisse sa course dans un mur.
Le larbin tomba raide, sous la surprise des 3 vieillards qui finirent enfin par remarquer ma présence, ils en rigolèrent, je fis de même en m'exclamant au passage.

"Je tire plus vite que mon ombre !
- Hey Lucky Luke, t'es conscient que tu viens de sauver un Dalton, mais merci quand même."

J'arrivai en bas des marches, nous étions alors tous les 4 quatre réunis.
Je remarquai cependant un absent.

"George s'est perdu ?
- On dirait bien, me répondit Roger.
- Alors le loup est dans le poulailler ? Me demanda Sean.
- Ouaip, on peut déjà aller le rejoindre."

Et c'était partit mon kiki, nous allions rejoindre le dernier Bond, alias Craig.


Dernière édition par WAF le Jeu 11 Fév - 10:57, édité 1 fois
Revenir en haut Aller en bas
WAF
Le héros des survivants
Le héros des survivants



Messages : 1397
Points : 1401
Réputation : 0
Date d'inscription : 03/05/2013

Paf le chien - Page 8 Empty
MessageSujet: Re: Paf le chien   Paf le chien - Page 8 Icon_minitimeMar 9 Fév - 20:53

POV Daniel Craig

Deux gardes étaient positionnés devant la porte, un homme et une femme, les deux seulement armés de simples pistolets, ça allait être facile.
J'avançai un peu pompette vers eux, une bouteille de vodka vide dans ma main droite, tenue comme une arme.
Quand ils me virent arriver vers leur positions, ils dégainèrent et restèrent sur le qui vive avant que ce soit finalement la voix la plus féminine mais la plus autoritaire qui se fit entendre en premier.

"Arrêtez vous ! C'est une propriété privée ! Je vais vous demander de sortir d'ici !
- Ta gueule grognasse, tu vas me baiser après ! Mais d'abord ça c'est pour ton pote."

Il se prit ma bouteille en pleine gueule, sa tête vint heurter le mur derrière, il mourut sur le coup. Ah bah la fille rigola moins maintenant qu'elle était seul face à moi, avec mon visage gravé par une expression qui semblait vouloir dire "Où ai je mis mes clés ?".
Comme un gros prédateur sexuel, je m'avançai vers elle car j'avais envie de la sauter, elle le comprit.
C'est pour cela que je me pris un coup de taser qui me fit tomber au sol, elle profita du court laps de temps où mon corps ne répondait plus pour se barrer d'ici le plus loin possible.
Ces secondes passées, je pus me relever, encore un peu engourdie par le coup et l'alcool dans mes veines.
Maintenant un seul problème se posait à moi, une porte fermée, à clé ça je ne sais pas mais au moins juste fermé.
L'ouvrir normalement était impensable pour moi, j'eus alors un petit moment de réflexion avant de juger bon de la défoncer avec mes bottes de militaires.
Les deux personnes se trouvant dans ce petit bureau, sursautèrent sur le coup et tombèrent de leur siège.
Je m'avançai tel un psycho en manque vers mes deux proies qui se prirent dans leurs bras en position de détresse, l'un avait ses lunettes qui tremblaient, l'autre sa barbe qui frétillait.
L'image de la mort de dessina dans le flingue que je sortis de ma poche et que je braquais dans leur direction. J'entendis ensuite 4 paires de pas entrer dans la pièce, mes amies étaient arrivés. Ils s'exprimèrent les uns après les autres dans l'ordre d'apparition.

"Alors jeunot, tu nous attends pas ?
- Tiens John Wayne et Sam Smith.
- Presque, John Logan et Sam Mendes.
- Finissons en avec eux.
- Pour les empêcher de faire d'autres James Bond de merde, finis je par dire."

A nous 5, ça fit 5 armes braquées sur leur visage, mais une voix nous interpella par derrière.
C'était celle du grand absent qui arriva essoufflé et trempé de sueur.

"Désoler du retard, longue histoire"

Lazenby vint donc nous rejoindre pour la dernière réplique.

"Notre nom est Bond, James Bond"

6 tirs, 6 Jambes bond. La musique se lança, ainsi que le générique...


Dernière édition par WAF le Ven 12 Fév - 15:39, édité 1 fois
Revenir en haut Aller en bas
WAF
Le héros des survivants
Le héros des survivants



Messages : 1397
Points : 1401
Réputation : 0
Date d'inscription : 03/05/2013

Paf le chien - Page 8 Empty
MessageSujet: Re: Paf le chien   Paf le chien - Page 8 Icon_minitimeMer 10 Fév - 12:05

Amour 4869

Shinichi Kudo et Shiho Miyano avaient prit chacun un billet pour le Mystery Coaster de Tropical Land, c'était leur façon à eux de fêter la Saint Valentin dans la joie et la bonne humeur. Ils avaient prit place sur un wagon et ils étaient confortablement installés sur leur sièges. Ils étaient dans la 3ème rangées et ils étaient les seuls dans le train, d'ailleurs hormis eux, il n'y avait juste que la personne s'occupant de contrôler les gens qui rentrent dans le manège et à lancer celui ci. A priori on pouvait se dire que ce manège avait perdu son charme d'antan, mais notre duo d'enquêteurs se doutait qu'il y avait comme anguille sous roche.

"Shinichi, je n'aime pas ça, quelque chose se prépare, je le sens.
- Je sais, c'est bizarre, cet ado boutonneux, je ne l'ai jamais vu ici auparavant.
- Il va falloir rester sur nos gardes.
- Mais quand même en profiter pour nous amuser.
- On sait faire les deux, non ?
- Bien sur !"

Le gérant de l'attraction actionna finalement le bouton qui activa les fonctions de sécurité des sièges avant de finalement faire décoller le bousin à toute vitesse. Après cela, le bougre changea de regard pour adopter une expression plus démoniaque avant de murmurer quelque chose avec une voix tout aussi flippante.

"Profitez bien de votre dernier tour avant la mort."

Mais ça, les deux génies ne le virent pas, à la place ils s'amusèrent comme des petits fous dans des virages ascensionnels qui s’enchaînaient avec des pentes capables de vider l'estomac de n'importe quel humain normal, ce qui n'était pas leur cas à eux.
Mais dans l'ombre, une menace inconnu guettait, inévitablement le train vint faire une descente dans la bouche du shinigami pour s'aventurer dans un tunnel dont personne n'a jamais trouvé la sortie.
Et Shinichi et Shiho comprirent leur erreur un peu trop tard. Face à eux, une lumière ardente vint les envelopper, les empêchant de fuir leur destiné. Un éclat brillant vint se montrer et commencer à prendre une forme humaine tout en avançant dans leur direction. La forme finale fut celle de Ran Mouri, les cheveux jouant avec les flammes, les yeux embrasés et un sourire malsain, elle n'avait pas l'air de lâcher l'affaire.
La petite amie du Meitantei en avait plus qu'assez, ce dernier aussi au passage.

"Qu'est ce que tu nous veux encore espèce de folle !? Pesta la femme aux cheveux auburn.
- Je veux juste reprendre mon Shinichi à moi.
- Il n'y pas marqué Ran Mouri sur sa tronche.
- Il n'y pas non plus marqué Shiho Miyano !"

Là s'en était trop pour la scientifique sarcastique, elle cracha au visage de la fille au QI proche d'une crêpe sautée, cette dernière disparut et le véhicule quitta enfin le tunnel pour aller terminer sa course au point de départ où l'ado avait mystérieusement disparu. Personne ne bougea et un silence gêné se faisait ressentir dans le wagon, un grand détective le brisa.

"Je ne savais pas que ma copine était un lama Chuck Norris.
- Tais toi ou je te crache aussi dessus pour voir si l'effet est le même."

Ils ne prendront plus jamais ce manège pour la Saint Valentin.

Amour du Kansai

Heiji Hattori se trouvait dans le salon familiale en compagnie de son amie d'enfance, Kazuha Toyama, qui se tenait à ses cotés. En face se trouvaient le père de cette dernière, Ginshiro, et ses parents à lui, Heizo et Shizuka. Goro Otaki était aussi présent mais debout dans un coin de la pièce comme un meuble. Tout ce beau monde était présent pour une grande occasion et c'est la fille à la queue de cheval qui l'exprima.

"Nous allons enfin nous marier !
- C'est génial, répondirent ils tous sauf Heiji qui bayait.
- Et comme c'est la Saint Valentin, on s'est dit que c'était le bon moment pour le dire.
- Alors vous l'avez déjà fait, vous savez quoi n'est ce pas ? Demanda la mère d'Heiji.
- Oi oi oi ! Fut la réponse des deux jeunes adultes."

Ce fut ensuite le fous rire général sauf pour les jeunes qui étaient mal à l'aise d'un coup, mais au moins c'était dit, maintenant ils pourront préparer le grand événement.
Mais ce ne fut pas des goûts de tout le monde car quelqu'un mit une cartouche à Kazuha, au sens littérale et dans la tête. Et quand le contenu cervical se répandit sur les personnages au centre de la pièce, ce fut le choc.
Le Grand Détective de l'Ouest de tourna vers une porte ouverte où était visible l'enfant mystérieux vivant avec Sera qui s'appelait Mary, ouah on va juste garder Mary. Cette dernière gardait sa traditionnelle mine sérieuse sur son visage tout en portant un gros fusil à pompe de modèle inconnu mais qui faisait futuriste. On avait l'impression qu'elle pouvait buter n'importe qui d'autre si elle le voulait, mais elle préféra parler.

"C'est bon, tu peux rentrer, mais je ne lui fais pas confiance."

Une forme humaine se faufila à l'intérieur et à la vitesse du Petit Dragon Lee sauta sur l'innocent Hattori qui se retrouva bloquer entre les bras d'une femme à la poitrine presque plate.
Vous l'aurez sans doute tous reconnus, la grande détective garçon manqué qui est pleine de joie et très ouverte, Masumi Sera !
Le seul hic, c'est qu'elle était la seule personne à être vraiment heureuse dans la pièce.

"Tu es maintenant mon Heijiiiii à moi !
- Au secours... Tenta d'articuler le pauvre homme du mieux qu'il pouvait."

Bientôt les sirènes se firent entendre, peut être trop tard ?

Amour à Nagano

Dans une salle d’interrogatoire, la rage de l'Inspecteur Kansuke Yamato se faisait ressentir, et la belle et douce Yui Uehara se trouvant à ses cotés espérait au fond d'elle que son tigre adoré n'irait pas trop loin mais c'était mal parti.
Je récapitule l'affaire : Les deux Inspecteurs avaient décidé de fêter la Saint Valentin tranquillement dans un restaurant se situant à la frontière avec Gunma, comme prévu Kan-chan dû s'absenter pour aller au toilette et la flicarde profita de se moment pour sortir une boite de chocolat avec les inscriptions "Pour mon Tigrou adoré" sur le couvercle. Malheureusement elle baissa la garde une demi seconde et elle retrouva ensuite la boite vidée de son contenue et une personne juste à coté avec un liquide brun qui coulait de ses lèvres. Ce glouton s'était empiffré tout le chocolat, alors autant dire qu'il fut vite conduit au poste par l'infirme quand il découvrit cela.
Les plus malins d'entre vous auront deviné qui était ce gourgandin... Hé oui c'était l'Inspecteur Misao Yamamura de la préfecture de Gunma qui n'avait pas réalisé l’ampleur de son acte à ce moment là, et actuellement il passait un sale quart d'heure. Je vous laisse écouter un peu le dialogue enregistré qui nous est proposé.

"Qu'est ce que tu as à dire pour ta défense !?
- J'avais faim, désoler, j'avais pas vu qu'il y avait quelqu'un à la table, je vous le jure !
- T'avais pas vu !? Tu te fous de ma gueule !?"

Il se prit un coup de béquille puis la brute eut la bonne idée de lui faire goûter la table qui n'avait pas très bon gout.

"Alors tu le jure hein !!!? Que tu ne le referas pas hein !!!? Et que tu lui rachèteras la boite de chocolat, ordure !!!
- Fui, fe fous le fure...
- Kansuke, calme toi, je crois qu'il a comprit.
- Si tu le dis, alors j'arrête."

Il lâcha l'enfant à moitié mort et s'approcha de son "amie" pour lui caresser les cheveux, son œil vint bercer les siens.

"Merci encore pour ces chocolats, ça m'a fait fondre mon cœur dur.
- Laisse moi alors essuyer cela."

Ils s'embrassèrent langoureusement à la française pendant de longues minutes, jusqu'à ce que le bruit de la porte se fit entendre. Leur tête se tournèrent vers celle ci et ils virent leur ami, l'Inspecteur Taka'aki Morofushi, sur le point de partir, ils furent étonnés de sa présence.

"Komei, qu'est ce que tu fous là !?
- Pour information, j'étais là depuis le début à te regarder torturer ce pauvre homme. Maintenant je vais aller chercher les lingettes pour enlever les taches, continuez à faire comme si je ne suis pas là."

Ils écoutèrent donc son précieux conseil en reprenant la salsa de la langue.

Amour Fortuné

Makoto Kyogoku avait été invité dans la Villa de la Famille Suzuki qui se trouvait dans la préfecture de Gunma et il allait devoir y rester pendant un certain temps car le pont qui y menait s'était, encore une fois, écroulé après qu'ils l'aient traversé.
En effet une grosse partie de la famille s'était réuni, déjà il y avait sa petite amie et futur femme, Sonoko, qui brillait de sa splendeur et de son ego démesuré.
Il y avait aussi la sœur aînée de cette dernière, Ayako, qui était avec son mari, Yuzo, les deux semblaient bien s'être trouvé.
Les deux parents étaient aussi là, Tomoko et Shiro, l'un semblait moins strict et sévère que l'autre, on se demande qui.
Et pour finir il y avait l'Oncle "Je dépense tout mon fric pour essayer d'arrêter Kaito Kid en vain", de son vrai nom Jirokichi, qui avait son fidèle chien Lupin avec lui pour le protéger.
Le champion de karaté essayait de cacher son malaise d'être ici, à vrai dire il n'aimait pas se balader dans les montagnes du coin car il avait entendu de nombreuses histoires pas très sympathiques comme :
1) Celle d'une Vieille Sorcière vivant dans cette forêt.
2) Ou encore celle d'une présence maléfique hantant une villa dans les environs.
3) Ainsi que celle d'une sorcière conduisant une voiture blanche sur les routes quand le brouillard est de sortie.
4) Et pour finir celle d'un mystérieux Homme aux Bandelettes qui aurait sévi dans cette villa même où il se trouvait.
Autant dire qu'il était sur le qui vive, mais la brunette à ses cotés le remarqua et tenta de le rassurer.

"Makoto, tu n'as rien à craindre, et puis même si il y avait par exemple deux types armés qui déboulés déguisés en frère Yokomizo, tu leur foutrais une grosse raclée comme tu sais le faire.
- Oui tu as raison, je m'inquiète pour rien.
- Bien, enchaîna la mère, il est grand temps de vous offrir notre présent pour cette occasion qui est votre première Saints Valentin en amoureux."

Elle claqua des doigts et deux gardes arrivèrent en tenant à deux mains un reposoir où se trouvait un bijou d'une valeur inestimable en forme de Cœur et fait en diamant. Le vieil oncle se leva pour lancer son cours d'histoire.

"Voici le Cœur de Pompadour, un diamant Graff Pink qui fut taillé en forme de cœur sous l'ordre de Louis XV pour sa bien aimée Jeanne-Antoinette Poisson le 29 Décembre 1747 pour son 26ème anniversaire, et...
- Au voleur ! S'écria Ayako !"

Une ombre noire aux yeux rouges avait fondu en un éclair sur le bijou pour le ramasser avant de sauter au première étage où une fenêtre était grande ouverte avec les rideau flottant dans le sens du puissant vent soufflant à l'extérieur.
Et tel une grosse racaille, le Chat Noir leur fit des gros doigts avant de partir par où il était venu, laissant le vieux briscard péter une durite.

"Mais pourquoi faut que ça m'arrive à moi !?
- Une partie de Twister ? Proposa Yuzo."

Tout le monde accepta, histoire d'oublier cette honte.

Amour sentant le poisson.

Au Lycée Ekoda, un couple de lycéens de 17 ans était entrain de parcourir les couloirs de l’établissement durant la pause de midi pour se rendre à la cantine, mais ils n'avaient pas encore fait attention à un fait assez curieux.
C'étaient Kaito Kuroba et sa première petite amie, Aoko Nakamori, qui affichaient une mine très différente sur leur visage, un air blasé pour le premier, et une pèche énorme pour la seconde.

"Sugoi ! Alors quand est ce que tu vas me donner mon cadeau de Saint Valentin !?
- Armf, tiens je te le donne."

Il lui donna alors un boîtier de jeu avec marqué dessus « Saints Row : Valentine's Day Edition », mais cette jeune femme qui était loin d'être une huître comme Ran, avait comprit que son mec s'était un peu foutu de sa gueule.

"C'est quoi ça !? J'ai une tête à jouer à ce genre de jeu !?
- Tu devrais déjà être content d'avoir reçu quelque chose, j'attends aussi ta part."

D'un coup la fille Nakamori se sentait gêné, elle n'avait rien à lui offrir.

"Hé bien je… Désoler, je ne suis vraiment qu'une truffe…
- Je sais, mais tu es ma truffe à moi."

Elle retrouva le sourire, lui aussi, ils étaient proche, leur visage était sur le point de se toucher, quand soudain le bruit de quelque chose qui s'écrasait contre une vitre se fit entendre, les stoppant dans leur moment romantique.
Ils se tournèrent pour voir un faucon aplatit contre une des fenêtre du couloir, et Saguru Hakuba qui était entrain de se facepalm.

"J'aurai vraiment dû laisser Watson en Angleterre.
- Salut Hakuba, çà va ?
- Ah monsieur Kuroba et madame la futur Kuroba, justement je voulais vous voir. Et oui ça va, je suis de passage dans le coin.
- Nous voir, s'étonna Aoko, pour quoi ?
- Pour vous prévenir de ce danger là."

Il pointa du doigt, une horde d'étudiants sous le contrôle d'Akako Koizumi qui était en tête du cortège tout en ricanant comme dans ses plus grands moments. Ils étaient tous armés de poissons, ce qui fit grave flipper notre voleur en herbe car c'était sa seule faiblesse, avec le patinage.
Il voulut se barrer avec sa moitié, mais elle n'était plus là, et l'autre Détective non plus, il avait dû se tailler avec, le salaud !
Et sans moyen de s'en sortir car il n'avait aucun de ses accessoires magiques sur lui, il se retrouva piéger entre les griffes de la jeune et jolie sorcière qui le regarda droit dans les yeux avec ses yeux envoûtants, c'était à en faire bander Geneviève de Fontenay.
Elle déposa ses lèvres contre les siennes et déchaîna toutes ses forces dans ce baiser volupté, lui faisant découvrir mille et uns parfums, allant des Pyramide de l’Égypte jusqu'à l'Opéra de Sydney tout en passant par la Statue de la Liberté.
Quand elle eut absorbé une bonne partie de sa puissance vitale, elle arrêta et continua à l'épier de façon majestueuse.

"Alors, qu'est ce que ça fait de goûter au baiser d'une sorcière ?
- C'est… C'est… C'est la vie !!! Watashi ga watashi de aru riyuu !"

Il se libéra de son emprise et partit au loin dans la Fureur du Samedi Soir.

Amour au QG de la Police.

Wataru Takagi était à son bureau entrain de regarder la tache sur le plafond qui avait été faite par une crêpe brûlante qui s'y était retrouvée collée, et cette tache lui rappelait étrangement Miwako Sato qui était morte le jour de son mariage avec lui, finalement il avait épousé Yumi Miyamoto et il profitait bien de sa vie avec elle.
En ce jour de Saint Valentin, il se demandait bien qu'est ce qu'elle allait lui offrir, sachant que c'était la reine des farces, donc mieux vaut se méfier.
C'est alors qu'il perdit la vue, ou plutôt que deux mains obstruèrent ses yeux, et la fatidique question lui arriva aux oreilles.

"Qui c'est !?
- Le Pape qui attend sa sœur ?
- Rhooo ! Baka, c'est moi !"

Elle se montra au grand jour, débordante d'énergie et elle sortit de derrière son dos une boite de chocolat traditionnel en forme de cœur avec marqué « Yumi + Wataru » dessus.

"C'est pour toi, ouvre la.
- Merci Yumi, justement j'ai un petit creux."

Sans attendre d'avantage, il ouvrit le présent puis en voyant son contenu, il devint pale et livide, il aurait été bon à être envoyé chez le légiste.
A l'intérieur se trouvait un vrai cœur sentant le sang, sang qui recouvrait le tout. Yumi était pliée de rire en voyant la tronche de son mari et elle se tourna vers le mec du CSI, que Gosho n'a pas encore intégré au manga, qui passait par là.

"Encore merci Tome, il ne l'a pas vu venir.
- De rien, toujours au plaisir d'aider mes collègues."

Assistant à cette scène, Naeko Miike ne put que ressentir de l’empathie envers la pauvre victime de cette blague sordide.
Elle entendit ensuite une voix qu'elle aimait entendre, l'appeler par son nom, elle se retourna et vit alors Kazunobu Chiba debout devant elle. Et ce qui la choqua, ce n'est pas qu'il ait à nouveau perdu du poids, non, c'est que ce soit carrément un fucking squelette maintenant. Un squelette qui fait coucou avec sa main qui plus est, comme si de rien n'était.

"Naeko, j'ai quelque chose sur le visage .
- Hein !? Comment !? Non non non !"

Et elle s'en alla le plus rapidement possible, les joues tellement roses qu'on aurait cru qu'elle était sur le point d’exploser. Non, elle n’explose pas !

Amour avec 6 Personnes.

L'Inspecteur Juzo Megure était fatigué, heureusement il avait eu l'autorisation de rentrer plus tôt aujourd'hui, il décida donc de faire un tour à l'Haido City Hotel où sa femme, Midori, logeait durant ses journées avant de repasser à la maison le soir.
Vêtu de son manteau habituelle et de son chapeau couvrant sa vieille cicatrice, le fier homme entra la bonne clé dans le trou de la serrure de la porte de la chambre 407. La porte s'ouvrit, l'homme entra, la lumière s'alluma et prit en flagrant délit la personne compétant un acte d'adultère dans le lit souillé par toute cette salissure.
Megure fut sur le choc, il vit sa femme en compagnie de 6 autres personnes qui relevèrent l'un après l'autre leur tête de sous les draps.
L'Inspecteur Yuminaga, Shintaro Chaki, Ginzo Nakamori, Hyoue Kuroda, Kiyonaga Matsumoto et le Surintendant Général Hakuba qui étaient tous entrain de faire des choses salasses avant que la mari ne rentre.
Un moment gênant s'installa et finalement le couperet tomba.

"Minori !
- Chéri, je peux tout t'expliquer !
- Qu'est ce que le sèche cheveux fout sur la table de nuit !?"

Tous les fautifs eurent leurs yeux qui devinrent juste de petits points noirs pour exprimer leur incompréhension, finalement la femme tenta de vite répliquer une excuse vaseuse pour justifier la faute.

"Oh c'était pour que Kaito Corbeau se sèche les cheveux."

La personne en question quitta la salle de bain à ce moment là.

"Désoler, je ne fais que passer."

Et tout le monde rigola tandis que le générique d’une sitcom américaine à la noix se lança, mettant un terme à cette première moitié de la Fiction Spéciale Saint Valentin de Pinoulelpain sur l’univers de Détective Conan/Magic Kaito.


Dernière édition par WAF le Dim 14 Fév - 1:07, édité 1 fois
Revenir en haut Aller en bas
WAF
Le héros des survivants
Le héros des survivants



Messages : 1397
Points : 1401
Réputation : 0
Date d'inscription : 03/05/2013

Paf le chien - Page 8 Empty
MessageSujet: Re: Paf le chien   Paf le chien - Page 8 Icon_minitimeVen 12 Fév - 22:50

Amour Scolaire

Ayumi Yoshida était toute seule à sa table, l'air triste, à faire du coloriage, il y avait très peu d'élèves dans la classe vue que c'était la pause. Elle était un peu triste depuis que son Conan s'était révélé être un jeune homme de 17 ans et qu'il avait fini avec Haibara qui avait en vérité un an de plus que lui, en plus depuis qu'ils sont devenus adultes, elle ne les voit plus beaucoup.
Donc la fille gaie avait sombré dans la mélancolie mais n'avait pas encore créé de Brigade SOS, elle espérait qu''un signe se manifeste et pas un "cygne" alcoolique comme l'autre soir.
Une main se posa sur son épaule, elle tourna sa tête en un mouvement de cheveux, ce n'était que Mitsuhiko Tsuburaya qui était là tout souriant avec un Kinder Bueno dans sa main droite qu'il tendit à la petite fille.

"Tiens, pour te redonner le sourire.
- Merci, Mitsuhiko !"

Elle retrouva le bonheur, quelqu'un se souciait d'elle et ça lui faisait plaisir, autant qu'au garçon cultivé qui espérait pouvoir sortir avec elle un jour.
Genta Kojima vint tout gâcher comme d'habitude.

"Mon père a encore tabassé ta sœur !
- Hey Kojima-san, tu vois cette anguille que je sors de ma manche, va chercher !"

Et il accourut ce gros Saint Bernard pour attraper la nourriture qu'il convoitait trop, tout ça sous le regard amusé de la prof, Sumiko Kobayashi, qui adorait ses élèves.
Elle entendit alors la porte à ses cotés s'ouvrir, révélant le flic encore un peu arrogant alias Ninzaburo Shiratori arriver tel un prince sur son tapis volant avec un bouquet d'Amarantes rouges brunes qu'il lui donna de bon cœur en cette fête des amoureux.

"C'est pour symboliser notre amour qui ne s'évaporera jamais.
- Merci Ninzapon !"

Ils s'échangèrent un court baiser tandis qu'un autre homme entrait dans la salle, vêtu d'un uniforme de policier et avec la gueule de Robert Patrick.
Il s'arrêta devant le couple qui avait fini leur kiss et il leur montra une photo d'Ayumi avant de poser une question d'un ton monotone.

"Avez vous vu cette fille ?
- Oui, répondit la sensei, elle est...
- Que lui voulez vous ? Demanda Shiratori de façon méfiante.
- Oh j'ai juste quelques questions à lui poser en privé à propos d'une affaire.
- Vous mentez, je ne sais pas qui vous êtes mais vous n'êtes pas flic, je le sens. Alors vous allez..."

Il n'eut même pas le temps de finir sa phrase, qu'une lame vint lui transpercer la poitrine, il crasha du sang et tomba au sol très mal en point avec l'enseignante qui se mit à son chevet.
Le T-1000 avait transformé son bras droit en une lame qu'il pouvait allongé encore plus loin si il le voulait. Là il se tourna vers Ayumi qui s'était réfugié derrière son chevalier sans armure qui lui même flippait sa race.
Heureusement la porte à coté d'eux s'ouvrit, révélant un T-800 avec la gueule d'Arnold Schwarzenegger armé d'un Franchi Spas 12 et qui leur fit signe de la main de venir.

"Venez avec moi si vous voulez vivre."

Ils l'écoutèrent et c'était parti pour de grandes aventures que vous ne verrez probablement jamais sauf sur demande.

Amour en forme de feuille de ginkgo.

Une femme d'une cinquantaine d'années semblait attendre quelqu'un le long de cette route où se trouvaient ces arbres avec de magnifiques feuilles d'or, d'or comme les cheveux de la dame. Non loin de là une voiture ancienne était stationnée avec un barbu aux lunettes de soleil prénommé Billy qui était aux commandes et qui espérait que la fille de son ami trouve enfin l'amour, et voila que l'amour passe à coté avec sa vieille coccinelle pour se garer non loin de là.
Le fameux Professeur Hiroshi Agasa en descendit, le ventre pointant vers La Mecque, et il regarda tendrement celle qu'il attendait depuis de longues années, la célèbre Fusae Campbell qui fut elle aussi ravie de la voir.
A priori rien n'aurait pu gâcher un aussi beau moment, a priori.
Mais en un mouvement de cape, un soixantenaire à moitié chauve à lunette apparut juste derrière la reine de la mode en mode vainqueur.
Billy ne comprenait plus rien, pareil pour la riche femme alors que l'inventeur lui eut tout comprit en reconnaissant un vieil ami.

"Konosuke Jii, comment oses tu !?
- Désoler, mais comprends tu, elle est canon.
- Après tout les gadgets que j'ai fais pour toi et le Kid, c'est comme ça que tu me renvois la balle !?
- En effet !"

Ils s'échangèrent des regards noirs sous l'étonnement de plusieurs passants dont certains qui n'étaient pas comme les autres. Notamment Yaiba Kurogane, Sayaka Mine, Sakurako Yonehara, Ki'ichiro Numabuchi, Takahiro Sanada et ceux qui nous intéresse, Keiko Momoi et Erika Konno sensei.
Les deux dernières semblaient être parmi les piétons les plus intrigués par ça.

"Je paris sur celui de droite, le gros, annonça la lycéenne.
- C'est pas un jeu de parier sur ce genre de chose... 1 000 yens sur le Patron de Blue Parrot !"

Finalement les deux plus très jeunes gars se foutirent sur la tronche et suspense.... tamtamtamtam... C'est Hakase qui gagna parce que son adversaire déclara forfait quand une de ses employées, Yuzuki Fukui, déboula pour lui dire qu'un client avait encore essayé de se mettre la queue de billard en diamant dans sa lune.

Amour de Stars

Au Café Poirot, la vie battait son cours, les clients affluaient en masse, l'établissement sonnait complet.
Parmi les poissons de l'étang se trouvait Kogoro Mouri accompagné de sa belle Yoko Okino, les deux habillés de façon à ce qu'on ne les reconnaisse pas. Seul Azusa Enomoto, la serveuse, savait que c'étaient eux et elle vint leur apporter leur café, deux Cappuccino avec un cœur dessiner avec la mousse. Elle était ravis de voir ces deux people ensemble et elle leur glissa un petit mot.

"Bon courage à votre couple."

Et elle repartit servir les autres meubles moins important.
Les deux tourtereaux avec 16 ans de différences commencèrent à boire leur somptueux nuage de cacao avant que ce ne soit la chanteuse qui entama la conversation.

"Alors, tu as eu de nouvelles enquêtes Kogo-chi-ro ?
- Oui une en particulier qui a dû me faire travailler mes petites cellules grises.
- Raconte la moi.
- Alors c'est très simple, j'étais dans mon bureau à regarder ton dernier concert en live où tu resplendissais de bonheur et ta voix était d'une gaieté inégalée, on peut dire que j'étais à fond avec toi, tu aurais dû m'entendre chanter.
- J'imagine en effet.
- Gné hé hé hé hé hé !
- Tu peux reprendre s'il te plait.
- Bien. On vint alors toquer à ma porte, c'était Midori Kuriyama, la secrétaire de mon ex, qui venait me voir pour une affaire délicate la concernant. En effet quelqu'un lui avait volé tous ses habits, donc elle était toute nue, résultat mon nez explosa en sang et je dus aller à l’Hôpital Beika. C'est là bas que j'appris que le très célèbre voleur de vêtements de femmes, Lupin III, était hospitalisé à l’Hôpital Haido, je compris alors que c'était lui qui avait volé les habits de ma cliente. S’enchaîna une longue course poursuite d'hospice entre nous deux à travers le monde pour se terminer à New York quand il trébucha à 15 mètres de l'arrivé...."

Il remarqua enfin que sa ravissante dulcinée s'était endormie en écoutant ses épopées véridiques, il esquissa un petit sourire tendre en la regardant dormir, il en avait de la chance de pouvoir finir en couple avec son idole.
Mais une personne n'était pas pour cette union et elle attendait dehors, de l'autre coté de la route avec un détonateur dans la main, un petit coté malsain de dégagea d'elle.
C'était Eri Kisaki avec son pitit chaton Goro posé sur l'épaule, elle avait mijoté un sale plan. En effet elle avait truffé de bombe l'endroit et s’apprêtait à tout faire sauter pour se venger de ce petit con de détective privé avec qui elle s'était séparée.
Mais avant d'avoir pu faire du Michael Bay, elle remarqua un calicot mâle prénommé TAll qui venait d'arriver près d'elle avec un sac plastique entre les crocs qui contenait toutes les bombes de l'avocate.
Elle écarta un sourcil perplexe qui se demandait comment un chat pouvait avoir fait ça, ça devait être de la magie noir, ou blanche, ou bleue, ou bien encore rouge.
Le mieux aurait été donc de revoir son plan et de laisser le gros bouton de coté, mais le Destin en avait décidé autrement.
Un Eisuke Hondou sauvage apparut et poussa maladroitement la pauvre femme qui s'écrasa sur le bitume, enclenchant la détonation, et une grosse boule de de feu se répandit aux alentours, brisant la vitrine du café.
Le pervers alcoolique avait prit le temps de se réfugier sous la table avec sa vedette sous le bras, se protégeant du souffle et leur sauvant la vie au passage. Eri, n'était plus, Eisuke, non plus.

Amour Gouvernemental

Du coté de l'Haido Parc, c'était la baston général, le FBI qui s'était dit que avoir une seule organisation sur le dos n'était pas assez, avait décidé d’empiéter sur le terrain de la mystérieuse organisation recherchant la "Pandora Gem". Résultat une fusillade entre les deux camps avait lieu, d'un coté Snake et 5 sous fifres planqués derrières 3 voitures (2 de modèles Série 3 E21 et 1 de modèle X3 E83) tandis qu'à l'opposé il y avait l'agence gouvernemental américaine qui n'avait rien à foutre là.
Shuichi Akai et Jodie Starling se trouvaient planqués derrière une Chevrolet Cruze I, James Black et André Camel derrière une Jeep Wrangler JK, et les deux autres agents qu'on avait vu dans le générique de l'Arc Kir derrière une Dodge Journey. C'était assez folklorique et quand les coups de feux cessèrent, le grand méchant s'exprima comme dans un gros nanar.

"Akai ! Je sais où tu te caches ! Viens ici que j'te bute enculé !
- Ta gueule ! Viens ici sale enculé !
- Salaud ! Vas y !

La blonde à lunette eut à peine le nez de sorti, qu'elle découvrit le sens de se faire trouer l’abdomen et tomba à terre, morte.
Voulant venger son ex comme il voulait venger Akemi des Hommes en Noirs, il quitta sa cachette dans un élan d'idiotie et fonça dans le tas, tirant une seule balle qui fit exploser 2 des voitures, ne laissant que le serpent sournois de vivant.
Mais sacrebleu, le petit filou avait plus d'un tour dans sa manche, il avait aussi un canon qui tira une balle volant avec ses minuscules ailes droit vers le cœur criant de l'homme au bonnet noir.
Le seul truc qui put le sauver d'une mort certaine, c'était l'arrivée inopinée de Rei Furuya qui se mit dans la trajectoire de la balle et se la prit à sa place.
Le public se couvrit la bouche sous le choc tandis que le pauvre homme tomba dans les bras de son bien-aimé, le cœur battant en prise avec cette scène dramaticoromantique typique du cinéma.

"Rei, pourquoi tu as fais ça ?
- Parce que je t'aime ma petite pelote de laine.
- Je t'avais pourtant dis de ne plus jamais m'appeler comme ça.
- Tais toi, et embrasse moi !"

Ils s'échangèrent donc un baiser qui dura une bonne heure, durant laquelle rien ne se passa du coté des autres personnages dans le coin.

Amour Noir

Les principaux acteurs, ceux avec des noms de codes, de "l'Association des Corbeaux" s'étaient réunit dans leur salle de réunion top secrète pour discuter de ce jour spécial.
Anokata se tenait au bout de la table rectangulaire, avec la porte d'entrée dans sa ligne de mire et un grand tableau juste derrière qui représentait Renya Karasuma, le milliardaire mort il y a 50 ans et qui a créé l'Organisation. Le Patron actuel, peu de personne savait réellement qui il était étant donné qu'il était entièrement recouvert de la tête au pied de façon androgyne, ce qui le rend méconnaissable. Seul Gin, Vermouth et Rhum savaient qui il était.
Ce dernier était assit à l'opposé et il était entrain de jouer à Forge of Empires sur sa tablette tactile, lui aussi tenait à ne pas révéler qui il était.
Six chaises étaient vides, celles de Scotch, Bourbon, Rye, Sherry, Pisco et Tequila. Calvados n'avait pas eu de siège de son vivant, il aimait plutôt se mettre sur le lustre pour guetter les alentours avec son fusil à pompe.
Korn et Chianti se trouvaient cote à cote, elle pestait envers une autre tireuse d'élite de l’organisation, Marc alias Emma Watson parce qu'elle était meilleur qu'elle, la langue de vipère raconta ses vacheries à son fidèle ami qui écoutait par une oreille pour ressortir le tout par l'autre.
Kir alias Hidemi Hondou attendait que le patron prenne la parole en essayant d'éviter les mauvais regards que Gin lui balançait depuis tout à l'heure, tache qu'il faisait en même que celle de surveiller Vodka pour pas qu'il s'étouffe en essayant de manger sa chaise.
L'heure venue, le Boss demanda le silence pour pouvoir faire l'appel.

"Arrack ?
- Présent.
- Brandy.
- Présente très cher.
- Cognac ?
- Wesch, ch'uis là !
- Martini ?
- Toujours fidèle depuis 1863 !
- Schnaps ?
- Uiiiii !!!
- Vermouth ?"

Silence.
Elle n'était pas là.
La porte s'ouvrit soudainement, laissant un filet de lumière inonder la pièce et laissant apparaître le Docteur Tomoaki Araide, l'air niai, qui se retrouva avec de nombreuses armes braqués sur sa tronche.
Mais Cette Personne fit signe à ses chiens d'arrêter de grogner, il n'était pas dupe.

"Ma chère Françoise Baletière, pourrais tu cesser la comédie ?
- Bien entendu mister Atsushi Miyano."

L'Homme crispa, le masque tomba, laissant révéler leur vrai nature.
La Pomme Pourrie venait de toucher une corde sensible, elle contourna alors la table pour arriver au niveau de Kir pendant que les autres membres analysaient la vrai identité de leur chef.

"Françoise, tu veux jouer à ce petit jeu, on dirait, n'est ce pas ? Bien dans ce cas, je vais révéler le secret de ta jeunesse surnaturel.
- Pas besoin, c'est juste que je maîtrise la sorcellerie et plus particulièrement la magie blanche, j'ai réussis donc à utiliser un rituel qui m'a permis de garder ma jeune apparence jusqu'à même après la mort. Et maintenant je vais partir avec ma chérie, salut.
- Non attends !
- Passe le bonjour de ma part à ta femme quand tu la verras, un jour."

A ses mots la moumoute sur patte prit l'agent de la CIA dans ses bras et s'extirpa de cette séquence comme par magie.

Amour Fraternelle

Une réunion familiale avait lieu au Manoir Kuroba entre Toichi qui était vivant, Chikage qui venait de rentrer de Las Vegas, Yusaku Kudo qui lui arrivé tout juste de Los Angeles, et sa femme Yukiko parce que révélation de ouf guedin les deux femmes sont sœurs en réalité.
Là, ils étaient dans le salon, mode détente, entrain de boire de la tisane comme des gros richards, tout en rigolant de souvenirs passés.

"Et là, reprit Yusaku, je suis arriver dans la pièce et j'ai piqué la vedette à mon fils qui fut surprit de ma présence, vous auriez vu la tête qu'il a fait.
- Et puis à la fin, nous sommes partis en moto tous les deux comme dans notre jeunesse.
- Tu oublies néanmoins quand nous sommes tombé en panne d’essence et que juste après nous avons dû traîner la moto jusqu'à la station d'essence qui était à 5 Km d'ici.
- Oh juste un petit détail de rien du tout.
- Passionnantes vos aventures, leur répondit Toichi, moi de mon coté mon fils à reprit ma cape pour venger ma mort et empêcher les autres fous d'avoir l'immortalité, mais nous le surveillons pour être sur qu'il s'en sorte.
- Il tient bien de toi de ce coté là, notre fils."

On sonna à la porte, c'est le célèbre magicien qui daigna se lever pour aller ouvrir. La personne à l'entrée se révéla être l'inspecteur Momose, surnommé Colombo par ses collègues, qui montra sa carte de flic et entama l'explication de sa présence.

"Konnichiwa, watashi wa Momose-keibu.
- En français maintenant.
- Bonjour, je suis l'inspecteur Momose.
- A l'envers ?
- Esomom ruetcepsni'l sius ej, ruojnob.
- Vous venez donc pour quoi ?
- Je suis de la 3ème Division et on m'a signalé un vol dans votre demeure, je viens donc m'incruster pour enquêter."

Il le poussa violemment comme dans un film de super héros, donc le prétendu mort se fit éclater contre le mur et fut assommé sur le coup. Les 3 autres personnes se levèrent, fixant attentivement le vil intrus qui se croyait tout permis et qui leur plissa les yeux pour montrer de l'irrespect.

"Vous n'auriez pas vu ma femme ?
- Cesse ton numéro, Fantômas ! Cria le romancier."

L'expression de l'inspecteur changea tout comme celle de ses ennemies en voyant Jean-Jacques Goldman arriver avec son micro.

"Envole toi ! Envole toi !!! Avant que les flics n'arrivent à la porte ! Envole toi !!!!!"

Et il disparut en faisant tout péter derrière lui.

Amour du Shogi

Changeons de pays pour finir, et partons pour l’Angleterre pour nous rendre à la terrasse d'un café londonien où se trouvaient deux célèbres joueurs de shōgi, Shukichi Haneda et son rival Chikara Katsumata étaient entrain de traite d'affaires sérieuses.

"Tu as vu le match opposant Minerva Glass à Steffi Graf ?
- Oui.
- Alors, top ! J'ai gagné 7 fois le championnat et je rajoute une 8ème victoire à mon palmares, je suis, je suis...
- La Mer Noire !
- C'est, non ! C'est non.
- Je t'aime !
- Oui, oui, oui, oui !"

Ils s'embrassèrent comme des bêtes, renversant les couverts sous le mécontentement du serveur qui passait par là.
Ce fut une lutte suprême pour le pouvoir et finalement en un geste souple et raffiné, le frère d'Akai prit le seul couteau encore sur la table et le lança quelque part.
Un cri retentit, c'était celui d'une touriste que ceux qui ont une bonne mémoire ou savent chercher sur google reconnaîtrons, c'était Hikaru Yasumoto aka la femme de ménage de la famille Araide qui a le béguin pour le fils. Elle regarda avec frayeur une autre femme juste devant elle qui s'était prit le couteau dans la main droite et qui venait de lâcher le pistolet qu'elle tenait. Cette personne aussi vous pouvez la reconnaître car c'est Natsuki Koshimizu, la Détective du Sud, qui s'est évadé de prison et qui trouve maintenant que les meurtres.... C'est cool !
Chukichi s'avança sous les projecteurs de l'hélico qui survolait le coin en faisant mumuse et il pointa du doigt la criminel comme un grand détective.

"Ne voyant que 36 vérités, il a l'apparence d'un adulte mais le cerveau d'un enfant, son nom est... AGASHE !!!"

Il s'écroula par terre, prit de spasmes et en bavant tel un escargot qui pique un fous rire, il n'y avait plus rien à faire pour lui.

Amour Bonus

Ai Haibara se trouvait assise sur un banc, seule, dans le Parc de Beika-city. Elle tenait une photo de ses mains, une image importante dans son cœur, et la dernière chose qui lui restait d'un être cher pour elle.
Sa sœur, Akemi, se trouvait dessus ainsi que sa mère, Elena, mais pour cette dernière, elle avait encore ses cassettes comme mémoire.
Elle sentit alors une main se poser sur sa jambe gauche nue, en effet elle portait une minijupe aujourd'hui, elle pensa d'abord à Conan qui était parti chercher des glaces mais la main était trop grande pour être la sienne.
Elle leva la tête et vit un vieux monsieur vêtu d'un imperméable marron et qui avait de la bave qui lui coulait des lèvres.

"Alors ma petite, tu veux monter dans ma fourgonnette ?"

La seule réponse qu'il eut, c'est un ballon de foot qui lui décocha la tête en venant par l'arrière. Il fut envoyé par Kudo-kun qui n'aimait pas qu'on touche à sa copine, il était du genre possessif, même avec Ran qu'il considérait comme une sœur. Finalement il prit place à coté de sa copine et lui donna sa glace au chocolat noire qu'elle avait demandé, lui s'était contenté d'une simple glace à la vanille qu'il commença à lécher succuleusement.
Haibara était très heureuse, en fin de compte, elle put enfin être en couple à celui qu'elle aimait, Dieu l'avait pardonné de son passé dans l'organisation criminel, il pouvait être sympa quand il ne picolait pas ou ne regardait pas le foot à des heures tardives.
Elle osa faire une chose, déclarer ses penser à son partenaire.

"Tu sais Shin, j'ai encore du mal à croire que mon vœu ait pu être exaucé, c'est comme un rêve qui devient réalité.
- Tu veux que je te pince pour te prouver que c'est pas un rêve ?
- Tu veux perdre tes dents ?
- Ah voila c'est ce que j'adore chez toi, ton sarcasme, tu es un adversaire à ma hauteur, Sherry.
- Meitantei aurait trouvé plus fort que soi ?
- J'ai jamais dis ça, et faut pas rêver non plus, t'es pas mon père.
- Ouais, je me rappelle encore l'autre jour quand on était dans une épicerie et qu'il y avait eut comme d'hab un meurtre, t'étais sur le point de jouer ton stratagème pour dévoiler le coupable et le mettre en taule. Et là ton père est arrivé, il a dit le nom du meurtrier, a pointé la preuve irréfutable du doigt puis est parti comme si de rien n'était. Tu étais complémentent dégoutté, c'était génial, j'ai dû me retenir de rire.
- Ouais ouais, continue à te moquer de moi, je me vengerais.
- Tu te fais du mal, je gagne toujours à ce jeu là.
- C'est ce qu'on..."

La tête de Conan explosa, mais pas par magie, rassurez vous.
Il s'était prit une balle venant d'un gros Desert Eagle tenue par un mercenaire complètement dérangé et drôle en costume rouge et noir dénommé Deadpool.
Ai se retrouva paralysé par la peur, son détective à elle venait de mourir juste devant ses yeux sans qu'elle n'ait rien pu faire pour lui sauver la vie.
Le clown de service ne put s’empêcher d'ouvrir sa...

"Grande Gueule ? J'ai vu juste, je devrais devenir narrateur ! Enfin bref c'est l'heure de transformer ce Shōnen en Seinen !"

Il sortit de son dos ses deux katanas fétiches et décapita la fille en noir.
C'est à ce moment là que superA se réveilla en sursaut, et elle se rendit compte que cette scène entre Conan et Ai n'était que le fruit de son imagination débordante.
Elle remarqua enfin que le dortoir où elle se trouvait était vide et que l'alarme retentissait en boucle, ça c'est le signe pour dire qu’ils avaient une nouvelle urgence à régler et qu'elle allait vite devoir se lever si elle ne voulait pas que Sylkabe ne lui tape sur les doigts.
Une fois changée, elle prit le temps de murmurer quelque chose à elle même.

"C'est parti, le Brigade C.0-A.I vaincra."

Et elle partit pour de nouvelles aventures que vous retrouverez prochainement chez d'autres auteurs de ce forum, moi je vais prendre mes RTT !
Revenir en haut Aller en bas
WAF
Le héros des survivants
Le héros des survivants



Messages : 1397
Points : 1401
Réputation : 0
Date d'inscription : 03/05/2013

Paf le chien - Page 8 Empty
MessageSujet: Re: Paf le chien   Paf le chien - Page 8 Icon_minitimeMar 16 Fév - 21:59

Route menant à la Cabane et aux Mines

Un chemin bien connu des lecteurs fut arpenté une nouvelle fois par un couple de personnages, marchant sur les traces des précédents visiteurs du coin.
C'étaient Niels Broadstorm avec son accent new-yorkais et son nouveau plan cul, Anne Durceau qui pouvait rappeler le personnage d'Eri Kisaki du très célèbre manga à succès, Détective Conan.
L'ancien membre de l'Armée CoAyu avait un bon sens de l'observation et il avait remarqué les fraîches traces de pas dans la neige, montrant que deux personnes étaient passés par ici il n'y pas si longtemps que ça, néanmoins il s'abstint de partager l'information et aborda un autre sujet à la place.

Niels : Alors, cette histoire de Wendigo, t'en pense quoi ?

Anne : Ce ne sont que des sornettes, pourquoi pas les loups garous et des vampires, tant qu'ils y sont ?

Niels : Pourtant les failles dont ils ont parlé existent vraiment, des créatures d'un monde fictif peuvent venir dans le Vrai Monde.

Anne : Je ne crois que ce que je vois.

Niels : N'empêche que ça me rappelle Qui veut la peau de Roger Rabbit, ou encore Les Looney Tunes passent à l'action, ce coté de la fiction qui devient réalité.

Anne : Je les avais bien aimé ces films là. Et sinon qui es tu vraiment Monsieur Niels Broadstorm ?

Niels : I'm an american soldier. Ou plutôt je l'ai été mais je suis parti, ensuite je suis allé en France et j'ai rejoins l'Armée de Trystan Mackwell, et je suis vite devenu son second car j'étais très doué et je savais très bien parler français comme tu peux le voir.

Anne : L'Armée CoAyu, vous avez fait parler de vous dernièrement, non ?

Niels : Ouais, notre but était de faire régner le CoAyu comme notre nom l'indique, ça n'a pas marché, et maintenant tout le monde adore le CoAi, heureusement que j'avais un implant sinon j'en ferais parti aussi.

Anne : En tout cas moi je t'aime bien, et je peux te dire, si tu as un rêve ne l'abandonne pas.

Niels : Merci.

Son œil vert posa un regard attendrissant vers la dame, l’œil noisette bigla un peu, c'était pas ça faute, il avait été bercé trop près du mur.
Le possesseur de ses deux globes oculaires aperçu enfin la cabane sur la gauche tandis que le chemin continuait à droite, mais leur arrêt était là.
Lui qui menait la marche, fut le premier à arriver devant la porte en bois qui semblait ne pas avoir été ouverte depuis des lustres. Un tas de neige venait tenir compagnie à la poussière recouvrant l'obstacle.
Il actionna la poignet, ouvrant promptement la porte, puis laissa entrer la femme de 33 ans, ne voyant aucun danger à l'horizon, puis il entra à son tour.
La salle principale était engloutie dans l'obscurité, il n'y eut besoin que d'un clic pour que la lumière refasse surface.
Au moins, il y avait du courant, pour l'instant du moins et le militaire n'espérait pas devoir aller allumer un générateur dans un cabanon isolé pour ensuite se faire retrouver par l'ultime survivante cloué à une porte avec des flèches dans le corps.
Anne se posa sur le canapé au centre qui pointait vers la cheminée sans feu, la question allait bientôt venir de ses lèvres.

Anne : Est ce que tu pourrais t'occuper de faire chauffer la pièce s'il te plait ?

Niels : Of course, but en attendant, je pourrais te raconter une story.

Anne : Une histoire te concernant ?

Niels : En effet, je vais te raconter ma matinée du 17 Janvier, la nuit où l'Armée CoAyu a été presque entièrement décimée.

C'est parti pour un récit à la première personne.

POV Niels Broadstorm

Notre Général, Trystan, m'avait demandé puisque j'étais son second, de surveiller le milliardaire alsacien Bernard Heizman qui logeait au Martinez dans la chambre 505. Pour faire cela j'avais l'aide des CRS postés à l'extérieur ainsi que de la sécurité de l’hôtel à l'intérieur, dés qu'il faudrait agir, je pourrais leur demander de m'aider. En attendant j'étais dans ma voiture, une très belle Chevrolet Camaro V à laquelle je tiens beaucoup, elle était garée juste devant l'entrée, la zone interdit au public lors du Festival et où les limousines déposent les STARS.
D'ailleurs dans mes souvenirs j'avais pus voir ce jour là, Scarlett Johansson et Natalie Portman, elles doivent avoir leur suites au derniers étages, ces deux là, d'ailleurs étonnant que ce ne soit pas le cas de l'autre friqué.
Alors, je faisais rien de bien passionnant pour faire passer le temps, juste écouter du Heavy Metal tout en tapotant le volant.
Et ce fut finalement peu après 3 Heures du mat que les choses changèrent du tout au tout, j'entendis mon portable me dire que j'avais reçu un messages.
Je me doutais alors de ce qu'il allait dire, et j'avais vu juste. Trystan m'avait envoyé "Eliminate this Bernard Heizman, he sent mercenaries for kill us and take back the RIN."
C'était l'heure, l'heure de faire bouger ma queue de cheval.
"Je peux engager une tonne de mercenaires pour vous aider à protéger votre château." Qu'il avait dit l'autre. Je pris mon fusil ACR et j'ouvris la portière pour descendre, histoire de descendre ce son of bitch.
Me foutant des regards des flics et des VIP, je voulus me rendre à l'intérieur mais le Capitaine en charge des troupes CRS me stoppa en se mettant sur mon trajet, il n'était pas con et il avait compris qu'il se tramait quelque chose.

Capitaine : Un problème ?

Niels : Ouais un gros, ce bastard de Heizman nous a piégé, je vais aller le retrouver pour lui faire sauter la cervelle ! Surveillez le périmètre extérieur avec vos hommes juste au cas où.

Capitaine : Bien entendu, on fera tout ce qui est en notre pouvoir pour aider ceux qui nous mèneront au paradis de Conan et Ayumi.

Ouais, c'est pour cela qu'ils étaient coopératifs, ils étaient encore presque tous sous le contrôle du Rayon à Impulsion Neuronale à ce moment là. Bref il m'obéit et commença à donner les instructions à ses hommes tandis que moi je pénétrais à l'intérieur. J'expliquai ensuite à peu près la même chose au chef de la sécurité de l'Hotel puis je lui demandai comment ça se présentait en haut.

Chef : Il a refusé notre sécurité, deux de ses gardes du corps personnels sont à l'entré de sa chambre, les deux autres sont à l'intérieur. Il est en réunions d'affaires, d'après des témoins, ce serait avec des types menaçants et bien armés.

Niels : Du type mercenaire je présume, je m'en doutais, il ne les a pas tous envoyé là-bas, ça aurait été con. Merci et faites de votre mieux de votre coté.

Chef : Evidemment.

Je pris ensuite l'ascenseur pour me rendre au 5ème étage, mais je n'étais pas seul, il y avaient aussi Charlie Sheen et Bruce Campbell, deux célèbres acteurs, mais je ne sais pas pourquoi je les sentais chaud, très chaud.
Je compris bien vite pourquoi, je te laisse apprécié quelques extraits de leur conversation.

Charlie : I'm going to get laid Rihanna !

Bruce : Small Player... Shay Mitchell !

Charlie : Nice bro ! I can come ?

Bruce : Of course ! Will be also Nathan Fillion and Laetitia Casta.

Niels : Shut up !

Ils se turent et j'arrivai au bon étage, sans perdre une minute je me retrouvai très rapidement devant les deux gardes à l'entrée de la chambre qui se prirent une rafale de balle dans la façade.
Après cela la porte vola en éclat et je pus sans trop de problèmes abattre les deux derniers gardes pour finalement ne laisser de vivant que l'acteur principal et ses 3 invitées.
Ma cible était assise seule sur son fauteuil et s'était levée d'un bond en me voyant arriver, tandis que sur le lit était posé un personnage particulier qui fit signe à ses deux hommes debout de ne pas ouvrir le feu, en effet ceux ci étaient armés de Colt M4.
A ce moment là je sentis que quelque chose clochait, c'étaient des mercenaires certes... Mais ils n'avaient pas l'air d'être ceux engagés par l'alsacien milliardaire, ce dernier n'arrêtait d'ailleurs pas d'alterner entre moi et ce mystérieux bonhomme avec son regard, il avait l'air d'avoir autant peur de moi que de lui.
Les deux mercenaires debout étaient vêtus de tenues militaires derniers cri, donnant un petit coté futuriste avec le style métallisé gris/beige, ils avaient d'ailleurs un insigne. Je m'en rappelle plus très bien mais c'était je crois un soleil avec deux armes croisés dessus plus 3 mots écrits en rouge mais je me rappelle plus ce qu'ils disaient.
Leur chef décida finalement de se lever, de façon posé alors que je le braquais avec mon arme. Tu dois te demander pourquoi j'ai pas tiré ? Je ne sais pas... Peut être que moi aussi il m'intimidait.
Quand il fut enfin tourné face à moi, je pus voir son accoutrement. Une casquette sur la tête, un cache œil à l’œil droit, l’œil gauche à découvert était marron, il avait un foulard recouvrant toute une partie de son visage comme le mec dans Watch Dogs ou celui dans Naruto. Sinon pour le reste il portait une grosse doudoune blindée, des gants qui l'étaient tout autant et une paire de rangers allant avec son pantalon noir.
Maintenant que j'y pense, il ressemblait drôlement à l'un des autres suspects qu'il y avait au chalet... Stive ouais c'est ça son nom, ça semblait être lui mais c'est bizarre quand même.
Finalement sa voix s'éleva, elle semblait trafiqué et elle sonnait dans le grave, lui donnant un coté démoniaque ou monstrueux au choix.

Le Type : Gare aux cons, gare aux cons qui perdent leur cédille.

Je n'ai pas vraiment compris pourquoi il avait chanté cette chanson qui m'était inconnue, mais durant un moment où je baissais ma garde, il en profita pour s'avancer vers moi le fourbe. Mais de façon tranquille, ce qui fait que j'eus le temps de me ressaisir et de commencer à le mitrailler.
Et à ma grande surprise, il ne broncha quasiment pas et enchaîna finalement un coup à mon arme, la faisant valser à une vitesse incroyable contre le mur, la brisant en deux.
Sa main gauche se retrouva finalement sur ma gorge, et sans grand problème il réussit à me soulever du sol, il avait une forme inhumaine ce type ! Je fus ensuite jeté contre le mur à ma gauche, renversant une lampe au passage et cassant un tableau s'y trouvant, le choc me mit KO, et pendant que j'étais dans les vapes, ils en profitèrent pour tailler la route.
Je repris connaissance peu de temps après sur le grand lit douillé, encore un peu étourdi, la première chose que je réussis à bien voir, c'est la lumière du plafond qui clignotait.
Ce que je remarquai assez vite, c'était que j'étais seul, malgré cela je pouvais entendre des pas s'approcher de ma position au pas de course.
Mon instinct me fit me relever ultra rapidement pour ensuite chercher mon arme qui avait atterri sur la table de nuit, elle était inutilisable vu son état, j'allais devoir me démerder autrement.
C'était finalement que le chef de la sécurité qui arrivé accompagné de 2 de autres agents, tous armés de FN FNP-40, mais alors que je pensais pouvoir respirer un peu, les voila qui me braquent avec leur joujoux comme si j'étais leur ennemi.

Niels : A quoi vous jouez !?

Chef : Les mains sur la tête, votre petit jeu a assez duré ! Le CoAyu, des conneries, maintenant vous coopérez ou nous serons obligé de vous abattre.

J'obéis sans broncher, j'avais clairement compris qu'on avait perdu la guerre et j'étais peut être le seul survivant de l'Armée de Trystan, bien sur j'avais prévu de m'échapper ultérieurement.
Sauf que Dieu en avait décidé autrement, il voulait me voir libre Now.
L'agent le plus en retrait se retrouva avec la tête éclatée contre le mur, les deux autres furent surpris et le deuxième sur la route de la mort se vit prendre de bas en haut avant de se voir être plié dans le moment sens. Le dos en compote et un peu mort il fut jeté contre son dernier camarade qui avec la violence du coup se retrouva défenestré.
Ce fut un strike, et moi j'étais complètement ahuri par la chose, on venait de me sauver la vie et quand je vis que c'était une bonne femme à lunette avec un petit coté strict, ça me surprit encore plus... Oui elle te ressemblait sur certains points sauf que je me rappelais ensuite où je l'avais vue, c'était le Robot Super Nanny dont ils avaient parlé aux infos, il était activement recherché par Interpol car c'était un terroriste, il y avait un mandat d'arrêt international contre lui.
Il ou elle, c'est une machine donc c'est compliqué bon, il s'approcha vers moi et me fit signe de le suivre du doigt, j'étais quand même dubitatif.

Robot : Viens avec moi si tu ne veux croupir le restant de tes jours en taule.

Ses arguments étaient bons, et je le suivis sans problème.

POV La Superbe Narratrice Externe.

Niels avait presque fini son long récit.

Niels : On a réussit à fuir par un vieux passage secret et ensuite on s'est séparé, et puis j'ai arpenté ma route seul, prenant un peu de repos pour me faire oublier, le temps de réfléchir à une contre attaque.

Anne : Intéressant.

Elle sourit, même si elle ne croyait pas vraiment aux détails les plus paranormaux de l'histoire, ça l'avait fasciné et maintenant elle laissa un peu de place sur le divan pour laisser le roux s'y installer, ce qu'il fit.

Anne : Et maintenant nous allons faire quoi seules tous les deux dans cette cabane ?

Niels : On pourrait, je sais pas, lire le Necronomicon ?

Anne : Ou tu pourrais me dire ce qu'il est advenu de ce type qui était dans la chambre d'Hotel avec ta cible.

Niels : Je ne sais pas, et puis l'autre milliardaire n'est plus de ce monde pour pouvoir me le dire, je devrais remercier ce Maxime Moulin un jour pour ça.

Ils se rapprochèrent dangereux vers le point de non retour.

Niels : Mais j'ai un meilleur programme pour nous deux.

Anne : Oh tais toi et embrasse moi !

L'affrontement entre les deux corps commença alors, de nombreux soldats périrent à la fin celui celui ci, laissant qu'un carnage derrière.
Mais ce que vous vous dites c'est : "Bon ton flashback c'est bien jolie, mais on a bien compris que ce sera important dans le scénario plus tard !" Et moi je vous répond que vous devriez d'arrêter de faire vos petits malins... Hmpf !


Dernière édition par WAF le Sam 27 Fév - 18:16, édité 12 fois
Revenir en haut Aller en bas
WAF
Le héros des survivants
Le héros des survivants



Messages : 1397
Points : 1401
Réputation : 0
Date d'inscription : 03/05/2013

Paf le chien - Page 8 Empty
MessageSujet: This Is The War !   Paf le chien - Page 8 Icon_minitimeMar 16 Fév - 22:57

POV Alexis Jamey

Je nageais dans le flou sans savoir ce qui se passait pour moi, mais alors que je reprenais conscience, je sentis une air différente que celle que je respirais d'habitude. Ce sentiment étrange fut accentué par les coups de feux, les cris de douleurs et les explosions que je pouvais entendre au loin, peu à peu, je reprenais mes esprits.
Alors que j'étais sur à 100% que je m'étais endormi paisiblement dans mon lit chez moi le Vendredi 19 Février 2015, je me retrouvai sans m'en rendre compte le 16 Novembre 2025 en pleine Guerre et pas la Seconde Guerre Froide.
La première image qui me vint à moi en me réveillant, fut le visage d'un perso que je kiffe trop dans Call of, c'était Frank Woods, mais si vous le connaissez ! Avec son bandana kaki, sa barbiche et sa moustache avec son petit air de gros bourrin, c'était bien lui !
Il me regardait avec ce petit coté vétéran de guerre que j'adorais, il sembla remarquer au passage mon réveil et il me parla, oui il me parla.

"Hé Princesse, c'est l'heure de se réveiller, on a pas que ça à faire.
- Frank Woods, c'est génial !"

Je remarquai que j'étais couché sur un vieux canapé miteux, je me mis alors assis pour avoir une meilleur vue de la pièce.
J'étais dans un salon américain typique de classe médiocre avec le ventilo du plafond qui tournait et les souris qui dansaient puisqu'il n'y avait pas de chat, c'est mon frère qui sortait souvent ça.
Alors qu'à première vue, je n'avais vu que la STARS de la pièce, je me rendis compte que d'autres personnes s'y trouvaient. Il y avaient deux soldats américains dont une femme à l'entrée de l'appartement, ils étaient entrain de tirer sur des ennemies invisibles pour moi de là où j'étais mais je pouvais les entendre gueuler des ordres de façon pas très discrète au loin. Je reconnus entre les mains des deux gentils, un Olympia pour la dame et un Skorpion EVO pour le mec, mon Rambo préféré lui il avait son Commando, une arme qui a la classe. Il y avaient aussi deux autres mecs, un qui semblait essayer de communiquer avec sa radio, il tenait un Five-seven dans sa main gauche, ce devait être sa dernière arme et donc c'était mal barré pour lui. L'autre type se trouvait près d'une fenêtre, je pouvais voir un escalier de secours derrière comme c'est typique de trouver aux States, il tentait de l'ouvrir du mieux qu'il pouvait, dans son dos reposé un Ballista, c'était un sniper.
La dernière personne qui attira mon attention, la dernière alliée dans le coin je présumais, s'approcha vers moi. Sa couche de cheveux me rappelait la perruque que Maxime m'avait montré l'autre jour sauf les siens à elle étaient plutôt rouges mais avec un peu de brun, un mélange des deux, il y a un terme pour désigner ça mais la flemme d'aller sur Wikipédia ! La forme de son visage était typée tchong mais pourtant elle n'était pas bridée, elle avait un coté métisse. Elle était vêtue de vêtements plutôt classe, mélange de rouge et de noir avec mini-jupe assortie, en temps normal, ça m'aurait fait bander mais là j'étais plutôt dans le flou à ce moment là. Je m’aperçus avant qu'elle ne prenne la parole, qu'elle avait ses mains jointes derrière son dos, ça lui donnait un petit air autoritaire.

"C'est bon vous êtes bien réveillé ?
- Oui madame, mais qu'est ce que je fous là ?
- Je voudrais bien vous répondre, mais moi même je ne sais pas vraiment ce que je fiche ici. Ce grand gaillard un peu abrupte m'a récupéré avec son équipe, à priori c'est un certain Raul Menendez qui nous a amené ici, là maintenant il faut atteindre le point de rendez vous sur le toit pour partir d'ici. Ça va, vous suivez ?"

J'avais écouté à moitié la fin de sa phrase, je n'avais pas remarqué mais c'est vrai, elle semblait venir d'ailleurs, non pas à cause de son coté tchintchong mais parce que son corps était comme dans un dessin animé mais en 3D. Ça faisait zarbi, et Woods c'était différent mais tout aussi bizarre, sa texture semblait lisse, plus lisse qu'un humain normal. Je me sentis obligé de toucher ce qu'il y avait devant moi avec mes yeux baladeurs, pour voir si ce que j'avais devant moi n'était pas une illusion, bah c'en était pas une.

"Dis p'tite fiotte, si tu continue à me toucher la bite, tu devras bouffer le restant de ta vie avec une paille.
- De même si tu ne lâches pas mes seins dans la minute qui suit.
- Oh pardon, c'est que tout ça me semble tellement irréel."

L'asiat soupira puis se tourna vers le soldat galérant avec la radio, elle la lui demanda, il s’exécuta, puis elle changea de fréquence tout en murmurant des chose du genre "Faut tout faire soi même" ou encore "C'est pas compliqué de faire fonctionner une radio." Finalement une voix se fit entendre à travers l'appareil, une voix de femme qui disait "Charlie 5, vous me recevez ? Ici Zoulou Delta Four, répondez."
Cette meuf avait un regard blasé comme je n'en avais jamais vue, et des cernes, elle semblait peu dormir, ça me rappelait Maxime.

"Bon, ici Shiho Miyano, vous arrivez quand ?
- Bien, ici Zoulou Delta F...
- Je vous ais reconnu superA, inutile de faire votre cinéma.
- OK, nous sommes plus qu'à 10 minutes du point de rendez vous, shiho est aux commandes c'est une vraie pro, Aaron nous sert de sniper, Neiji tient la tourelle montée sur l'engin et Sylkabe donne des ordres.
- Si vous le dites, nous sommes presque arrivé, et pas encore de signes de..."

Un hurlement se fit entendre, ça venait des rangs ennemis, immédiatement j'eus le mauvais réflexe de me lever et voir ce qui se passait là bas.
Une fois dans le bon angle, je vis un abominable spectacle qui me coupa le souffle. Des types étaient par terre entrain de se faire boulotter par d'autres types qui possédaient des yeux bleus, c'étaient des Zombies comme dans le mode du même nom !
Le dernier soldat adverse encore debout se précipita pour acheter une arme au mur, mais pauvre de lui, il se fit plaquer au sol par un mort vivant.
Celui ci agrippa la gorge de sa victime avec ses dents avant de faire un brusque mouvement en arrière, arrachant le tout et envoyant une giclée de sang aux alentours. Du liquide rouge abonda de sa tuyauterie, tandis que le soldat tremblait comme une feuille, se voyant mourir sans pouvoir rien y faire.
C'était donc ça la Guerre ?
Ne pouvant plus voir ça, je déviais le regard ailleurs, puis j'entendis la porte claquer et des meubles se faire pousser contre la seule entrée pour les empêcher de venir à nous.
Cette Shiho tenta de rester de marbre, poker face, mais même moi je pouvais voir qu'elle cachait une grande crainte.

"Les zombies sont là, fit elle à son interlocutrice.
- Quoi !? Bon Mélianne prépare toi à descendre pour les aider quand on arrivera ! Tenez bon de votre coté !"

La communication cessa, et des coups retentirent contre le gros morceau de bois les empêchant de passer.
Le soldat à la fenêtre réussit enfin à l'ouvrir, il était tout content de son coup et voulait le faire savoir aux autres.

"Hé c'est bon, c'est ouvert !"

Il perdit bien vite son sourire quand un Denizen arriva de dehors et lui sauta sur la tête, lui cachant la vue avec ses mains et l'égorgeant avec ses pieds, dégoûtant !
Mine de rien, on était bloqué, on ne pouvait pas partir par la fenêtre, il y avait du brouillard dehors ainsi que ces bestioles qui adorent ça, et pour la porte d'entrée, on commençait à voir les zombies de l'autre coté car ils avaient arrachés quelques morceaux de celle ci.
Ce fut le bon moment pour étaler un peu sa science.

"Ils ont les yeux bleus, ça veut dire que c'est Richtofen qui les contrôle.
- Mais on s'en bas les couilles, me gueula Woods !"

On était pas sorti de l'auberge, et je ne pouvais pas faire grand chose, je n'avais point d'arme. C'est marrant mais c'est au moment où je pensais à cela, que je sentis un pistolet arriver entre mes phalanges et un souffle passer par dessus mon épaule pour parvenir à mes narines.
La Miss Miyano se trouvait derrière moi, collée contre mes vêtements, je pouvais sentir son parfum de fraise, c'était somptueux.

"Je te préviens, si tu as une érection, je te laisse crever.
- Pardon, excusez moi.
- Bon laisse toi faire, je vais te guider."

Elle me prit mes mains dans lesquelles elle avait mit un RK5 et me fit viser l'un des troues de la porte où était visible une grosse cible rayonnant de bleu, finalement elle appuya délicatement sur mon doigt, lui même pressant la gâchette, le coup partit tout seul et toucha directement le mille.
Elle se décolla de moi, me permettant de me tourner vers elle.

"Voila, maintenant essaye de le faire tout seul.
- Et vous.. toi de ton coté ?
- J'ai ça."

Elle me montra le MR6 qu'elle avait sur elle, c'est bon au moins elle pouvait se défendre elle aussi.
J'écoutais donc ses sages conseils et j'essayai de refaire la même chose, tout se passa bien, le trou en ligne de mire ainsi que la tête de l'ennemi.
Mais au moment de faire feu, le type qui avait précédemment la radio trouva judicieux de passer devant moi à ce moment là, résultat c'est pas la bonne tête qui sauta. J'entendis une flopée de soupirs juste après ça, mais avant d'avoir pu répliquer quelque chose, la porte céda soudainement, traversant la salle, poussant les meubles au passage.
Je réussis à sauter sur la droite pour l'éviter au dernier moment, mais le couple qui était juste devant se retrouva en croque monsieur entre le mur et la porte. Nous n'étions plus que 3 personnes vivantes, c'était pas gagné.
C'était un Brutus qui était responsable de cela, ces super gardiens de prisons aimaient défoncer les obstacles et faire trembler le sol. Le brouillard extérieur commença à rentrer, enveloppant la pièce, et du tonnerre se fit entendre, je savais ce que ça signifiait, les Hellhounds allaient être de sortie.
Et en effet, deux éclairs frappèrent le sol à deux points distincts, faisant apparaître deux chiens de l'enfer venues porter assistances aux troupes déjà sur place.
Autant dire que je faisais un peu tache au milieu de ce cafarmachin, en même temps ils ne semblaient pas trop s’intéresser à moi, c'était un point positif.
Un des clébards sauta sur le vétéran, heureusement il eut de bons réflexes, je le vis sortir en vitesse son couteau de combat et le planter dans la gorge de la bestiole qui mourut et disparut dans des cendres funèbres.
Mon attention se porta sur le second chien qui se dirigea au pas de course vers la troisième proie qui se trouvait près de la fenêtre avec un regard froid et sévère, braquant son pistolet vers lui et tirant une balle lui traversant la gueule pour se loger dans le mur d'en face.
A la place du corniaud, apparut la Nuke, le power-up qui nous sauvera la vie, et quelle chance ! J'étais le plus proche de celle ci !
Sans chercher à en savoir d'avantage, mon corps bougea de lui même, sautant à plat ventre, traversant l'item et s’écrasant sur le plancher en bois, me faisant crisper de douleur.
Comme prévu, tous les ennemies brûlèrent en conséquence, mourant et libérant la brume qui s'évapora, la manche était terminée.
Woods fut le premier à réagir, il se tourna vers l'issue de secours et nous fit signe avec la main de nous y rendre.

"Vite, sur le toit ! Je reste ici pour retenir la prochaine vague !
- Mais...
- Ne vous en faites pas pour moi, c'est pas ces connards qui auront ma peau !
- Ecoute le, rajouta Shiho, on y va."

Elle m’entraîna par la main vers la sortie et me fit passer à travers, je me retrouvai alors posé sur le dos sur le métal dur en forme de barreaux de couleurs verts qu'était cet escalier. Escalier permettant de descendre tout en bas, ce qui ne servait à rien à ce moment là, et de monter sur le toit, ce qui était notre objectif.
Madame Cheveux Rouges Bruns vint me rejoindre et m'aida à me poser sur mes jambes, le vétéran quand à lui ferma la fenêtre derrière nous, nous séparant définitivement de lui, il me manquera.
Mais pas de temps pour le Répit, l'autre elle avait de la poigne, et elle réussit à me faire monter toutes ces marches très rapidement, on se retrouva en même pas 1 minute tout en haut.
Mais à notre grande surprise nous étions attendues, 6 armes braquées sur nous vinrent confirmer cela. Il y avait 7 personnes, mon attention étaient d'abord concentrés sur ceux armés dont le look me rappelait quelque chose...
Mais c'est bien sur !
C'est les terroristes de la Cordis Die, je les avais enfin reconnu, car avant avec les zombies, je n'avais pas fais gaffe à leur emblème. Un grand C avec un triangle équilatéral à l'intérieur, le tout en rouge.
Le 7ème type se mit à applaudir, c'est ce qui fait que je m'attardai enfin à sa présence, le reconnaissant instantanément, tout ceux qui auront joué à la campagne sauront pourquoi je dis ça.
Raul Menendez, le Grand Méchant de Black Ops 2, et accessoirement un type plutôt résistant pour un humain normal, il survit par exemple à une balle en pleine tête et une grenade qui explose juste après. Et ça des grenade ils aiment s'en bouffer sans crever, pire que la Peste ce mec !

"Alors, tout ça pour ça vous vous dites !? Je peux vous comprendre, survivre à l'assaut de mes hommes et à cette invasion de zombies pour finalement se faire avoir si près du but, quel dommage.
- Oh, vous arrivez à bien voir malgré vos yeux, vieillard.
- Sarcastique, c'est bien vous Shiho Miyano.
- Vous me connaissez ?
- Oui, pendant que vous étiez concentré sur cette affaire de Wendigo et sur cette Eve, je vous ais surveillé de près, et mine de rien je vous remercie, vous avez aussi sauver ce monde au passage.
- De quoi ? Je me demandais. Il raconte quoi ?
- Chut, elle me fit, il fait référence à la Saison 3 des Mésaventures de Pinoulelapin, mais aussi à la Saison 4 qui n'a pas encore était écrite, laisse le dans son tripe. Là je suis sur qu'il va nous relater la Saison Prequel, écoutons le.
- Hmpf, fit l'invincible, tuez les, qu'on en finisse."

Un tir eut lieu, mais pas d'un des sbires de Menendez, il venait d'un SVG-100 se trouvant entre les mains du sniper, Aaron je crois, car oui sans que personne ne l'entende puisque le script voulait qu'on ne l'entende pas, l'hélico de modèle UH-60A Black Hawk était arrivé pour nous sauver. Oui j'ai une très grande connaissance de tout ce qui se trouve dans les Call of.
Un second homme tomba, au même moment, Miss Miyano se mit à plat ventre, je fis de même.
Ce fut au tour du type à la tourelle de faire feu, décimant les 4 derniers sbires, laissant juste le Nicaraguayen de vivant car les balles n'avaient pas osé le toucher.
L'hélico arriva finalement à ras du toit et une femme en descendit, elle était armée du fusil Sheiva, bof, et pointa le bout de son arme sur la gueule du bigleux.

"Montez !"

C'est tout ce qu'elle dit. C'était bien sur adressé à nous, et cette fois ci je n'attendis pas que Shiho me soulève, je le fis de moi même et nous montions tous les deux dans l'hélico où le reste de la Team se trouvait. Je pouvais enfin voir le psychopathe qui continuait à appuyer sur la gâchette de son joujou malgré qu'il soit à court de munitions, il y avait aussi le sniper qui semblait plus calme de prime abord. Il y avait un type entrain de parler avec la pilote et la copilote tenant la radio, j'en conclu que c'était le "Sylkabe" mentionné plus tôt, il donnait les ordres, ça devait être le chef de troupe.
Je reportai mon attention sur la fille dehors pour voir ce qu'elle allait faire de Menendez.

"Vous comptez me faire quoi ? Me tuer !? Ah ah ah ah !
- Non, mais lui il le fera."

Il se retourna et un Crawler lui sauta dessus, le plaquant au sol pour faire des choses que je n'avais guère envie de voir, j'avais assez vue de trucs qui me hanteront toute ma vie aujourd'hui !
Elle remonta à bord et l'hélicoptère repartit loin de cette ville, c'était New York, je pouvais enfin le voir même si elle avait beaucoup mangé avec les années.
Je poussai un petit soupir, ce cauchemar était enfin fini, ça me libérait d'un poids sur le cœur, je me relâchai, mais pas trop pour ne pas me chier dessus.
Une main se posa sur la mienne, c'était celle de la bonne femme métissée, elle affichait pour la première fois un vrai sourire et il m'était destiné.

"Même si je ne t'appréciais pas de prime abord, tu t'es montré brave, et comme nous nous reverrons surement jamais, tiens un petit souvenir."

Elle me donna un cadeau impensable, ça me fit sourire, je la remerciai avant de finalement me laisser emporter par mes rêves tout en regardant cette chouette porte.

[...]

J'admirais mon verre avec juste un petit fond de Coca, le bougeant un peu pour écouter le tintillement des glaçons, ça me rappelait que mon frère me devait toujours 500 euros. A coté de moi, à ma droite, se trouvait Stive, assoupi dans sa bave entrain de ronfler fortement, son verre de Pepsi était à moitié rempli. Il m'avait invité au Wess Raven pour parler un peu, ça faisait longtemps ! Maxime était aussi censé nous rejoindre, mais il l'avait appelé pour dire qu'il aurait du retard.
J'attendais dans ce coin calme et ensoleillé, ça donnait une bonne ambiance au bar, mais si pour un endroit populaire il manquait drôlement de monde. Ça devait être hors budget, faut faire avec les moyens du bord !
J'avais aussi appris que ce bar avait connu un tas de catastrophe, et qu'il a été rénové et reconstruit plusieurs fois, mais bon seul Max pourra m'en dire d'avantage sur ça.
Justement en parlant de lui, j'entendis la porte s'ouvrir, et sans même tourner le regard, je devinais que c'était lui. Heureusement ce fut le cas, j'aurais eu l'air con autrement, mais bon dans les films c'était toujours comme ça, dans Call of aussi.
Il prit place sur le tabouret à ma gauche et me serra la main, il avait toujours ses lunettes de vue qui se teintaient au soleil, cette fois ci il était mal rasé et je pouvais remarquer qu'il avait prit du poids, il était vachement plus maigre à l'époque où je l'ai connu. L'inverse de Stive qui était gros dans le temps alors que maintenant on dirait une fille déjà, anorexique qui plus est.
Ce fut donc Maxime qui prit la parole en premier.

"Alors, tout ça, tu vas en parler dans tes vidéos, ou faudra que je le fasse dans les miennes ?
- Je fais du Call of en vidéo donc oui je vais en parler, c'est logique.
- Et donc là tu vas retourner dans ta contrée lointaine, la Lorraine.
- Ouais, mais tu sais que maintenant on est la même région...
- C'est chiant.
- Et puis Blainville-sur-l'Eau, c'est un coin sympa, je t'inviterai à l'occasion.
- Seul ?
- Oui, ou tu pourras faire venir tes amis de la Brigade Connard.
- J'y penserais."

Il se retint de rire, j'avais peut être dis quelque chose de travers.
Il semblait maintenant s’intéresser à quelque chose dans la poche de ma veste, ouais je voyais ce qui l'intriguait. Je sortis alors l'objet en question, c'était un petit sac plastique où était conservé à l’intérieur un cheveu rouge brunâtre qui réfléchissait au soleil et qui donnait un coté féerique à ce monde désastreux et chaotique.

"Bon c'était agréable de te reparler, je dois y aller, je suis juste de passage, je dois aller rendre visite à quelqu'un qui m'est très cher.
- OK, bah je manquerais pas de suivre tes prochaines vidéos.
- De même, salut !"

J'étais étonné, il ne m'avait même pas interrogé sur ce que je tenais, peut être qu'il n'avait rien besoin de dire et qu'il avait déjà tout compris.
Il se leva et traversa la pièce pour s'évaporer à travers la splendeur blanche illuminant l'extérieur, comme un ange sur... Oh putain je fais une overdose de figures de styles !
Bref après ça je retournai chez moi pour reprendre ma vie normale, ma copine, mon frère... Mais sans jamais oublier cette journée inoubliable.
Eu... Fin.
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé





Paf le chien - Page 8 Empty
MessageSujet: Re: Paf le chien   Paf le chien - Page 8 Icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 
Paf le chien
Revenir en haut 
Page 8 sur 17Aller à la page : Précédent  1 ... 5 ... 7, 8, 9 ... 12 ... 17  Suivant
 Sujets similaires
-
» Paf le chien

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Resident evil Operation raccoon city :: Autour du forum :: règles du forum-
Sauter vers: