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 Paf le chien

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WAF
Le héros des survivants
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MessageSujet: Re: Paf le chien   Paf le chien - Page 10 Icon_minitimeMer 1 Juin - 19:39

Maxime Moulin : Jeune professeur de CAV de 19 ans sarcastique possédant une vision cynique du monde. Il peut être quelqu'un de très joyeux et drôle un jour, puis de super dépressif et triste un autre jour. Il a du mal à s'exprimer correctement en cas de stress. Il est franc, très très bizarre et ne tolère pas qu'on soit malhonnête envers lui. Et même si il a un caractère assez asocial, il peut se montrer comme autant un prof très sympa envers les élèves qu'il apprécie.

Cyril Dugland : Gros flemmard de 27 ans, c'est la 3ème fois qu'il redouble sa terminale, il fait parti aujourd'hui de la TL2 et il fait parti des 11 élèves étant en CAV Option Lourde. Il à un corps moyen, mesure 1m75, a les cheveux bruns très courts et a les yeux bleus. Il aime jouer avec les différents objets de sa trousse, ainsi que d'imaginer sans cesse les différentes filles de sa classe dans des situations coquines. Donc il passe son temps à glander et ses résultats sont lamentable, ce qui en fait l'un des plus mauvais élèves de la classe dû à sa fainéantise. Ce qui le sauve, ou pas, est son gout pour le 7ème art qui l'a d’ailleurs fait rejoindre le CAV.

Katherina Morbleu : Garçon manqué de 18 ans, elle n'a redoublé qu'une seule suite à une exclusion définitive de son premier collègue en 4ème, et elle fait aujourd'hui partie de la TL1 ainsi que des 11 élèves du CAV Option Lourde. Elle a un corps robuste, mesure 1m89, a les cheveux cyan court en pointes vers le haut et possède des yeux de même couleur. Elle parle avec une voix masculine et assez blasée en général. Etant soupe au lait de nature, elle s'emporte donc pour un rien et devient violente, c'est dans ses moments là qu'elle déchaîne tout sa force brute sur la première chose qui tombe à porté de main. Elle est passionnée par le foot et en fait en club. Elle a prit l'option CAV pour pouvoir apprendre à faire des documentaires sportifs plus tard dans sa vie.

Jack Daniel : Juif de 17 ans, il n'a jamais redoublé, et il fait parti de la TL1, ainsi que des élèves de Mr Moulin pour l'option Cinéma Lourde. Il a des cheveux roux frisés en puzzle, des yeux orangés, une taille d'1m68 et une allure faible et fragile. Celle ci est accentuée par le fait qu'il a la peau sur les os et un teint blanc maladif. C'est aussi la victime du groupe à qui tous les malheurs arrivent, c'est pour cela qu'il a développé un petit coté dépressif. Il n'hésite donc pas à se planquer dans des endroits improbables pour sangloter pour ses problèmes. Il est aussi souvent absent pour des soucies de santé, et est donc moins présent que ses camarades. Il est venu en CAV pour apprendre la technique lui permettant de faire plus tard un film ultra émouvant sur les camps de concentrations, avec des négationnistes qui jouent le rôle des juifs.

Ai Chimamireno : Franco-japonaise de 18 ans, elle a seulement redoublé sa 3ème parce qu'elle n'a pas trouvé sa vocation à l'époque, elle fait maintenant partie de la TL2 et du CAV Option Lourde sous Mr Moulin. Faisant 1m75, elle possède une silhouette fine et des longs cheveux raides rouges foncés descendant jusqu'à la ceinture ainsi que des yeux de la même couleur. Son teint est blanc comme une Yuki-onna et ses cheveux lui cache son œil droit. Elle est calme, très polie et elle dégage une sympathique générale avec son sourire angélique. Elle aime bien les animaux, mais surtout les tuer pour ensuite pouvoir jouer avec leur cadavre, elle fait d'ailleurs une collection d'animaux morts empaillés chez elle. Et sinon elle aime bien lire des Hentai pour son plaisir, elle a même une étagère qui en est entièrement remplie chez elle. Elle a rejoint le CAV parce qu'elle veut plus tard être une scénariste de films pornographiques.

Romeo Duval : Aventurier de 19 ans, il a redoublé deux années de sa vie pour des raisons d'emploi du temps sexuel chargé, il fait aujourd'hui parti de la TL1 et de la classe de CAV Option Lourde de Prof Moulin. Mesurant 1m81, ayant un un corps un peu musclé et possédant une barbe de 3 jours grisâtre, il est chauve mais cache ce détail en ayant toujours un bonnet noir sur la tête. Il se revendique comme étant le fils caché de Aldo Siffredi et de Lara Croft mais les autres personnes ont dû mal à y croire à son histoire. Il a un gout de l'aventure prononcé, n'hésitant pas à faire des cascades inutiles mais mettant sa vie en danger. Il est aussi un bon dragueur, et son but principal dans la vie est de coucher avec le plus de femmes que possible avant de mourir, tout en leur faisant des bébés. Il a rejoint le CAV pour lui permettre plus tard de continuer la saga des Indiana Jones en y jouant le rôle principal.

Kabira Alkulbat : Pétasse de 16 ans, elle a sauté sa classe de 4ème grâce  ses superbe note et aussi au fric de ses parents, elle fait partie de la TL1 et du CAV de Monsieur Moulin. Elle est anorexique, marinant bien avec ses 1m63, et ses cheveux sont longs, ondulés et verts foncés, comme ses yeux. Elle a teint de peau assez basané et beaucoup de maquillage sur son visage. C'est bonne fille de riche hautaine, qui n'en fait qu'à sa tête, se croit donc tout permis et n'hésite pas à méprisé les gens qu'une classe inférieur à elle. Elle méprise même ses parents et s'amuse à s'habiller de façon oser, picoler et manger du porc devant eux juste pour se venger fait qu'ils aient essayé de la forcer à devenir musulmane comme eux. Elle est finalement devenue bouddhiste et va souvent au temple du coin en cachette pour pratiquer sa religion sans que d'autres le sachent. Elle souhaite devenir une grande stars plus tard, c'est pour cela qu'elle est en CAV.

Brandon Schmith : Beau Gosse de 17 ans, n'ayant jamais redoublé, il fait maintenant parti de la TL1 et de la CAV by Mister Moulin. Il a une hauteur de 1m95, et des plaquettes de chocolats sur tout le corps avec des bons gros muscles seyants sur les bras. Ses cheveux sont blonds raides, attachés en queue de cheval parce que sinon ils seraient trop longs et gâcheraient tout. Ayant vécu dans une bonne famille bourgeoise de droite, il se la pète et s'aime beaucoup lui même, n'hésitant pas à faire part de ses muscles aux autres. Il adore jouer de la flûte à bec quand il est tout seul dans sa chambre. C'est le Fan Number One de Scooby-Doo, d'ailleurs il se compare souvent à Fred Jones qu'il idolâtre. Il espère pouvoir plus tard écrire pour un dessin animé Scooby-Doo, c'est pour cela qu'il a rejoint le CAV.

Léa Barloin : Hyperactive de 18 ans, ayant redoublé le CM2 pour d'obscures raisons, et étant maintenant dans la TL2 et la classe de CAV de Maxime Moulin. Faisant 1m84 et étant un peu enrobé sans que ça se voit, elle possède des cheveux roses dragées en coupe au carré plongeant ainsi des yeux étant pareils en couleur. Elle tout le temps super jovial, elle aime parler beaucoup même si c'est pour ne rien dire, et elle est la bonne humeur de la classe. Elle aime sauter partout en écoutant du Rock et rouler des pelles à tout le monde pour bien montrer qu'ils sont tous ses amies. Elle est la seule à être toujours vêtue de la même tenue, à savoir un kimono Misty Rose avec rien en dessous, un chapeau de cow-boy, des mitaines de motarde et des spartiates toujours autant rose car c'est sa couleur préféré. Si elle a rejoint le CAV, ce n'est en aucune raison pour faire du cinéma, c'est juste parce qu'elle a eu un coup de foudre pour le prof quand elle l'a rencontré par hasard l'année dernière et elle a donc décidé de faire parti de son cours.

Dario Memprezi : Intellectuel de 14 ans, il a sauté plusieurs classes suite à un QI beaucoup plus élevé que la moyenne, il est maintenant dans la TL2 et fait parti des élèves de Mr Moulin. D'une hauteur de seulement 1m60 pour une stature maigrichonne, il possède une coupe au bol teinte en blanc. Il est très bon dans toutes les matières sauf l'Allemand parce que l'Allemand. Il est le monsieur je sais tout de la classe et n'hésite donc pas à se faire remarquer en répondant à toutes les questions des professeurs, manquant souvent de respects par rapports à ses autres camarades. De manière générale, il ne sourit jamais et ne tolère pas que le cours part n'importe comment à cause de bavardage ou autres problèmes habituels scolaires pour les profs. En privé, il est plus social et sympathique, n'hésitant pas à aider les sans abris dans les rues ou les vieilles dames à traverser le passage piéton. Il est aussi quelqu'un d’extrêmement généreux, donnant de l'argent pour une personne dans le besoin sans hésiter. Ses raisons pour avoir rejoint le CAV sont inconnus.

Chloé Fissourou : Nigérienne de 16 ans, elle a récemment emménagé en France avec sa mère et elle fait maintenant partie de la TL2 ainsi que des cours de Mr Moulin. Elle a la même taille de Lina Inverse avec quand même plus de rondeurs que cette dernière, elle a aussi des cheveux en tresse et des yeux d'un teint bleu marine. Elle possède une très grande intelligence mais ne se fait presque pas remarqué en raison d'une forte timidité, qui fut pas mal empirés par les abus de son père il y a plusieurs années auparavant. Allant jusqu'à à un point où elle panique souvent pour un rien et souffre même fréquemment de malaise vagal, ce qui l'handicape dans la vie de tous les jours. Dans le quotidien, c'est une geek accro aux RPG Japonais et qui aime collectionner différents objets collectors. Si elle rejoint le CAV, c'est parce qu'elle veut plus tard adapter Dragon Quest en Film avec des vrais acteurs.

Nǚhái Hēishǒu-dǎng : Aussi connu sous le surnom de Jane Doe par ses camarades, on ne sait presque rien d'elle, juste son nom, et encore si ça se trouve c'est un faux. Ce que l'on sait c'est qu'elle n'est inscrite sur aucun des listes des classes, hormis pour le cours de CAV de Maxime Moulin, et l'administration ne semble pas dérangée par cela. Visuellement, elle semble faire 1m53 et elle est un peu enrobé, ses cheveux en chignon et ses yeux étaient tous les deux violets indigos. Elle ne parle jamais donc personne ne sait quelle voix elle a, et ça ne semble pas la déranger de ne parler à personne même quand on lui pose une question. C'est donc la mystérieuse asociale de la classe qui reste dans son coin en tirant la gueule et fait un peu flipper, surtout quand elle s'amuse à manipuler un objet inconnu dans son sac à dos pendant un quart d'heure. On ne sait donc pas ce qu'elle fiche là, mais elle est bien là.

Angeline O'Dell : Professeur de Français en charge de la TL1 âgée de 18 ans qui exerce sa première année dans son métier. Elle fait 1m58, et ses cheveux auburn sont sous forme de coupe rock’n roll qui contraste bien avec ses habits punk qu'elle porte généralement. Elle possède un fort QI qui lui a permis d'arriver à ce poste aussi vite et c'est donc sa première année en tant que prof. Même si elle peut sembler strict et assez sévère avec ceux qui la cherchent, elle est vérité très cool, gentille et attentionnée envers ceux qui le méritent. Elle est aussi d'une nature calme, ce qui fait qu'elle ne s'énerve que rarement, mais quand elle s'énerve, il vaut mieux ne pas être dans les environs. Avec ses amies, elle se montre très taquine et aussi pas mal espiègle. Secrètement elle se prostitue la nuit pour gagner un peu plus d'argent, ce qui pour l'instant ne lui a pas attiré de problèmes.

Felix Gauchard : Professeur de Français chargé de la TL2 qui est âgé de 33 ans et qui fait déjà ce métier depuis 8 ans. Il fait 1m76 et il a des longs cheveux noir, Aile de corbeau, qui lui cache ses deux yeux. Il arbore un look très gothique, maquillage blanc sur le visage, habit tout en noir avec des cranes, des croix et plein de bigoudis qui évoquent ce style là. Il est quelqu'un qui parle peu en dehors des leçons et parait un peu distant de prime abord. En vérité, c'est un véritable ange qui est membre de plusieurs associations chargés d'aider des rescapés de catastrophes naturels ou de nourrir les clochard, ainsi que de mouvements écologistes.

Julia Wetson : La Meilleure Amie de Ai et Léa, elle est en TS1. C'est une une jeune de 17 ans d'origine américaine d'1m82 qui s'est coiffée d'une coupe petite tête de moineau, le tout étant Blond vénitien, ses yeux étant de la même couleur aussi. Elle est tout le temps joyeuse, la légende raconte même que quiconque la rendrait triste, verrait sa mort arrivée dans l'heure qui vient. Elle parle en général avec un fort accent californien et aime alterner entre le français et l'anglais. Elle aime beaucoup la pèche et le yoga.

Robert Ménier : Hippie breton de 16 ans faisant parti de la 1ES2, c'est un pote à Cyril et Romeo. Il a des dreadlocks brunes, fait 1m63 et possède une bonne grosse barbe comme c'est à la mode chez les héros en ce moment à Hollywood. Il plane souvent quand on lui parle dû aux substances illicites qu'il consomme régulièrement, ce qu'il fait qu'il a aussi tendance à rigoler pour un rien. Son hobbie c'est de se balader dans la forêt pour être en communion avec la nature.

Jodie Foster : Proviseure du Lycée Bob-Lennon.

Arnold Schwarzenegger : Proviseur Adjoint du Lycée Bob-Lennon.

Sylvester Stallone : Agent d'entretient du Lycée Bob-Lennon.

Bruce Willis : Surveillant du Lycée Bob-Lennon.

Jackie Chan : Il est en charge du CDI du Lycée Bob-Lennon.

Eddie Murphy : Il exerce plusieurs postes au sein du Lycée Bob-Lennon.

Paul Duquart : Superviseur de la DGSI de 36 ans, ayant une hauteur de 1m84 ainsi que des yeux bleus et des cheveux noirs de style coiffure homme printemps-été 2016 par Franck Provost. Son plus grand rêve est de pouvoir devenir une Magical Girl.

Mbjellë Konvertua : Son vrai nom est inconnu, mais c'est comme cela que ceux qui le connaissent le surnomme. Il a à la tête des Albanais installés à Strasbourg et dirige donc le réseau de prostitution local. Il est reconnaissable par sa cicatrice en forme de pénis sur la joue droite.

Lepur : Un des plus fidèles sbires de Mbjellë.

Gomar : Un des plus fidèles sbires de Mbjellë.

Timofey Morbleu : Le père de Katherina.

Honoka Chimamireno : La mère de Ai.

Abbad Alkulbat : Le père de Kabira.

Firdaous Alkulbat : La mère de Kabira.

John Smith : Le père de Brandon.

Samia Fissourou : La mère de Chloé.

Shǒulǐng Hēishǒu-dǎng : Le père de Nǚhái.

Yong : Un grand ami de Shǒulǐng.

Et aussi des caméos de personnages connues ainsi que des personnages sans noms !


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MessageSujet: Re: Paf le chien   Paf le chien - Page 10 Icon_minitimeSam 4 Juin - 16:38

Ce fut le choix le plus dur de ma vie, encore plus dur que le jour où je dus choisir entre une camionnette rouge et une figurine Pan-pan le Connard pour mon Anniversaire.
Là je devais choisir entre 3 choix cruciaux.
Allez rencontrer ce Daredevil qui me conduirait là où je devais me rendre avec cette clé USB. Je ne sais pas ce qu'elle contient mais visiblement, tout le monde la convoite, je ne sais pas pourquoi.
Mais je pouvais aussi aller voir si Violette allait bien, ce qui me ferait perdre du temps et ferait peut être échouer la mission. La laisser crever pour le bien de la mission... En serais je capable ?
Je pouvais aussi rebrousser chemin, et jeter cette clé quelque part, m'échappant comme si je n'avais jamais joué dans cette désastreuse pièce de Broadway.
Je dois avouer que j'étais plus tentée par le premier choix, oui j'étais une grosse crevarde, je l'avoue. Mais il y avait quand même quelque chose qui me chiffonnait.
Cette amère sensation d'être manipulée comme un pantin, et ce sentiment de ne pas être dans le bon camp. Après tout je ne me rappelle même pas comment j'ai fini ici, si ça se trouve on se fout de moi depuis le début.
Ça pourrait se tenir, je dois bien vous avouer que le coup de Violette qui est revenue comme par magie me paraissait trop gros pour être vrai.
Pourquoi ils voulaient tant cette Clé USB ? C'est trop louche !
Non, il y a une autre solution à mon problème :
Je dois fuir ! Fuir aussi loin que je peux, pour échapper à ce cauchemar sans fin ! Moi, moi et cette clé USB renfermant tant de secrets.
Même si pour cela, j'allais devoir rester le restant de mes jours dans cette simulation, loin de ma famille.
Et de mes amies auteurs.
Pinou, Naru, Sylkabe, Mélianne, la nouille....
Adieu les gars !

3 mois plus tard, dans une petite bourgade perdue en plein milieu du Désert de Mojave en Californie, se trouvait ma nouvelle maison. Je m'y étais installée en étant sur de moi que l'on ne pourrait pas me retrouver dans un endroit pareil.
Et là bas j'ai fais une rencontre qui a ébloui ma vie, celle de Jojo Caravan, un vendeur d'ampoule à l'Escrocmarché du coin. Il avait une très belle moustache de cheval qu'il avait hérité de sa grand mère, et il était très gentil, voila c'est tout.
Ce jour là du 20 Mai, nous étions entrain de regarder un épisode de Détective Conan à la TV, c'était l'épisode 741 852, ou un énième filler sans intérêt si vous préférez.
Et alors que nous étions près de nous endormir, le bruit de la sonnette nous éviter de partir dans les songes en nous surprenant fortement. On avait pas prévu de visite aujourd'hui, c'est bizarre.
Jojo bailla un grand coup avant de prendre la parole en se curant le nez.

Jojo : Ouais bon tu vas l'ouvrir cette porte !

Moi : Tout de suite mon amour !

Jojo : Et ramène moi une bière !

Je me levai du canap pour aller sur le palier de l'entrée, histoire d'ouvrir la porte et de voir qui s'y cachait derrière.
Justement à vous de choisir !
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MessageSujet: Puis je me pendre ?   Paf le chien - Page 10 Icon_minitimeMar 7 Juin - 22:21

Ça y est, c'était le grand moment !
J'étais sur ma chaise dans ma chambre, la corde autour du coup, près à me lancer. Tout avait été préparé soigneusement par mes soins pour que ça aille le plus rapidement que possible, de toute façon plus rien ne me retenait dans ce monde de merde.
Evidemment j'avais le stress qui était là à tenter de me dire que il y avait peut être une solution, qu'il était encore temps de rebrousser chemin. Mais non ! Hors de question de rebrousser chemin ! Finissons ça vite et sans bavure ! Je ne veux pas souffrir encore plus que maintenant avant d'y passer !
Je pourrai enfin voir ce qu'il y a de l'autre coté, s'il y a quelque chose, sinon ça va être un peu chiant, mais bon.
Tiens c'est le stress qui parle encore ?
Ah non, c'est la Voix de la Raison qui me dit que ce Monde a encore de belles choses à m'offrir, que je dois arrêter sur le champ.
Plutôt crever !
Je vais lui montrer moi ! Que ce monde ne mérite plus d'être sauvé !
Commençons d'abord par parler de notre beau pays, en commençant par une des dernières lois en date qui m'avait eu donné l'envie de faire bouffer mes couilles à Manuel Valls quand je l'ai entendu à la TV.
La pénalisation des clients des prostituées... "Une avancée majeure pour le respect de la personne humaine, les droits des femmes" disait ce cher Valls...
Bon déjà j'ai retenu un rire en voyant que LUI nous parle de respect de la personne humaine, quelle ironie. Je passerai aussi sur le fait que tout le monde semble oublier les clientes de prostitués, ainsi que d'autres mélanges mais bon, passons !
Soulignons un point, le droit des femmes, sachant que quand je vois tout ça je penserais plutôt à le non droit des femmes mais on dirait que certains n'ont pas la même définition que moi sur le sujet.
En effet mon esprit de chevalier féministe s'active pour dire que interdire une femme a utiliser son corps pour pouvoir avoir de l'oseille sous prétexte que :
1) C'est pas bien d'utiliser son corps !
2) C'est mal, il faut sortir de cette drogue !
3) C'est la liberté !
4) Ça évite les violences envers les femmes !
Parce que pénaliser les clients revient à tourner autour de l'interdiction de la prostitution en elle même, en martelant ses raisons dans la tête des "victimes" comme ils appellent les prostituées en général.
Mais je sens les plus sceptiques d'entre vous me demander d'avancer des arguments, alors je vais répondre aux quatre raisons que j'ai marqué juste en haut.
1) Putain, ça me rappelle les arguments foireux que donnaient ceux qui étaient contre le mariage pour les homosexuelles, là on est au même niveau. Non mais franchement l'utilisation du corps d'une personne hormis dans des lieues publics revient à la personne en elle même. Et il faut savoir que la prostitution aujourd'hui se fait majoritairement sur internet donc pas dans un lieu public. Puis pour les cas dans les rues tard le soir, je dirai qu'elles ne seraient pas obligées de le faire dans ces endroits là si vous n'étiez pas occupé à tenter d'abolir tout ça. On est loin d'être comme la Suisse ou l'Allemagne putain....
2) Oui c'est bien un projet en vigueur, une sorte de thérapie pour les mettre sur le droit chemin de la société... Truc qui va vachement marché pour la majeure partie des personnes concernées qui font cela pour nourrir leur famille ainsi qu'elle même car elles n'ont presque pas d'argent et/ou pas de quoi trouvé un travail car le chômage et la pauvreté font la teuf ici et à cause de ce gouvernement de droite de merde on est pas près d'en sortir ! Vous croyiez vraiment qu'une pseudo remise en société va marcher pour elles !? Bah non ! Parce qu'elles n’auront toujours pas de travail ou d'argent ! Donc elles retomberont dans le travail au noir, et la prostitution en général ! Bravo, ça n'a servi à rien !
3) Certes, pour celles qui sont aux mains des Albanais ou autres Macs, c'est peut être vrai. Mais les autres, alors là pas du tout ! Vous leur en enlevé !
4) Bon déjà si je voulais jouer au con, je pourrais dire que tant qu'on y est on pourrait Pénaliser le Mariage aussi, car si vous voyez le nombre de maris qui battent leur femmes, c'est horrible ! Bref c'est pour cette argument, que cette Loi de la Pénalisation du Client fait tache ! En effet, si vous croyez que ça va vraiment diminuer la violence commise envers les femmes, c'est que vous êtes Jar Jar Binks ! En vérité c'est le contraire qui va se produire : Là où avant la prostituée et son client faisaient ça tranquillement dans leur coin sans soucie, ça allait, mais maintenant, par peur d'être chopé, ils vont le faire dans un endroit désert pour ne pas se faire griller. Ce qui fait que si jamais le client abuse, la prostitué ne pourra pas appeler à l'aide. Et même sans ça, il suffit que le client ne veuille pas payer, il va se barrer sans problème et même peut être buter la femme pour être sur de ne pas avoir d'amendes. Ça c'est pour les pires des cas, c'est pour vous faire comprendre que c'est con, et ne croyez pas non plus que ça va faire réagir les mafieux pour qui ça ne change rien.
Voila tout ça pour dire qu'en vérité ceux qui veulent abolir la prostitution sous prétexte de protéger ces pauvres brebis innocentes pour le bien de l’humanité, sont les bourreaux qui abattent leur haches pour leur couper la tête. Je plains ces dernières qui entendent le gouvernement et autres sympathisants de cette idée parler à leur place et leur faire du mal en voulant leur faire du bien,... L'ironie quand tu nous tiens.
Le mieux serait d'en faire un métier de l'artisanat où la prostituée est son propre chef et peut donc décider avec qui elle veut passer à l'acte, tout en définissant des lieues où elle pourrait pratiquer son métier.
Mais bon on est loin d'y arriver, alors autant se laisser tomber...
Quoi encore ?
Je n'ai cité qu'un exemple pour montrer a quel point le monde était pourri ?
Oui je m'excuse, ce sujet m'avait porté du font du cœur, je vais donc vous lister plusieurs autres exemples de choses qui me désespèrent à l'heure actuelle. Les voici :
- Nicolas Sarkozy qui est encore apprécié par beaucoup de personnes.
- Les Balkany et autres politiciens pourris qui ne connaîtrons jamais la taule.
- La Patron d'Air France qui diminue le salaire de ses employées et augmente le sien tranquillou.
- Vincent Bolloré qui rachète tous les trucs bien pour en faire de la merde.
- La Loi Travail qui passe quand même malgré la protestation de près de 3/4 du peuple.
- Les Casseurs qui viennent foutre la merde, et les policiers qui ne font guère mieux pour répliquer.
- Le Gouvernement qui fait n'importe quoi.
- La Montée de l’Extrême Droite.
- La Droite et la Gauche qui se foutent de nous.
- Le Chamboulement Climatique qui en profite pour passer par là.
- Les Américains qui n'en font qu'à leur tête comme d'habitude.
- Poutine qui fait ce qu'il veut, personne ne l'en empêchera.
- Les Dictatures qui sont aussi pépères dans leur coin.
- DAESH, Al-Qaïda et tous les autres terroristes islamiques, j'ai vraiment besoin d'évoquer une raison pour les inclurent dans ma liste ?
- Les sociétés pharmaceutiques qui nous testent comme du bétail sans que personne n'ose protester.
- Les Sécurités Privées qui veulent diriger le monde.
- La Pègre qui dirige déjà le monde en coulisse.
- La pauvreté dans le monde et la famine.
Et je pourrais en rajouter d'autres si je le voulais, mais je pense que cette liste suffit déjà.
C'est bon ?
Puis je me pendre ?
Ah tu ne dis plus rien maintenant, je t'ai fait clouer le bec !
Bon l'heure n'est plus à la rigolade, c'est à l'acte.
La chaise qui bascule vers l'arrière, mon corps qui rompt sous le coup puissant. Je m'en vais, vers j'espère, un monde meilleur.
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MessageSujet: Acte I, scène 1   Paf le chien - Page 10 Icon_minitimeMer 8 Juin - 15:30

Acte I, scène 1

Maxime, Cyril, Katherina, Jack, Ai, Romeo, Kabira, Brandon, Léa, Dario, Chloé, Nǚhái, Arnold

La sonnerie retentit, Maxime s’assoit sur son bureau pour faire face à ses élèves.

Maxime. - Salut à vous tous, je m'appelle Maxime Moulin et je serai votre prof de cinéma audiovisuel option lourde pour cette année de terminal.

Aucune réponse.

Maxime, à lui même, à voix basse. Hé bien ça commence bien. (Il rehausse le ton) Bon avant de vous expliquer en détail le programme de cette année et tout le blabla administratif dont vous devez vous en branler, (Il baisse la tête), je plains votre prof principal, (Il la relève), je vais donc en premier faire l'appel pour voir à quel niveau ils se sont plantés dans les listes cette année.

Il se lève pour se mettre à l'ordinateur et après quelques clics, faire l'appel.

Maxime. - Alkublat Kabira ?
Kabira. - C'est Alkulbat crétin !
Maxime. - Tu sais, (Il la regarde en esquissant un petit sourire), si c'est pour m'insulter d'entrée de jeu, tu peux juste prendre tes affaires et te barrer de mon cours.
Kabira. - D'accord.

Elle renvoie le sourire à Maxime, emballe ses affaire dans son sac à main et quitte la salle sans se retourner.

Maxime, étonné. - Bon donc je la met absente. (Il fait un petit clic sur la bonne case). Barloin Léa ?
Léa, se lève en secouant sa main comme une folle. - PRESEEEEEEENTE !!!
Maxime, sursaute. - Vous allez bien mademoiselle Baudoin ?
Léa, saute sur place. - Bien sur que oui !!! Je suis avec mon prof préféré que j'adore, je suis venue ici rien que pour ça, je vous adore monsieur Moulin !!! Je vous adore trooooooop ! On peut se tutoyer !!!?
Cyril, se réveille en frayeur. Qu'est ce qui se passe !?
Maxime, hausse un sourcil. - Si tu veux, ça me dérange pas personnellement, il faudra bien de toute façon.
Léa. - GEEEEEEEEEENIAAAAL !!!!!

Elle court au travers de la pièce et va se blottir contre Maxime qui est complètement perdu par la situation.

Maxime, apeuré. - Mais mais mais mais, qu'est ce que toi tu fais !?
Léa, mettant le doigt sur la bouche de Maxime. - Chut... (Elle prend une voix douce et sensuelle) Je suis là pour toi maintenant, rien que pour toi, mon corps est tien.

Elle approche ses lèvres vers les siennes et l'embrasse langoureusement.

Brandon, admiratif. - Le chanceux !
Romeo, irrité. - Je crois qu'un rival s'est lancé dans la chasse.
Katherina, à Romeo, énervée par sa remarque. - Nous ne sommes pas ni des objets, ni de vulgaires animaux, espèce de porc !
Ai, souriante. - S'il vous plait, calmez vous un peu, nous allons devoir apprendre à nous connaitre pour pouvoir vivre en harmonie.
Chloé, à Ai, timidement. - Je ne crois pas que ça va bien marcher.
Dario, rehausse ses lunettes. - Cette année commence mal.

Léa termine le long baiser mais reste dans les bras du professeur.

Léa. - Tu peux continuer l'appel Maxiou.
Maxime, un peu gêné. - D'accord. (Il se tourna vers l'écran). Chima, (Il fait une pause pour bien articuler le nom), mireno Ai ?
Ai, innocemment. - Présente.
Maxime. - Daniel Jack ?
Jack. - Oui, (Il tousse), je suis là.
Maxime, inquiet. - Tout va bien ?
Jack. - Oui, (Il toussote à nouveau), c'est juste une toux passagère.
Maxime. - D'accord... (Il fait une pause) Dugland Cyril, oh le nom de merde !
Cyril. - Présent !
Maxime. - Duval Romeo ?
Romeo. - Présent. (Il lance un regard défieur à Maxime). Et ne croyez pas que je n'ai pas vu clair dans votre jeu professeur.
Maxime, ne comprenant pas. - Si tu le dis Willy. (Il se gratte l’œil gauche). Fissourou Chloé ?
Chloé, tremblant. - Prrrrrrésente...
Maxime,à lui même, à voix basse. - Pourquoi j'ai que des tarés dans ma classe ? (Il reprend l'appel). Hēishǒu-dǎng Nǚhái ? (Il marque un temps de silence). Hēishǒu-dǎng Nǚhái ?

Il regarde dans la classe et voit l'élève au fond de la classe lever le doigt.

Maxime. - J'en déduis donc que tu es Nǚhái, tu peux aussi utiliser ta voix tu le sais ? (Il n'obtient aucune réponse de l'élève). Bon très bien je continue. Memprezi Dario ?
Dario, fièrement. - Présent monsieur !
Maxime. - Morbleu Katherina ?
Katherina, blasée. - Ouep monsieur !
Maxime, surpris. - T'es une femme !? J'ai cru que t'étais un homme.
Katherina, tapant du poing sur la table. - Répète un peu ce que tu viens de dire connard !?
Maxime. - Oh ça va, j'ai fais une erreur, ça arrive ! (Se concentre à nouveau sur l'ordinateur). Schmith Brandon ?
Brandon, faisant une tronche de débile. - Ouais c'est moi !
Maxime. - On dirait Fred Jones, mais en plus con.
Brandon. - Oh vous l'avez remarqué !?
Maxime. - Oh pour ne pas le remarquer, il faudrait être aveugle. (Il se lève pour se mettre dos au tableau avec Léa dans ses bras). Bon visiblement tout le monde est présent et il n'y a aucune erreur sur la liste, c'est un véritable miracle. Mais au moins je vais pouvoir commencer mon cours sans soucie ! (Il entend quelqu'un toquer à la porte). Ou pas. Entrez !

Arnold défonce la porte à coup de pied et entre dans la pièce avec la musique de Terminator qui joue en fond sonore, il s'approche vers Maxime.

Arnold. - Viens avec moi.
Léa. - Comme il est choupie !!! (Elle se jette sur le T-800 et lui fait un smack sur la bouche avant de sauter jusqu'à sa place) A plus Maxiou !
Maxime, regardant Léa. - Pourquoi je bande ? (Il regarde ensuite Schwarzy) Il y a un problème ?
Arnold. - La Proviseur, Madame Foster, souhaite vous voir.
- Bon OK, allons y. (Il se tourne vers ses élèves) Je reviens vite, faites pas les fous en attendant.

Il quitte la salle avec Arnold.
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MessageSujet: Re: Paf le chien   Paf le chien - Page 10 Icon_minitimeVen 10 Juin - 20:00

Acte I, scène 2

Jane, Kabira, Abbad, Firdaous, Maxime, Arnold, Bruce, Sylvester, Jackie, Eddie

Jane est assise à son bureau tandis que Kabira et ses parents sont eux assis juste devant.

Jane, essayant de détendre l’atmosphère. - Il ne devra pas tarder à arriver.
Abbad, sèchement. - Il y a intérêt !
Firdaous. - Du calme chéri, ne sois pas si sec.
Abbad. - Désolé je suis un peu sur les nerds en ce moment, c'est pas facile.
Jane. - C'est vrai que vous êtes le directeur d'une banque du sperme, ça ne doit pas être facile tous les jours.
Abbad. - C'est sur, pour ce genre de métier, il faut de la poigne. Il mime la branlette avec sa main droite.
Firdaous, gênée. - Chéri, pas devant madame la principale.
Kabira. - Qu'est ce qu'il fout l'autre pédé de professeur !?
Firdaous. - Allons bon Kabira, il ne doit pas être pédé, j'espère en tout cas.
Jane. - Et puis il faut éviter un langage comme ça ici ma chère. Elle reçoit un cracha au visage de la part de Kabira. Il faut aussi éviter cela.
Abbad. - Yjb ealayna 'abadaan al'atfala !

La porte du bureau s'ouvre, Maxime et Arnold entrent dans la pièce.

Kabira. - Ah le voila, c'est lui le pédé de prof qui se croit supérieur à moi, le taré !
Maxime, ricanant. - Pour toi, il en faut peu pour te dépasser niveau intelligence.

Kabira se lève rapidement et fout un coup de sac à main au visage de Maxime avant de quitter la pièce en étant furax. Arnold s'en va lui aussi, laissant Maxime toucher sa joue gauche où il a été touché.

Maxime, outré. - Mais elle va pas bien cette conne !? Il faut l'abattre, c'est un véritable danger pour nous !
Firdaous. - Veuillez l'excuser monsieur le professeur.
Abbad. - Bon, vu que personne ne se dévoue, je vais la rattraper et ça va barder pour elle !

Abbad se lève de sa chaise et quitte la pièce en claquant la porte derrière lui. Jane fait signe à Maxime de s'asseoir à sa place, ce qu'il fait.

Maxime, pressé. - Bon n'y allons pas par quatre chemins, je pense que si vous voulez me voir, c'est à cause de l'incident qu'il y a eu avec Kabira pour mon premier cours.
Jane. - En effet.
Maxime. - Et vous voulez que je présente des excuses ou quelque chose du genre, hé bien je peux vous dire que je...
Firdaous, coupant la parole à Maxime. - Non non non mon bon monsieur ! Ci pas pour cela !
Maxime, surpris. - Ah bon ?
Firdaous. - Ci pour vous mettre en garde pour elle.
Maxime + Jane. - Comment ça ?
Maxime, à Jane. - Vous ne saviez pas ?
Jane. - Non, d'habitude dans ce genre de situations, les parents viennent pour menacer le professeur en charge de l'élève, pas pour l'aider.
Firdaous. - Vous savez, on a toujours été là pour elle, on lui a offert tout ce qu'elle voulait à par évidemment de l'alcool, du porc, tout ce que Allah nous dit de ne pas avoir ou consommer. Je ne comprends pas pourquoi elle est devenue comme cela.
Maxime. - Je pense voir où est le problème.
Firdaous. - Elle a rejeté notre religion, elle verse quelques larmes, vous vous rendez compte !?
Maxime. - Je me rends surtout compte que vous la forciez à pratiquer une religion que manifestement, elle ne voulait pas pratiquer.
Firdaous. - Maedhira ?
Maxime. - Ça c'est un truc qui me fera toujours rire chez pas mal de familles, que ce soit chrétiennes, juives, musulmanes ou autres. C'est de toujours vouloir faire en sorte que sa progéniture suive la même dogme que eux. Je ne comprendrai jamais cela.
Firdaous, vexée. - Oh ! Comment osez vous !?

Firdaous se lève et quitte la pièce en laissant la porte ouverte.

Jane. - Vous n'y êtes pas allé avec une main légère.
Maxime, faisant son gamin. - Ils n'ont pas qu'à être susceptibles, nah !
Jane. - Vous pouvez vous comportez comme un gamin vous savez, elle se met à regarder par la fenêtre derrière elle, mais ces personnes sont des gens de pouvoir. Ils ont donc les moyens de vous faire payer le mépris qu'ils ont pour vous, voir vous faire taire.
Maxime. - Qu'ils essayent, il se lève, mais dans tous les cas, je n'ai pas dit mon dernier mot.

Maxime quitte la pièce à son tour.

Jane, soupirant. - On est pas sorti de l'auberge ! Elle s'étire les bras. Bon c'est pas tout ça mais moi j'ai de la paperasse à remplir.

Bruce entre dans la salle.

Bruce, nonchalamment. - Il y a 3 élèves qui sont en train de chier dans le couloir. Je fais quoi ? Car c'est pas interdit dans règlement.
Jane. - Oh bordel de... Elle se coupe elle même. Appelez les dératiseurs, ils sauront s'en occuper.
Bruce. - Mouais OK !

Bruce s'en va, Sylvester arrive.

Sylvester, regardant le sol. - J'ai encore tabassé un gamin avec mon balais...
Jane. - C'est le 5ème cette semaine !
Sylvester. - Désolé...
Jane. - Bon, si il est encore vivant, vous le jetez à l’hôpital du coin et vous prenez garde à ce que personne ne voit votre visage. Et si il est mort, vous prenez votre pelle et vous attendez ce soir pour l'enterrer sous le pommier sur le terrain de sport.
Sylvester. - D'accord.

Sylvester quitte la pièce à petit pas, Jackie y entre à grand pas.

Jackie. - Est ce que c'est vous qui avez "Troue moi le cul DSK !" Volume 6 ?
Jane. - Ah oui c'est vrai, elle sort le livre du troisième tiroir de son bureau, je l'avais gardé pour le lire avant de me coucher. Mais c'est bon je l'ai fini, elle le tend à Jackie, tenez prenez le.
Jackie. - Cool, il prend le bouquin, à plus !

Jackie y va, Eddie y vient.

Eddie. - Hey meuf...
Jane, saoulée. - Non ! Elle tape du poing sur la table. Ce n'est pas moi qui ait touché à vos instruments ! Vous n'aviez qu'à mieux les ranger !

Eddie repart mécontent. Jane pose sa tête sur sa main.

Jane. - Dur d'être proviseure...

Elle fait le soupir de fin.


Dernière édition par WAF le Dim 19 Juin - 8:44, édité 5 fois
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MessageSujet: Re: Paf le chien   Paf le chien - Page 10 Icon_minitimeSam 11 Juin - 9:31

POV ???

Les fines gouttes de pluies qui ne se faisaient pas encore trop présentes, glissaient le long de la chevelure du Machaon posé sur le rebord du toit de la Banque. Le papillon scrutait la ruelle entre ce bâtiment et la musée juste en face, guettant les quelques policiers entrain de faire leurs rondes.
Elle avait comme à son habitude son PSG-1, je n'avais jamais pu la voir l'exercer de mes propres yeux, du moins de mon vivant.
Elle ne se préoccupait pas tant de ça de ses cheveux orangés qui étaient maintenant complètements trempés, elle devait remplir sa mission. Il faut savoir au passage que tout comme moi, elle tient cette couleur là de notre mère qui était rousse, ma petite sœur les a par contre auburn, tirant à la fois de papa et de maman. J'espère qu'elle va bien aussi elle, qu'elle s'en sort pour ses études, ma petite Nina qui me manque.
Ma grande sœur était à son poste comme le voulait Gin, son but étant de surveiller de surveiller l'entrée arrière au cas où, tandis que son compère Korn s'occupe de l'entrée avant. Oui ma grande sœur, c'est celle que vous connaissez tous sous le surnom de Chianti
Une des plus grandes snipers des Corbeaux, et qui peut se montrer comme étant très antipathique, vulgaire, voir même violente. Et je ne parle pas du fait qu'elle a dû plaisir à faire ce qu'elle fait. C'est à dire tuer des gens.
Chacun ses défauts, mais contrairement à un dessin animé enfantin, tout n'est pas noir ou blanc. Et derrière cette carapace se cache une grande sœur aimante, qui ferait tout pour protéger ses amies et est il faut le dire très honnête. Si elle n'aime pas quelqu'un, elle le lui fera savoir.
Après je peux comprendre si vous la détestez, elle a un sens de la morale assez douteux, ce qui m'a valu bien des préjugés à mon encontre pour mon job. Mais je suis sur qu'un jour, elle fera le bon choix, qu'elle suivra ma voie, je l'espère...
Moi ?
Ah oui, vous devez vous demander qui est ce mystérieux personnage qui vous parle en ce moment même ?
Vous avez eu le droit à du Conan, du Haibara, du Akai et même du Sera, et voici que trois points d'interrogations viennent s'incruster dans ce récit. Ça vous fait cogiter n'est ce pas ?
Pour vous aider, suivons le cours de cette scène.
Chianti est donc allongée sur le rebord du toit, fusil à la main, avec un casque sur les oreilles pour empêcher le vriller ses tympans lors du tir.
Et elle attend, elle n'a que ça à faire. Attendre, en écouter le sifflement du vent qui est presque masqué par les obstacles sur ses oreilles. Elle compte aussi les gouttes de pluies qui passent devant sa lunette.
740 au total pour l'instant.
Elle peut aussi se rappeler des souvenirs d'une époque qui parait à la fois si éloignée et pourtant si proche en même temps. Une enfance heureuse, avec moi, avec sa petite protégée, avec nos défunts parents.
Et quand elle pense à tout ça, elle ne peut s'empêcher de sortir le pendentif en forme de cœur qui est dissimulé dans son tour de cou qu'elle porte habituellement. Elle l'ouvre ensuite pour observer les deux images s'y trouvant à l'intérieur. A gauche se trouvait l'amour de sa vie qu'elle a perdu à cause du plan de Vermouth, Calvados, et à droite sa famille, une photo datant d'il y a quinze ans. Ce jour là c'était elle qui prenait la photo c'est pour ça qu'elle n'y est pas, entre autre. C'est aussi parce qu'elle n'est pas très photogénique. Elle a horreur qu'on la prenne en photo ou qu'on la filme, ce qui convient bien avec son job actuel.
J'avais déjà à cette époque là ma petite frimousse rousse et mes yeux du démon comme on s'amusait à me les nommer dû à leur inexplicable couleur hors du commun.
Pour ceux qui ne m'auraient toujours pas reconnu malgré les indices gros comme un éléphant que je viens de vous distribuer, je vais me dévoiler.
Je m'appelle Philippe Renard, fils d'Hélène et de Kasai Renard, et mes sœurs sont Nina Renard pour la cadette et Emma Renard pour l’aînée.
On m'a connu sous le surnom de Brandy de l'époque de mon infiltration de 7 ans dans l'organisation. Mais aussi sous le pseudonyme de Rockyll au sein de la DGSE durant les missions pour évidemment ne pas dévoiler mon vrai nom.
Mais ce qui vous intéresse, c'est bien sur comment j'ai fais pour atterrir dans ce merdier ? Je vais vous répondre.
Tout a commencé en 2005, j'avais alors 18 ans, ce qui fait jeune on pourrait me dire au passage mais j'avais arrêté mes études à la fin du collège malgré le fait que j'étais très très bon en science et plus particulièrement en SVT. Et ça l'Agence le savait, hé oui, ils m'avaient dans le viseur dés cet instant là et on peut dire que je fus un candidat de choix.
Quand ils m'ont proposés un poste à temps plein et j'ai accepté pour ma patrie, et aussi dans l'espoir de retrouver ma sœur aînée qui avait disparu de la circulation quand j'avais 16 ans. J'espérais donc un jour que mon vœu soit exaucé, et ce fut ce jour là.
J'étais dans la "boite", entrain de revenir des toilettes quand un de mes collègues me tomba dessus et m'annonça que l'un de nos supérieurs hiérarchiques, Rhumaric, voulait me voir dans son bureau pour une mission à me confier, ma troisième. Les deux premières n'étaient pas vraiment passionnantes donc je vais taire celles ci.
Je m'y rendis sans attendre d'avantage, un petit coup à la porte et me voila dedans. Dans ce bureau sombre, les stores fermés, la lumière éteinte. Seul l'épaisse fumée émanant d'une cigarette se faisait voir. La bouche qui était entrain de la mâcher se mit à remuer.

"Tu peux t'asseoir."

En même, m'imaginer rester debout durant toute la conversation, ça aurait été très con. Je pris alors le siège qui s'offrait à moi et j'y posai mes délicates fesses dessus en prenant garde à ne pas écraser ma fidèle écharpe rose, un des rares souvenirs de ma mère qu'il me reste.
En place, le visage neutre, j'attendis la suite des paroles.
L'homme à la cigarette la retira de ses lèvres pour aller l'écraser sans vergogne sur le cendrier ancré sur le bureau.
La vraie conversation pouvait alors commencer.

"As tu déjà entendu parler de l'Organisation Noire ?
- Non jamais, lui assurais je calmement, c'est quoi ?
- C'est un gros problème qui se pose à nous depuis quelques temps de cela. Une mystérieuse organisation qui serait d'origine japonaise et dont on ne sait presque rien, même le nom c'est nous qui l'avons donné temporairement.
- Comment vous savez qu'elle existe si on en sait presque rien ?
- Grâce à des années et des années d'enquêtes sur de mystérieux accidents ayant eu lieu un peu partout au travers du monde. Ce fut finalement notre agent Mayance qui a parvenu à tout relié pour désigner un seul ennemi, cette organisation.
- Et qu'est ce qu'on sait d'eux ?
- Que comme la Pègre, ils traînent dans divers milieux du crime organisé. Assassinats, fraude, vol, braquage, contrefaçon, trafic d'être humains... La liste est longue.
- C'est donc juste des mafieux ?
- Non, pire que ça. La différence est qu'ils n'existent pas officiellement, et ils tiennent à rester dans l'ombre, abattant quiconque tenterait de les dévoiler au grand jour. Et d'après nos preuves, ils feraient ça depuis au moins un demi siècle, si ce n'est plus.
- Donc nous parlons bien d'une vieille organisation criminelle top secrète tel Spectre dans James bond ?
- Oui, et puissante, presque comme eux.
- Combien de personnes savent leur existence ?
- Ça, nous n'en savons rien malheureusement. Mais nous espérons que si nous sommes parvenu à faire de telles conclusions, d'autres l'auront fait aussi. Surtout que cette Organisation semble de faire de moins en moins discrète au niveau des "accidents". Peut être même que la police se doute de quelque chose, mais bon ne nous emballons pas.
- Et donc, vous voulez me confier une mission sur eux ?
- Parfaitement, tu seras notre agent d'infiltration, ou notre taupe plus vulgairement dans leur rang.
- Mais comment ?
- L'agent LetterHeart a réussi à parvenir à entrer en contact avec eux et nous leur avons envoyé un CV avec ta description officielle. Tu sais que tu es officiellement un brillant étudient du Lycée Bob-Lennon qui étudie pour devenir Animalier de laboratoire.
- Oui je le sais, c'est ce que je voulais être en plus, j'aime bien les animaux.
- Oui oui c'est bien c'est bien, bon je continue donc. Mais comme il nous faut être sur que tu ne te fasses pas choper, tu seras avant tout un agent dormant. Ce qui veut dire que dés ton arrivée à Tokyo, nous romprons tout contact avec toi jusqu'à nouvel ordre.
- Tokyo ?
- Oui, tu sais parlé couramment japonais, donc nous avons fait en sorte que tu d'infiltres directement dans leur zone mère. Un de leur sbires d'attendra là bas une fois arrivé, et pour le reste, que la chance te souris en attendant que l'on coupe le silence radio.
- D'accord.
- Maintenant tu devrais te dépêcher de partir, le prochain vol pour Tokyo est dans moins de deux heures, ton billet est sur ton bureau. Je te souhaite bon courage Rockyll.
- Merci Rhumaric."

Et c'est ainsi que je partis pour une nouvelle aventure qui me tendait les bras, sans vraiment savoir si ça allait réellement marcher. Après tout même si je suis très doué en science, j'ai jamais fait d'expérimentations de type lycée ou université. Je ne les ais vu que dans des livres, mais là il faudra que je sache les faire pour ne pas être démasqué.
Je sais, j'aurais peut être pu poser plus de questions pour en savoir plus, mais ce qu'il m'avait dit m'avait suffit. Même si après mures réflexions, je me demande comment ils ont fait pour prendre contact avec nos ennemis pour organisation le rendez vous.
Je ne le saurais sans doute jamais, j'aurais un peu de mal à poser des questions maintenant.
Partons donc pour le Japon, dans un vol qui fut pour moi très loin, car pour être honnête je redoutais ce qu'il m'attendait. J'avais même hésité à franchir la ligne en posant mon premier pied dans l'avion, mais maintenant que nous étions haut dans le ciel, mon chemin était engagé, je ne pouvais plus faire demi tour. Le stress était mon seul compagnon du trajet, avec aussi les ronflements du vieil homme à mes cotés, qui me rassuraient mine de rien.
Qu'est ce qui allait m'attendre une fois là bas ? Et si tout allait foirer par ma faute ? Ils allaient peut être sentir que je ne suis pas le parfais menteur, que je cache plus qu'une aiguille dans ma botte de foin. Ils me tortureront surement. A la Gégène car ce n'est pas drôle sinon.
Ou je serai peut être le Arsène Lupin des temps modernes, le Baron de la Nuit Français, me glissant entre les ailes du volatile pour parvenir à nos fins.
C'est pas le moment d'être pessimiste, moi qui suis d'ordinaire bourré de bonne humeur, près à aider le moindre dépressif à ma portée. Je devais réussir la mission qui m'était confié, en attendant le moment où on reprendra contact avec moi pour la suite des événements.
Me voila finalement, convaincu de moi même, entrain de déambuler dans le Terminal 1 bondé de l'Aéroport international de Tokyo-Haneda pour attendre la sortie. Sans forcément savoir où aller quand ce sera fait, mais une étape à la fois.
Heureusement pour ma pomme, un agent de sécurité de cette enceinte s'approcha de moi, l'air suspicieux, pour, il semblait, vouloir me parler. Il me posa une question une première fois mais comme je ne m'étais pas encore habituer à entendre parler japonais, ça faisait un petit moment que je m'y étais pas exercer, je lui fis signe de répéter. Il le fit, en étant encore plus douteux.

"Puis je vous fouiller juste au cas où car vous semblez trop content pour être honnête.
- Bien sur ! Répondis un peu faussement joyeux"

Il ne semblait pas manquer de toupet ce type, quel mal il y a t-il à être heureux ? Mais j'aurais dû le voir venir, même vous vous l'avez deviné, qu'il y avait quelque chose là dessous. Et en effet, durant la fouille au corps à corps qu'il me fit, il en profita pour me glisser quelques mots, en anglais, pour que je puisse un mieux le saisir. En français ça aurait été trop demandé, on s'en doute.

"Entrée B, Porsche 914 Noire"

Puis finalement il se mit à conclure en continuant à jouer le jeu que je n'avais rien de suspects, il s'excusa et me laissa pour aller disparaître dans la foule, me laissant juste assez de temps pour mémoriser son visage au cas où je viendrais à la recroiser ultérieurement.
Ce qu'il m'avait dit était on ne peut plus clair, je devais me rendre à l'entrée B pour ensuite chercher une vieille Porsche 914 Noire qui m’emmènerait surement dans un de leur repères, ce n'est qu'une supposition logique que je peux conclure.
Sans attendre midi à 14 heures, je me retrouvai quelques minutes plus tard à l'air libre, à l'entrée B. Il faisait beau temps ce matin là, un ciel bleu et un soleil qui ne tapait pas encore trop sur la peau. Mais je n'étais pas là pour traiter de la météo, je devais localiser la bonne voiture, ce qui n'était pas facile de prime abord, il y avait déjà pas mal de véhicule, dont des taxi, qui étaient là pour récupérer leur proche.
Il y avait aussi 3 gamins qui s'amusaient à effrayer les pigeons qui essayaient tant bien que mal à trouver un coin calme où se poser. Deux policiers, de la circulation à première vue, étaient entrain de patrouiller entre le voitures pour verbaliser ceux qui se trouvaient garer là où il ne fallait pas.
C'étaient un homme, la quarantaine je dirais, avec des cheveux noirs attachés en queue de cheval, il avait un visage très fin qui contrasté avec son corps robuste et musclé. La femme, tout juste la vingtaine, à vue d’œil, possédait de longs cheveux bruns raides et lisses et elle fort ravissante il faut dire.
Hormis eux, je pouvais aussi citer un vieil homme appuyé sur une canne que je soupçonnerais de cacher une lame, il criait des choses incompréhensibles sur tous les passants qui étaient proche de lui. Le tout en étant très gaie, ce qui sonnait bizarre à mes oreilles.
Un couple de touristes fut intriguer par cet énergumène qui sortait de l'ordinaire. C'étaient deux têtes blondes qui causaient en russe entre eux, mais impossible pour moi de déchiffrer cette langue, désolé.
La dernière personne à m'attirer l'attention, fut un sorte de mélange entre un bouledogue et un gorille, vêtu d'un costume noir. Il était adossé sur le coté droit de son véhicule, contre la portière avant, entrain de guetter les alentours, un peu comme ce que je faisais.
Ce devait être l'un d'eux, il en avait la carrure, le code vestimentaire et l'attitude. Mes soupçons furent confirmés comme je vis que sa bagnole était justement celle que je cherchais depuis tout à l'heure.
Je tenais le bon bout, je décidai enfin de bouger mes jambes pour aller le voir, et il ne fut pas étonné de me voir débouler, il m'avait surement remarqué bien avant que je ne le remarque.
La pression impression qu'il montra à mon encontre, c'est un manque flagrant de courtoisie, il se contenta juste d'un geste de la tête pour me dire de monter pendant qu'il contourne pour aller prendre le volant.
J'allais lui obéir quand un petit contretemps vint s'intercaler entre nous deux, aucun de nous deux ne semblait l'avoir vu venir ,à en juger par sa surprise en voyant cette jolie fliquette de tout à l'heure débouler en mode grognon, prête à nous faire la morale.

"Hé vous là ! Commença t'elle en rouspétant. Vous n'avez pas le droit de vous garer ici !
- C'était juste l'espace de 5 minutes, se contenta de répondre l'homme en noir, pour chercher mon ami ici présent.
- Ça je m'en fous ! Interdit c'est interdit, et il n'y pas de 5 minutes qui tiennent ! Je...
- Miyamoto-junsa-chō ! Interpella une autre voix qui se rapprochait."

C'était son collègue que j'avais aussi remarqué tout à l'heure.
Il semblait un peu gêné par l'intervention de sa collègue, mais surtout il semblait étrangement connaitre mon "ami".

"Désolé mon pote, s'excusa t-il, elle est mon autorité, je peux pas toujours la contrôler.
- Ce n'est rien, répondit le bouledogue, mais pense à tenir ton chien en laisse la prochaine fois.
- Ouais je sais, bon toi tu tiens avec moi et tu suis mes ordres !
- Ouais ouais ouais ! Grinça faussement la belle flic. Mais ne vous avisez pas de me traiter à nouveau comme une chienne sinon je demanderai à Miwako de vous foutre une raclée !"

Sur ces mots, elle tourna des talons pour aller rejoindre leur véhicule de patrouille. Son collègue fit de même, mais avant cela, il nous lança un regard, à moi et le gorille, un regard mauvais mais pas haineux.
Ouais, aucun doute là dessus, il est de mèche avec cette organisation.
Je m'inquiète pour cette Miyamoto, elle semble avoir fort caractère, qui c'est ce qui pourrait lui arriver si elle venait encore à se mettre sur le chemin de ces hommes de l'ombre. J'aimerais juste pouvoir la recroiser pour avoir une petite discutions en tête à tête, et puis je suis célibataire après tout.
Ce n'est pas parce que je suis en mission, que je ne peux pas continuer ma vie privée, même si c'est un risque à rajouter en plus, mais ça je verrai après.
Pour l'instant, je mettais contenter de monter dans la Porsche, coté passager tandis que type dont je ne savais toujours rien prit le volant et commença à conduire à travers Tokyo sans dire un seul mot.
Je voyais les pancartes défiler, en même temps que les passants, mais le vide sonore que représentait l'intérieur de la 914 était toujours présent, dû moins jusqu'à la moitié du voyage. Il se décida enfin à desserrer la mâchoire pour y laisser échapper des mots, une phrase même, en anglais de plus.

"Vodka, c'est mon code dans l'organisation. Seuls les personnes d'un certain grade peuvent se voir obtenir un nom d'alcool.
- D'accord, enchanté de vous connaitre.
- Hmpf, ricana t-il, tu peux déjà m'oublier tu sais, on se verra pas souvent. Comme mon "grand frère", Gin, je suis chargé de la surveillance générale de l’organisation. Nous ne sommes à peine qu'une vingtaine à occuper le poste, et seul Aniki connait la véritable identité du Boss, c'est un privilège.
- OK, bon bah merci du renseignement. Inutile de vous dire pourquoi je suis là, vous le savez déjà si avez bien lu mon "CV".
- Ouais, c'est moi qui ait été chargé de le lire. Et franchement tu n'es pas le premier jeune génie égaré à finir entre nos rangs. Tu es cependant l'un des plus jeunes, mais le record pourrait être dépassé par une de nos espérances qui étudie en ce moment même aux Etats Unis."

Je vous l'accorde, il était bien plus bavard maintenant. Et il semblait s'ouvrir à moi plutôt facilement, montrant un coté sympa qui n'allait pas vraiment avec sa gueule.

"Je vois que votre réputation d'être les maîtres de l'ombre semble se confirmer, lui fais je remarquer, vous êtes partout.
- Tu marques un point le bleu, nous sommes tapis dans l'ombre, nous avons des agents dans de très nombreux postes. Là tu as pu en voir deux, un qui bosse à la sécurité de l'aéroport, et Grogue qui est inspecteur de police chargé du Trafic Routier. C'est un vieil ami à moi, mais tu n'as pas besoin d'en savoir plus.
- Merci pour cette discutions, ça m'a permis de déstresser un peu.
- Pour ça, tu as eu de la chance que ce soit moi. Avec Gin, tu sortirais surement du véhicule encore plus apeuré quand y entrant.
- Sympa, ce "grand frère"."

Il se marra encore un petit peu avant de reprendre son sérieux pour le reste de la route, qui ne dura que très peu de temps. Nous arrivâmes au bout du compte devant un grand bâtiment appartenant à une entreprise du nom de "Shinobi Corporation" qui n'avait pour but que de servir de façade aux agissement des Corbeaux. Juste devant l'entrée se trouvait un parking d'assez grand taille, mon chauffeur prit une place de la libre puis coupa le moteur.
Je vais passer un peu plus rapidement sur le reste de la journée. Il me fit une brève visite de l'endroit, et me montra le labo où je bosserai avec d'autres sans pseudo à partir de maintenant. Il me briefa aussi un peu sur grosso modo le but de la boite, puis s'en alla en me disant que si j'avais d'éventuels questions, je devrais aller voir mon chef de service.
Ceci fait, ce dernier me fit savoir que nous scientifiques que nous sommes, nous ne faisons très peu de taches glauques si je puis dire. On fait des trucs illégaux, qu'on synthétiser de la drogue, ou pour mon domaine, tester des produits sur des animaux de laboratoire, des trucs comme ça. Quand parle des trucs glauques, c'est des tests sur des êtres humains, ou créer des produits très dangereux. Ça c'est plutôt réserver à ceux qui ont un blaze.
Et mon but serait dans avoir un justement, pour pouvoir me rapprocher du Boss qu’ils appellent communément Anokata, et donc de pouvoir réunir des preuves pour pouvoir les faire tomber ensuite.
Je pouvais essayer aussi de trouver de possibles autres taupes dans cette fourmilière, je me doutais que nous étions loin d'être les premiers à connaître cette organisation, et donc évidemment nous n'étions surement pas les premiers a avoir envoyé un renard dans le poulailler.
Je miserais sur les Américains qui veulent souvent montrer qu'ils sont les plus fort, ou les Russes qui ont tendances à être un peu partout eux aussi.
Mine de rien, deux ans s'écoulèrent, et je ne les vis pas tant passer que ça, ce fut même plutôt rapide, et mon boulot se passait bien, je me faisais même bien voir par mes collègues et mes supérieurs. Le début d'une longue escalade pour arriver au sommet de l'échelle.
Et pourtant, il y avait quelque que je n'avais pas eu la chance de croiser depuis que je bossez chez eux en filature, c'est ma grand sœur. Malgré le fait qu'on me parlait souvent d'elle car oui, ils ne sont pas aveugles, ils ont fait très vite le rapprochement entre moi et elle. Et ça en faisait rire certains de voir la différence de parcours qu'il y avait entre moi et elle. Elle qui se faisait nommer Chiant était l'une des meilleurs tireuses d'élites que les Corbeaux n'aient jamais connu. Alors que moi j'étais peut être l'un des meilleurs scientifiques qui connaîtront, un jour.
Ils devaient aussi lui parler de moi, et je n'ose imaginer la tête qu'elle a fait quand elle l'a appris, elle qui est si protectrice de sa famille. Savoir que je suis arrivé dans cet endroit malfamé à dû lui faire un choc, et je me doutais que le jour viendrait où elle allait me passer le bonjour. Ce que je ne me doutais pas, c'est qu'elle ne fut pas la seule personne que je revis ce jour là.



Parmi ce petite groupe de personne, se trouvait Brandy, un autre génie mais de 25 ans. On nous surnommait Sherry-Brandy pour montré à quel point nous nous étions rapproché.
Ce que je savais de lui, c'est qu'il était dans l'organisation depuis 7 ans, et qu'il avait vite monté pour arriver aussi haut à l'intérieur. Sa mère était une chirurgienne française et son père un architecte japonais, les deux sont morts quand il était enfant, il a été élevé par ses grands parents.
Il ne m'a néanmoins jamais dit comment exactement il a été mêlé aux Hommes en Noirs, mais au moins on s'appréciait. On s'était donc connu quelques jours après mon retour, lors d'une pause café. On avait des goûts similaires, il était en revanche plus bavard et drôle que moi, et il essayait de me faire sourire car lui non plus ça n'avait pas l'air de l'enchanter de bosser ici, mais il n'avait pas le choix d'après ses dires.
Ses yeux anormalement jaunes-orangés et ses cheveux roux en bataille lui donnaient un look inédit, comme moi. Il était aussi un peu efféminé et il portait des boucles d'oreilles ainsi qu'une longue écharpe rose autour du cou, le reste de ses vêtements était en général noir ou violet.
Je vais être honnête avec vous, j'avais développé des sentiments pour lui, et je crois que c'était réciproque, je n'en avais été jamais vraiment sur, avant ce jour.
Ce jour où il est mort, le 16 Avril 2013 donc.
C'était comme notre première rencontre, j'étais tranquillement assise à une table à la cafet, seule, entrain de boire du Café Touba, le dernier a être arrivé chez nous, et j'y avais immédiatement accroché. Adieu Café Viennois, tu me manqueras tant !


Dernière édition par WAF le Jeu 16 Juin - 19:27, édité 6 fois
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MessageSujet: Re: Paf le chien   Paf le chien - Page 10 Icon_minitimeMar 14 Juin - 9:23

J'étais sur le palier, devant la porte d'entrée de notre demeure. Il était temps de l'ouvrir pour savoir qui se cachait derrière.
J'eus la surprise de découvrir un justicier masqué attendant comme un con sous son costume rouge s’appariant au Diable alors qu'il faisait 35 degrés aujourd'hui. Il devait crever de chaud le pauvre, mais il masquait son inconfort en arborant des lèvres sévères envers moi.
Je savais pourquoi il était là, mais il me le rappela quand même.

Daredevil : La clé USB, est ce que vous l'avez toujours ?

Moi : Oui...

Il était préférable de ne pas mentir, surtout qu'il n'allait pas me lâcher, même si je lui mentais.

Daredevil : Où est elle ?

C'était une bonne question, où est ce que j'avais bien pu la cacher ?
A vous de choisir !
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MessageSujet: Acte I, scène 3   Paf le chien - Page 10 Icon_minitimeSam 25 Juin - 15:01

Acte I, scène 3

Angeline, Félix, Prof Physique, Prof Maths, Maxime, Léa, Honoka, Geisha 1, Geisha 2, Bruce, Nozomu Itoshiki, Sylvester

Angeline s'approche du Prof de Physique et du Prof de Maths qui discutent ensemble, Félix est quand à lui en retrait de la conversation.

Angeline. - Bonjour bonjour.
Prof Physique, avalant son café. - Ah, tu es la nouvelle professeure c'est ça ?
Prof Maths, jouant avec sa mèche. - Ouais je crois que c'est elle, mais son visage me dit quelque chose.
Prof Physique. - Maintenant que tu le dis, Je crois l'avoir déjà vu quelque part, mais où ?
Prof Maths. - Bonne question !
Angeline, croisant les bras. - Si vous pouviez arrêter de parler comme si je n'étais pas là, ce serait un peu plus sympa, merci.

Maxime entre dans la pièce en saluant de la main ses collègues avant de se prendre un Ice Tea.

Félix, à voix basse. - Angeline O'Dell.
Angeline, l'entendant. - Oui, elle décroise les bras et s'approche un peu plus de Félix, vous ne seriez pas.
Félix. - TES2, vous étiez mon élève en 2011, vous avez grandi.
Angeline, tapant dans sa main. - Mais oui, Mr Gauchard, mon prof de français, c'est sympa de vous revoir. Elle lui tend la main. Nous serons collègue à présent.
Félix. - D'accord, il lui serre la main, un plaisir de vous revoir.
Prof Physique, prenant une voix comique. - Oh mais regardez les, il fait des jeux avec sa bouche, ils sont trop mignons !
Prof Maths, jouant la même jeu. - Ouais t'as raison, laissons les ensemble ! A plus les amoureux !

Les deux profs quittent la salle. Félix reste de marbre alors que Angeline est un peu plus désabusée par leur comportement.

Angeline. - Et après on me dit que me comporte comme une gamine. C'est mon coté espiègle qui veut ça.
Félix. - Il sont toujours comme ça.
Angeline. - Ah bon ?
Maxime. - Ouais !

Maxime se met entre les deux avec son verre tout en alternant du regard les deux personnages.

Maxime. - L'année dernière ils ont même fait sauter le coffre fort de la principale !
Angeline. - Sérieux ?
Maxime. - Oui, et après ne guise de punition, ils ont passé 3 mois au goulag en Sibérie.
Angeline, mimant le froid. - Ils ont dû se les geler là-bas.
Maxime. - En même, ils le cherchent parfois, les farces, ça va 5 minutes.
Angeline. - Je sais, j'en suis une experte.
Maxime. - Je veux bien voir ça. Il tend sa main vers elle. Au fait, je ne me suis pas présenté, je m'appelle Maxime Moulin, je suis en charge des élèves de terminal de cinéma audiovisuel option lourde.
Angeline, lui serrant la main. - Angeline O'Dell en charge del a 1L1. Arrêtant le serrage. On m'a brièvement parlé de vous, certains de mes élèves vous ont.
Maxime. - Je sais, il tourne sa tête vers Félix, et les autres viennent de chez Félix.

Félix approuve de la tête, les salut furtivement de la main gauche puis sort de la pièce. Angeline est un circonspect par cela.

Angeline. - On a dit quelque chose qu'il ne fallait pas ?
Maxime. - Non ce n'est rien, c'est juste qu'il a dû mal avec les relations sociales quand il n'est en mode professeur.
Angeline. Je ne l'avais jamais vu de cette façon là, c'est sur.
Maxime. - Il était aussi comme ça avec moi au début, j'avais même cru qu'il était amoureux de moi, mais ce n'était pas le cas.
Angeline, faisant oui de la tête. D'accord... Elle reprend un ton plus jovial. Et sinon je peux vous tutoyer ?
Maxime, en rigolant. - Bien sur !
Angeline. - Tu travailles depuis combien de temps ici ?
Maxime, finissant son verre. - C'est ma deuxième année ici, j'ai donc commencé mon travail  à l'age de 18 ans
Angeline. - Ah bah tiens, moi aussi j'ai 18 ans et c'est en plus ma première année ici. Tu ne serais pas mon jumeau caché ? Elle colle son visage contre celui de Maxime et commence à frotter délicatement son nez contre le sien. Hein ?
Maxime. - Je ne crois pas, il repousse calmement le visage d'Angeline avec son index droit, mais qui c'est ? D'ailleurs, comment tu as fais pour arriver aussi tôt en tant que professeur de lycée général ?
Angeline. - Hé bien je suis plus intelligente que j'en ai l'air, je suis même un génie comme ils m’appellent. J'ai fini le lycée à l'age de 13 ans puis j'ai fais un master de 5 ans obligatoire, mais j'avais pu, j'aurais fini en 3 ans car j'apprenais rapidement leurs notions.
Maxime, très intéressé par son histoire. - Tu en as de la chance d'être aussi intelligente.
Angeline, baissant un peu les yeux. - Crois moi, ce n'est pas si facile que ça, je peux te le dire. Elle les relève avec le sourire. Et toi, quel est ton parcours Maxime ?
Maxime. - Oh moi c'est très simple. J'ai trouvé mon job dans un Kinder Surprise, alors je l'ai pris, et puis me voila !
Angeline. - OKayyyy...

Les deux se taisent. Léa arrive et toque à la porte avant d'entrer sans attendre la permission et de courir vers Angeline, l'embrasser brièvement puis sauter dans les bras de son prof favori.

Léa, en criant joyeusement. - Professeur ! Vous êtes content de me voir !?
Maxime, perdu dans le regard de l'élève. - Oui, mais tu sais qu'on se voit après demain ?
Léa. - Oui je sais, mais je n'en pouvais plus d'attendre !
Angeline, s’essuyant la bouche. - C'est une tradition familiale ? Elle parait perdue dans ses pensées. Et est ce que tu as un grand frère au cas où ?
Léa, en regardant Max dans les yeux. - Non... Elle baisse ses yeux et le timbre de sa voix. Il est mort quand j'avais 2 ans, comme ma mère, mon père, mes deux tantes du coté de mon père, celle du coté de ma mère, toute ma famille en fait. Elle rit jaune. Je suis la seule survivante de ma famille, la dernière Barloin, que personne n'a jamais voulu adopter. Si je suis là aujourd'hui, c'est grâce à mes propres moyens. Je bosse au noir le soir pour la ned... la nra... la mafia calabraise, je dois dealer de la coke pour eux.

Elle se tait. Angeline et Maxime sont extrêmement touché et ému par son discours.

Angeline, avec une boule à la gorge. - Moi qui me plaignait d'avoir une enfance pourrie, on trouve toujours pire.
Maxime, cherchant les bons mots. Je... Comment dire ? Il les trouve. Je serai là pour t'aider désormais, et ce n'est pas à cette ndrabidulechouette de te faire bosser, tu dois arrêter de les fréquenter.
Léa, ayant les yeux qui brillent. - Tu es mon héros, Professeur Maxiou !

Elle l'embrassa fougueusement, Maxime tente se résister mais abandonne rapidement. Angeline les regard, un peu jalouse de la situation.

Angeline, tout bas à elle même. - Je suis sur que si je faisais la même chose, il me rejetterait. Elle regarde les vêtement de Léa avec attention. C'est son style vestimentaire qui la rend si adorable à t-elle point qu'on n'ait pas envie de lui faire du mal ? Elle secoue nerveusement la tête de droite à gauche. J'y crois pas, je deviens jalouse d'une élève qui embrasse un professeur que je viens à peine de rencontrer et qui a obtenu ce job par pur hasard et sans formation. Elle arrête de bouger sa tête. Maintenant que j'y pense, cette situation est complètement absurde.

Bruce arrive avec Honoka et deux geishas, il toqua à la porte et les 3 femmes entrent.

Bruce : Hey, elles viennent pour vous voir, professeur "Je profite de mon statut pour m'envoyer en l'air avec mes plus belles élèves". Il fait un clin d’œil à Maxime. Je vous laisse entre vous !

Il s'en va et Honoka s'approche de Maxime en regardant à la fois Léa et Angeline avec des airs de tentatrice tandis que les deux geishas restent près de l'entrée.

Honoka. - Excusez moi mais j'aurais besoin de parler en privée avec Monsieur Moulin s'il vous plait.
Léa, arrêtant le baiser. - Jamais, elle est furieuse, je sais que vous la mère de ma meilleure amie mais je sais aussi que vous trempez dans des affaires louches !
Angeline. - Normalement, je devrais m'insurger sur la façon dont elle parle à la mère de sa meilleure amie, mais c'est vrai que voir 3 geishas débarquer comme ça, c'est pas très catholique.
Honoka. - Demandons l'avis du concerné. Elle fait un mouvement de la tête vers Maxime. Est ce que je peux entretenir avec vous, seul à seul ?
Maxime, se doutant de l'enjeu. - Oui. Il voit Léa et Angeline qui sont surprise par sa réponse. Il vaut mieux pour vous deux que vous restiez en dehors de cette histoire, pour votre sécurité. Il les voit maintenant un peu déçu et triste, il prend donc un sourire qui se veut rassurant. Mais ne vous en faites pas, tout se passera bien. N'est pas madame... ?
Honoka. - Honoka Chimamireno. Et oui, tout se passera bien, je vous le jure.
Angeline, moyennement convaincu. OoooK.
Léa, relâchant Maxime. - Si elle tente quoi que ce soit, tu m'appelles d'accord ? Je viendrai te secourir la vie, Professeur Maxiou.
Maxime. - D'accord, c'est promis.

Léa et Angeline quittent la pièce. Honoka fit signe de la tête à ses deux geishas de sortir aussi, ce qu'elles font n fermant la porte au passage.

Maxime, avec sa voix grave. - Vous êtes donc la fameuse Geisha Infernale, dirigeante des Geishas Flamboyantes, un groupe de femmes japonaises mercenaires qui s'habillent en geisha pour aller exécuter les missions qu'on leur demande de faire.
Honoka. - Je vois que ma réputation me précède.
Maxime. - Si vous ne m'avez pas encore tué, c'est que vous n'êtes là que pour me faire passer un message, mais il est étonnant que vous ne m'ayez pas encore défoncer la gueule. En général personne n'engagerait des mercenaires juste pour faire de la parlote.
Honoka, charmée par les propos de Maxime. - Vous êtes malin Maxime. Elle s'avance vers lui pour être près de son visage. En effet, on m'avait donné pour consigne de vous amocher un peu, mais il n'en sera pas nécessaire. En plus ma fille vous aime bien, malgré qu'elle ne vous ait vu qu'une fois. Et maintenant je la comprends. Vous êtes un spécimen intéressant. Elle l'embrasse à son tour pendant quelques secondes puis reprend son souffle. Avez vous aimez ?
Maxime, prenant son ton sarcastique. Si seulement on pouvait me faire passer plus souvent des messages comme cela.
Honoka. - Vous êtes déjà plutôt chanceux, pas au point d'en rendre jaloux James bond, mais plus que la moyenne.
Maxime. - Qui vous envoie ?
Honoka. - Les Alkulbat, ils tiennent à vous faire savoir qu'ils ont la ville sous leur contrôle, et qu'ils n'ont pas aimé le manque de respect que vous avez commis. Ils vous conseillent d'arrêter de jouer avec le feu, car vous finirez par vous brûlez.
Maxime. - Hé bien qu'ils aillent se faire voir, ils peuvent m'envoyer un tueur à gage si ils veulent. Mais franchement en sachant ce qu'ils me reprochent, ce serait assez abusé quand même.
Honoka. - C'est pas moi qui dicte les règles.
Maxime. - Vous leur transmettrez le message.
Honoka. - Bien sur, mais juste une dernière chose. Ils m'ont aussi demandé de vous signaler que vous êtes déjà dans le collimateur de plusieurs de leurs amies, et que pour certains d'entre eux, voir votre tête sur un pique serait plutôt cool.
Maxime. - Ont ils cité un nom en particulier ?
Honoka. - Oui un seul, Dakchyeo Manghalnom.

Maxime recula de trois pas, horrifié par la mention de ce nom. Cependant il se ressaisit vite et tente de paraître calme en vain.

Maxime. - C'est tout ?
Honoka. - C'est tout.
Maxime. - Bon, au revoir.
Honoka. - Sayōnara !

Elle fait le salut traditionnel et quitte la pièce. Angeline et Léa entrent dans la pièce et remarquent Maxime qui essaye de masque sa peur, elles sont inquiètes pour lui.

Angeline. - Si elle t'a fait quelque chose, tu nous le dis, et je préviens madame Foster.
Léa, furax. - Et je la tue !
Angeline, calmement. - Oui, mais non, on va éviter pour l'instant.
Maxime, souriant faussement. - Non mais c'est bon, tout va bien, faut pas s'en faire pour moi.
Angeline, croisant à nouveau les bras. - N'essaye pas de me baratiner, personne n'y arrive jamais.
Léa, se grattant le menton. - Est ce que Ai m'en voudra si je fais bouffer les cheveux de sa mère à cette dernière ?

Nozomu Itoshiki déboule dans la pièce en courant puis il fait quelques poses visage avant de prendre la parole.

Nozomu Itoshiki, inquiet. - Je suis au désespoir !

Il fonce puis saute à travers l'une des fenêtres de la pièce. Sylvester arrive juste après.

Sylvester, pas content. - C'est encore bibi qui va devoir réparer la fenêtre, il tape du pied, fais chier !

Il quitte la pièce, les trois autres personnages restent incrédules.
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MessageSujet: Acte I, scène 4   Paf le chien - Page 10 Icon_minitimeLun 27 Juin - 14:16

Acte I, scène 4

Maxime, Cyril, Katherina, Ai, Romeo, Kabira, Brandon, Léa, Dario, Chloé, Nǚhái, Donald Trump, Timofey, Bruce

La sonnerie retentit, Maxime est déjà assis sur son bureau avec Léa sur les jambes, il fait signe aux élèves de s'asseoir ce qu'ils font. Donald Trump est dans le fond de la classe, collé contre le mur.

Maxime, d'un air enjoué. - Allez aujourd'hui, je vais tenter de dire vos noms d'une traite pour l'appel ! Vous êtes près !?
Cyril, jouant avec sa gomme. - Vous faites ce que vous voulez professeur.
Ai, avec un visage angélique. - Laissez le gentil professeur parler.
Léa. - Tu as raison Ai ! Elle fait un smack en direction de cette dernière. Faut laisser le Professeur Maxiou lire la liste !
Maxime. - Merci Léa. Il se racle la gorge. Aluklublat Kabira !
Kabira, vexée. - Mais apprenez à lire espèce de demeuré !
Léa, s'énervant à son tour. - Tu ne parles pas comme ça au Prof Maxiou !
Kabira, imitant Léa. - Oh Prof Maxiou vous êtes trop beau, faites moi l'amour !
Romeo. - Franchement, ça rendrait le cours plus dynamique !
Léa. - Prof Maxiou...
Kabira. - Prof Maxiou, Prof Maxiou, Prof Maxiou... Elle se lève de sa chaise. T'as que ce mot là à la bouche ou quoi !?
Dario. - Ça fait deux mots.
Kabira. - Ta Gueule toi !
Brandon. - Elle a raison, t'es vraiment chelou à agir de la sorte !
Léa, quittant les genoux de son chéri. - Vous pouvez parler, vous n'avez jamais vécu ce que j'ai vécu !
Kabira, faisant la maline. - Ah parce que tu te crois mieux que nous ? Elle croise les bras. Que moi ?
Cyril. - C'est elle qui dit ça.
Léa. - Parfaitement !
Kabira. - Tout le monde sait que je suis la meilleure de la classe !
Donald Trump. - Ces Arabes, à toujours se croient supérieurs à nous !
Cyril. - Qu'est ce qu'il fout là lui ?
Dario. - Pour une fois, j'en ai aucune idée.
Kabira. - C'est cool qu'on est monsieur le raciste avec nous pour une fois !
Donald Trump. - Je ne suis pas raciste ! Il commence à faire une danse louche. Je suis clairvoyant !
Cyril. - On dirait qu'il est bourré quand il parle.
Brandon. - Ah ouais c'est vrai !
Kabira. - Plus raciste que vous il n'y pas !
Donald Trump : Bon alors écoute moi bien Safira, quand je serrai Président of The United States, je vais vous bombarder la gueule !
Kabira. - Fais ce que tu veux, c'est mes parents qui morfleront, et je m'en fiche d'eux !
Donald Trump. - C'est ce qu'on va voir ma petite !
Katherina. - Ils peuvent pas se taire 5 minutes ces deux guignols ?
Kabira. - Qu'est ce que tu...
Maxime. - FERMEZ VOS PUTAINS DE GUEULES !!!

Maxime balance l'ordi par la fenêtre tandis que tout le monde sauf Nǚhái, Kabira et Donald Trump prend peur en le voyant aussi énervé.

Maxime. - Bon bah on va dire que tout le monde est présent !
Dario, levant le doigt. - C'est faux, il manque le jui...
Maxime, le coupant net. - On va dire qu'il est là !
Kabira. - Bonjour la gueule du prof qui met ses élèves absent présents.
Maxime. - Oh m'énerve pas toi là bas !

Kabira ricane en douce, Maxime fait alors signe à Donald Trump de venir devant pour pouvoir commencer le cours correctement. Léa s'asseoir sur le bureau du prof.

Maxime, reprenant son calme très rapidement. - Bon mes élèves, il se tourne vers Donald, aujourd'hui j'ai fait venir un invité exceptionnel pour le cours d'aujourd'hui qui portera sur le Cinéma Raciste, ce fameux courant de la Seconde Guerre Mondiale. Il tend la main vers Trump. Bonjour Donald;
Donald Trump, lui serrant la main. - Bonjour à vous, c'est un plaisir de voir un cours des mangeurs de cuisses de grenouilles pour voir s'ils sont vraiment bleu blanc et rouge, hé hé hé !
Maxime. - Okaaaaaaayyyy.... Il se tourne vers Cyril qui lève le doigt. Oui Bernard ?
Cyril. - C'est Cyril.
Maxime. - Cyril, Bernard, c'est presque pareil. Il tousse un coup. Bon que veux tu dire ?
Cyril. - Tout ceci est une caméra cachée c'est ça ?
Maxime. - Hein ?
Cyril, cherchant la cam du coin de l’œil. - Ça expliquerait tout !
Romeo. - En route pour l'Aventure !
Donald Trump. - Vos élèves me semblent un peu cons.
Maxime, à voix basse. - C'est vous qui dites ça.
Donald Trump. - Qu'est ce que vous disiez ?
Maxime, à voix haute. - Je disais que si eux sont idiots, vous êtes alors le Roi des Crétins !
Donald Trump. - Je ne vous permet pas !
Maxime, à voix haute. - Moi, ce qui me fait surtout peur, c'est le nombre d'imbéciles qui vous suivent dans vos conneries.
Donald Trump. - Monsieur est François donc il se croit tout permis, mais j'ai les moyens de vous faire taire vous savez !?
Maxime, pointa la sortie de la main. - Bah allez y pour voir, je vous attends ici !
Donald Trump. - Bien.

Trump se dirige calmement vers la sortie et quitta la pièce en fermant la porte derrière lui. Maxime soupira tandis que Léa pose sa main sur son épaule  de façon compréhensive.

Léa. - Tu tiens le coup ?
Maxime. - Merci Léa, mais ça va, j'aurais jamais dû l'inviter, j'aurais dû savoir que ça partirait en couille.
Romeo, fier. - Au moins on se sera marré !
Cyril, rigolant faiblement comme un naze. - A se demander comment il a fait pour ne pas mourir d'une infection dû aux races étrangères.
Brandon, se poilant comme un demeuré. - Ah elle est bonne celle là !
Kabira. - Je dois avouer que vous êtes remonté dans mon estime Professeur en chassant cette gueule de singe constipé hors de cette salle d'éducation, ce que visiblement il n'a jamais eu.
Dario. - Hé bien je ne peux que constater que ça clash, mais je dois avouer que je suis de votre coté pour une fois.
Ai, innocemment. - Pouvez vous continuez le cours s'il vous plait Monsieur Moulin ?
Maxime. - Bien, si évidemment personne ne me...

Max entend quelqu'un toquer à la porte, ça l'agace.

Maxime. - Entrez !

La porte s'ouvre et Timofey entre armé d'un Beretta muni d'un silencieux et il braqua Max avec, Léa se met entre les deux pour protéger son bien aimé.

Léa, avec un regard sévère. - N'approchez pas !
Maxime. - Hé bien Trump fut rapide pour m'envoyer un tueur à gage.
Timofey. - Ce n'est pas Trump qui m'envoie.
Maxime. - Qui alors ?
Timofey. - C'est...
Katherina, surprise et irritée, renversant sa table. - Nа́па ! Je t'avais déjà dit de ne pas venir m'embêter avec ton métier, j'en ais marre que tu tues mes professeurs !

Timofey regard en direction de sa fille, un peu gêné, tandis que les autres sont tous surpris.

Léa. - C'est ton père !?
Katherina, calmement. - Oui.
Maxime. - Et il en a déjà tué d'autres comme moi !?
Katherina. - Oui, mon prof de SVT en 6ème, celui de sport en 4ème, ma conseillère d'orientation l'année dernière...
Timofey, se grattant la tête avec sa main vide. - C'est bon ma puce, tu ne vas pas tous et toutes les citer n'est ce pas ?
Maxime. - Ça explique le mystérieux accident de chaises musicales de Madame Troufeuilles.
Timofey. - Laisse moi faire et ferme les yeux pour éviter de voir ce sale spectacle.
Romeo, à lui même à voix haute. - Comment vais je désarmer ce gredin !?
Katherina. - Ah non ! Elle s'approche de lui. Cette fois ci c'est toi qui m'écoute !
Romeo. - Dommage que je n'ai pas emmené mon fusil-hache !
Katherina. - Tu vas ranger ton arme et te barrer d’ici avant de je ne sois obliger de t’explorer la tronche !
Kabira. - Bien dit !
Timofey, flippant grave. - Mais tu sais bien mon ange que je ne peux point manquer à mon contrat...
Dario. - On ne peut pas juste reprendre le cours normalement non ?

Bruce entre soudainement dans la pièce en sifflotant et s'arrête net en constatant ce qui se passe.

Timofey, cherchant une excuse en vain. - Je cherchais juste les toilettes et... Remarque qu'il tient toujours l'arme. Ah et j'ai trouvé ça, je ne sais pas ce que ça foutait là !?
Bruce, approuvant de la tête. - Oui tout à fait, tu me prends vraiment pour un con ?

Bruce frappe Timofey et lui pique son arme en deux secondes, ce qui surprend tout le monde.

Katherina. - Tout ça pour ça !
Timofey. - Bah c'est Bruce Willis !
Bruce, fier de lui. - Yippee-ki-yay, motherfucker !

Il tire et touche Maxime dans le ventre, ce dernier tombe sur le sol et Léa se précipite sur lui.

Léa. - Prof Maxiou !
Maxime, crachant du sang. - Putain, je l'avais pas vu venir celle là...

Bruce Willis pose l'arme sur une des tables et quitte la salle en compagnie de Timofey en sifflotant de plus belle.

Ai, apeuré. - Il faut appeler la police !
Léa. - Et une ambulance !
Cyril. - Je m'en occupe tout de suite ! Il compose le 911. Allez dépêchez vous !
Maxime. - Je commence à voir flou..
Léa. - Non Maxiou, reste avec moi !
Cyril. - Comment le numéro que vous avez composé ne marche pas de votre pays !?
Kabira. - Qu'est ce que tu fous encore crétin !?
Maxime. - Angeline, Léa, je vous aime...
Léa. - MAXIOU !!!

Max perd connaissance.


Dernière édition par WAF le Jeu 21 Juil - 16:11, édité 7 fois
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MessageSujet: Re: Paf le chien   Paf le chien - Page 10 Icon_minitimeDim 3 Juil - 0:00

La jeune femme prénommée Shiho avait un peu rembobiné la bande et était entrain de sortir du village quand Gin l’interpelle sauvagement en la saluant après avoir bondi sur elle du haut du toit.
Elle fait un gros fuck en son honneur, et lui, il lui prend son livre.

Shiho : Bon putain, tu me rends mon livre Gin !

Gin : Mais comment tu peux lire ça, il n'y a même pas d'images !

Shiho : C'est normal, ces connards de moutons ont mangé toutes les images avant... Gin, quelque chose n'a pas changé chez toi ?

Gin se gratte la laine en broutant un peu d'herbe.

Shiho : Méééééééhhh non, je ne vois paaaaas ce que tu veuuuuu dire !

[...]

Gin : Mais comment tu peux lire ça, il n'y a même pas de scènes de cul !

Shiho : C'est normal, quelqu'un a volé tous les livres érotiques il y a une heure, peu de temps avant mon arrivé.

Gin : Je me demande qui a bien pu faire ça.

Soudain, des livres tombent de sous le haut de Gin qui est prit en flagrant délit. Eisuke arrive alors à ce moment là.

Eisuke : Hé, au voleur !

Gin : Merde !

Le brillant chasseur saute dans la rivière de 1cm pour fuir à la nage.

[...]

Gin ferme le bouquin et le jette dans la boue.

Gin : Belle, il est temps que t'arrête un peu de lire tes bouquins, et que tu t’intéresses aux choses plus importantes, tels que moi.

Il fait alors un sourire trop classe et d'une blancheur intenable.

Shuichi : Le nouveau freedent X-Turbo fashion est disponible dans tous les rayons Lecter !

Gin : Hé c'est bon, je peux continuer !?

Shuichi : Oui c'est bon.

Gin : Bon... Tout le monde en ville est de mon avis.

Phoenix Wright : Objection !

Gin : C'est qui lui !?

Rei : Je ne suis pas de cet avis !

Gin : Mais qu'est ce que tu fous aussi tôt dans l'histoire !? Dégage !

[...]

Les Bimbettes sont en extase devant leur Gin préféré.

Gin : Les femmes ne sont pas faites pour lire, dés qu'elles ont des idées dans la tête, elles deviennent comme Vermouth.

Vermouth : Hum hum !

L'Enchanteresse apparaît devant Gin, pas contente.

Vermouth : Tu es un gros débile, qui ne pense qu'à tuer, et qui a autant de charme qu'un balais à l'effigie de Vodka !

Gin : Merci du compliment !

Gin a maintenant un masque avec la tronche de Vodka dessus, Vermouth se facepalm.

[...]

Gin : Viens donc faire un tour à la taverne avec moi, je te montrerai ma bite.

Shiho : Ce pois chiche ? Non merci.

Gin s'arrête, l'air triste, ce qui fait réagir les Bimbettes.

Ran : Elle ne veut pas goûter à son petit raison sec ?

Sonoko : Ce n'est pas la taille qui compte, idiote !

Masumi : Il avait une bite ?

Gin : Mais... Mais... mais je vous emmerde !

Le Corbeau s'enfuit en chialant.

[...]

Shiho : Bon je dois rentrer à la maison, aider mon père.

Gin et Vodka, qui est apparu, sont morts de rires.

Gin : Ah ça pour de l'aide, même le meilleur psy ne pourrait rien faire pour lui !

Vodka : C'est sur qu'il n'a plus toute sa tête !

Shiho : Je vous interdis de dire du mal de mon père, c'est un homme brillant, un grand inventeur, sain d'espri...

Son père arrive tout nu en chevauchant un balais.

Agasa : Les nazis nous attaquent !!!

Belle va se pendre.

[...]

Belle se précipite vers sa maison, mais alors qu'elle est à quelques mètres de celle ci, celle ci explose. Notre héroïne se retrouve propulsée quelques mètres plus loin, mais plus de peur que de mal, un hérisson avait amorti sa chute.

Shiho : Père !

Elle se précipite dans les décombres et découvre le corps à peine vivant et calciné de son père, le Professeur Agasa. Elle le prend dans ses bras, et celui ci tenta de la rassurer.

Agasa : Tu dois vivre, Belle, et tuer ce monstre qui a voulu ma mort...

Shiho : Qui ça ?

Agasa : Le Joker...

Shiho : Comme dans les jeux de cartes ?

Agasa : Oui, comme dans les jeux de cartes.... Mais une dernière chose...

Shiho : Quoi ?

Agasa : Les Lannister te salue !

Il sort alors une dague magique et la lui plante dans le corps, avant de la jeter comme une grosse merde, et d'enlever son masque, se révélant n'être autre que Steve Rogers qui lui fait le salut nazi.

Steve : Hail Hydra !

Elle se laisse mourir pour vite en finir avec ce gag.

[...]

La porte de la cave s'ouvre devant elle, révélant son père et de la fumée qui s'échappe. Il semble dans un état second et il rigole tout seul.

Agasa : Hé ma puce, tu vas rigoler, ma réserve de Coke de Noel a flambé, hé hé hé hé !

Shiho : Qu'est ce que tu dis papa !?

Agasa : Je te dis que je suis complètement défoncé !

Le Commissaire Moulin sort alors de nul part et menotte le vieux drogué à lui même pour être sur qu'il ne s'échappe pas.

Jean-Paul : Dis donc mon petit bonhomme, tu me suis au poste tout de suite !

Agasa : Bien sur monsieur le commissaire, faite moi un test d'urine.

Jean-Paul : Non !

Agasa : Oh mais allez, fais pas ta pute !

Et ça continua un moment comme ça, Shiho décida d'imploser cérébralement.

[...]

La Belle Dame ouvrit les portes de la cave pour trouver son père entrain de mater Avengers 2, ce dernier se tourne vers elle.

Agasa : Ah Belle, viens voir, ce film à un super scénario !

Shiho : AAAAAAAAAHHHHHHHHHHH !!!!!!!!!

Elle fuit en courant hors de la maison.

[...]

La Chimiste trouve l'inventeur avec un revovler dans la main et le cadavre d'une jeune femme à ses cotés, un trou encore saignant dans la tête.

Shiho : Papa ?

Agasa : Oh bon sang de bon soir, cette sauvageonne était plus entêtée qu'un mulet !

Shiho : Tu n'es pas blessé ?

Agasa : Oh tout ça n'est plus de mon age, je vais laisser tomber toutes ces idioties !

Il fout un coup de pied au cadavre qui traverse la pièce et tue Belle en l'écrasant contre le mur.

Agasa : Bah dis donc, je m'impressionne moi même.

[...]

Shiho : Tu y arriveras, tu remporteras le premier prix à la foire du manga demain.

Hiroshi n'est pas convaincu.

Shiho : Et tu deviendras le plus célèbre des écrivains de Yaoi du monde entier.

Agasa : Tu penses sincèrement ce que tu dis ?

Shiho : Je n'en ai jamais douté.

Agasa : Et ben alors, au travail fifille ! Tu vas devoir te travestir en beau marin, car j'ai besoin d'un modèle pour mon perso principal, Francis McPénis, un vieux matelot. Et il se trouve que tu as l'air un vieux loup de mer, ma grande !

Shiho : Ahoy !

[...]

Agasa : Je vais te réparer cette merde en deux temps, trois mouvements !

Il se met sous la machine.

Agasa : Passe moi donc de la Mimolette !

Elle lui donne un fromage qu'il mange goulûment.

Agasa : Alors, tu as encore dragué pleins de mecs en ville ce matin ?

Shiho : Oui, un certain Maxime Moulin, il semble être le plus cultivé de cette ville.

Elle prend un ton plus triste.

Shiho : Papa, est ce que tu me trouves bizarre ?

Agasa : Ma fille, bizarre !?

Il sort de sous la machine.

Agasa : Je croyais que tu le savais déjà ! Franchement ta mère à même fait un arrêt cardiaque quand elle a vu ta tronche à la naissance, c'était bouleversant. Je voulais te jeter dans un puits, mais là l’Archidiacre est arrivé....

Shūkichi arrive déguisé en Clopin.

Shūkichi : Ah, vous connaissez aussi cette histoire !?

Shiho : Quelle histoire !?

Shūkichi : L'histoire d'un homme, et d'un moooooonstre !

Réalisateur : Coupez !

Le réal apparaît et il n'est pas content.

Réalisateur : C'est n'importe quoi, je ne cautionne pas cela ! Je vais...

Il se prend un carreau d’arbalète dans le dos et meurt. Mickey qui mousse déboule à son tour, tout content comme à son habitude.

Mickey : Oh oh oh ! Continuez comme cela les amies ! C'est plus vendeur, et comme ça on aura plus d'argent ! C'est génial !

Tout le monde éclate alors de rire tandis qu'un nouveau titre apparaît dans le clocher, il est écrit Le Bossue de Notre Dame en jaune, Clopin reprend alors.

Shūkichi : Quand les cloches sonnent, les cloches questionnent, dans les tours de Notre Daaaaaaaame !! L'homme est il un monstre ou le monstre un hooooomme !!!

Et Mickey Mouse fait un gros fuck au public !
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MessageSujet: Re: Paf le chien   Paf le chien - Page 10 Icon_minitimeJeu 21 Juil - 23:27

Alors que Masahide sortait du poste de police, il croisa en son enceinte un homme encadré par deux policiers. Ils se croisèrent séparés par une plaque de glace. A l’instant où Masahide le remarqua, il sembla marquer un arrêt dans le temps pendant lequel son cœur ralentit. Ses oreilles bourdonnaient. Des cotillons blancs prirent place dans l’image que ces yeux lui donnaient. Il cligna des yeux avec force deux fois avant d’aspirer de l’air comme s’il avait été en apnée plusieurs minutes.
Les inspecteurs dans la salle ne remarquèrent rien. Ce moment fugace mena le soldat japonais contre la barrière de verre qui les séparaient. L’homme hagard avait le visage caché par ses longs cheveux poivre et sel qui ne laissaient apercevoir que son menton saillant. Quand il remarqua le corps de Masahide se rapprocher de lui, il tourna la tête, laissant apercevoir une iris de couleur gris foncé, et un visage usé par le temps. Malgré ces marques de fatigue, on devinait son corps athlétique et en forme. Il semblait être une ombre. Un fin sourire se dessina le long de ses lèvres. Un sourire carnassier.
Le soldat se redressa comme il pouvait alors que le sourire de l’homme disparaissait en même temps qu’il tournait dans un couloir. Il fit le tour du mur de plexiglass, laissant des traces de mains et de souffle chaud le long du trajet. Il se retrouva à moins de deux mètres derrière l’homme et lui attrapa l’épaule. Il se retourna, presque pas surpris de se faire arrêter. Les deux policiers qui l’encadraient lui demandèrent ce qu’il faisait là, sans crier, avec un calme exemplaire.
-Il… il…
-Quoi il ? Vous connaissez ce monsieur ?
-Je ne l’ai jamais vu, déclara l’homme qui venait d’arriver dans le poste de police. Je ne connais pas cet homme.
-Je vous reconnait. Je vous ai déjà vu. Qui êtes-vous ? arriva à prononcer Masahide, après plusieurs tentatives infructueuses.
-Mais je ne vois vraiment pas qui vous êtes.
-Monsieur Hayashi ? Connaissez-vous cet homme ? se mirent à demander les deux policiers, qui savaient qui était le militaire.
-Absolument pas ! Vous devez me confondre avec quelqu’un d’autre !
L’homme aux yeux gris se défendait, mais sans grande vigueur, comme s’il s’en fichait. Masahide, lui, se perdait dans la contemplation de l’individu. Comment le connaissait il ? Soudain, un éclair le frappa. Il attrapa l’homme, M. Hayashi, par le col et le souleva de toute sa force de militaire. La violence de Masahide était reconnue, aussi les policiers entourant l’homme en face de lui remuèrent.
-Qu’est-ce que tu m’as fait, ignoble humain ?! Pourquoi je me souviens de toi sur ma moto ?!
-Je ne sais pas de quoi vous parlez. Lâchez-moi, dit-il en levant les mains et en tapant les épaules de l’autre homme de la paume de la main pour se dégager de l’emprise de Masahide, qui le relâcha soudainement, comme si l’étranger venait de l’écraser par sa force démentielle.
-Hé Ho ! dit un policier en haussant le ton. Je peux savoir ce qu’il se passe ici ?
Conan ainsi que les policiers dans la salle d’interrogatoire et Kogoro juste avant lui sortirent à peu près à ce moment, attirés par les voix qui commençaient à s’élever. Le détective le plus célèbre du Japon mit un coup sur la tête de Conan, qu’il pensait en excursion au milieu du commissariat. Echauffés par la discussion envenimée entre les deux hommes, les policiers commençaient à bouger et se rapprocher de la perturbation. Megure s’avança et déclara de sa grosse voix de commissaire :
-Que vous arrive t-il ?
-Cet homme m’a agressé, entama M. Hayashi, alors que je ne le connais pas.
-C’est faux, vous me connaissez, on a été sur la même moto ! hurla Masahide en lançant un regard et un doigt accusateur. Les dernières paroles du militaire firent tilter les inspecteurs en charge de l’enquête.
-Déclinez votre identité, ordonna Shiratori.
Les épaules de l’homme s’affaissèrent. Il semblait agacé qu’on lui demande cela. Les autres inspecteurs qui l’avaient ramené ici déclarèrent :
-C’est l’homme que vous vouliez interroger, Monsieur Hayashi, les deux avaient dit ça tout en se mettant au garde à vous.
-Vous êtes le frère de Aimi Hayashi ?
-En effet, c’était ma sœur chérie, déclara-t-il en soufflant, comme s’il venait d’avouer un meurtre. Puis, dans un mouvement beaucoup trop rapide pour les policiers autour puissent le suivre, il trancha la gorge de Masahide d’un revers de la main.
Les policiers s’affolèrent, mais trop tard, l’homme était au sol, et le tueur avait toutes les armes à feu tournées vers lui. Il leva les mains, un sourire sarcastique flanqué aux lèvres. Il fit rentrer la lame de son couteau suisse dans son encoche d’un mouvement qui fit vibrer les canons des pistolets autour de lui, et le fit tomber nonchalamment au sol, avant de mettre ses mains derrière sa tête, entourés de hurlements des policiers.
À peine eut-t-il posé ses mains derrière sa nuque que des hommes le plaquèrent au sol. À côté, trois étaient en train d’appuyer sur la blessure de Masahide, de lui faire du bouche-à-bouche et de tenter de faire battre son cœur.
Non loin de là, derrière l’attroupement, Conan venait de baisser son bras, alors qu’un des policiers tombait dans les pommes dans sa trajectoire, enfin tombait de sommeil plutôt. Il avait râté d’une demi seconde Hayashi. Il n’avait en aucun cas prévu que cet homme qui venait d’arriver à la police, et qu’il ne connaissait absolument pas, allait assassiner un homme au milieu de centaines d’hommes des forces de l’ordre. Un policier l’attrapa et le tira hors du bordel monstre qu’était l’open space où ils travaillaient. Qu’est-ce que j’ai loupé ?


-C’était imprévisible.
-J’aurais du pouvoir le prévoir, professeur.
-Il était complétement dément, Shinichi, tu ne peux pas prédire l’esprit d’un fou, déclara froidement Ai en regardant la lune s’élever dehors par la fenêtre. Tout comme tu ne pourras pas prévoir l’esprit de Gin, même si tu t’acharnes à le faire.
Conan ne lui répondit même pas, trop concentré sur ce qu’il venait de vivre.


Il a été déclaré mort quelques minutes plus tard, alors que l’assassin était conduit en cellule brutalement par les inspecteurs, un sourire toujours aux lèvres. Une heure après, alors que le corps avait été emmené par les médecins légistes et les laborantins, le détenu avait demander une sorte d’audience ou il pourrait s’expliquer.
Bien que les policiers en eussent mortellement envie, ils le firent poireauter quelques minutes dans sa cellule, seul. Puis il fut amené par des mains brutales dans une salle d’interrogatoire, alors que le commissariat pullulait dans tous les sens. Megure et Shiratori se retrouvaient dans la même pièce que tout à l’heure, mais cette fois ci en face d’un suspect dont ils étaient certains de la culpabilité. Mouri les écoutait de l’autre côté du miroir.
-Je suppose que vous souhaitez tout savoir. J’imagine que c’est encore flou, lâcha le meurtrier de façon méprisante.
-Vous avez vengé la mort de votre sœur, Aimi Hayashi. Les militaires Azuma et Masahide sont impliqués dedans, ainsi que Chiguru, cet assassin assassiné. Ce dernier doit être le meurtrier. Mais nous ne sommes pas là pour jouer aux devinettes. Vous devez être très suffisant.
-Nous posons les questions ici.
Conan, avec son oreillette, mourrait d’envie de diriger cet entretien brusque, même s’il commençait à voir plutôt clair. Alors qu’il écoutait avec attention la discussion, un policier entra dans la petite salle adjacente à celle de la salle d’interrogatoire, et parla à Mouri. « On a reçu les résultats d’autopsie d’Aimi. Elle était enceinte à sa mort, mais elle n’était pas mariée ou n’avait pas de petit-ami. Elle était sur la même base que Masahide avant de mourir. »
Les pièces du puzzle s’assemblaient rapidement dans l’esprit de notre cher détective. Hélas, trop tard. Même si d’après ces déductions, ils allaient empêcher la mort de Azuma. Mouri transmit les informations aux inspecteurs.
-Votre sœur était enceinte quand elle a été tuée. C’est pour ça ? Vous avez voulu la venger ? dit Megure en haussant le ton.
-Ma sœur a été violée par la personne que j’ai tué à quelques mètres. Il méritait de mourir.
-Et l’inspecteur Sato ?! cria le commissaire, visiblement dans une colère noire.
-Ah, cette inspectrice. Elle a abandonné Aimi.
-C’est faux. On lui a retiré l’enquête.
-Le commanditaire du meurtre lui a retiré l’enquête. Ce haut gradé Azuma, là, a pris il y a longtemps Masahide comme pupille.
-Nous le savions. Vous êtes en train de dire qu’il a fait tuer Aimi pour protéger. C’est une très belle histoire pour justifier vos tendances de psychopathes.
L’homme en face d’eux tiqua légèrement, surpris qu’ils ne le croient pas.
-Vous ne me croyez pas.
-J’en ai vu des coupables passer ici. Vous avez tous une histoire formidable à raconter. La vôtre n’est pas plus crédible qu’une autre. Votre sœur aurait très bien pu tomber enceinte d’un ami dont nous n’avions pas connaissance, ni vous. Et se faire tuer après un vol qui aurait mal tourné. Votre esprit malade aurait pu inventer ces sornettes.
Mouri restait concentré sur ce qu’il disait. La culpabilité de cet homme, ils en étaient sur. Mais il restait encore Azuma, et la question de sa culpabilité se posait encore. Et cela allait dépendre de la suite de l’interrogatoire.
-Je n’ai rien inventé ! hurla le coupable, en bougeant les mains et en s’écorchant les poignets attachés par des menottes. J’ai un enregistrement où ce connard avoue ce qu’il a fait.
-Quand il était sous scopolamine ? La preuve doit être irréfutable, ironisa Megure.
Cette fois ci, il fut sidéré. Au temps la dernière fois, il avait eu un rictus de surprise, au temps maintenant, il avait la bouche ouverte et les sourcils levés.
-Comme avez-vous su pour la scopolamine ? Les tests ne sont jamais effectués.
-Une intuition.
-Non, affirma Azuma avec aplomb, devenu calme tout d’un coup. Cette plante n’est pas connue, elle n’est utilisée que par des mercenaires. La police n’en a jamais eu vent. Qui vous en a parlé ?
-Je pose les questions ici, le reprit Megure sèchement, bien qu’il senti le regard de Shiratori sur lui, ce dernier se posant aussi cette question : qui était l’informatrice mystère ?
-Des policiers sont en train de fouiller votre appartement, nous trouverons l’enregistrement dont vous parlez, reprit Shiratori.
-La scopolamine a agi comme un sérum de vérité. Je lui ai injecté devant la caméra et lui ai posé les questions devant cette même caméra. Ce n’est que la vérité. Vous ne pourrez qu’enfermer cette raclure d’Azuma.


Conan avait compris avant les policiers qu’il disait vrai. Tout s’imbriquait parfaitement. Les deux à moto étaient Hayashi et Masahide. Sato était censée mourir dans ce bâtiment à l’abandon, mais des enfants l’avait trouvée, alors que le tueur les surveillait. Alors il avait décidé de la tuer de manière plus rapide alors qu’il était encore encombré du dernier drogué, et qu’elle manque à Takagi autant que sa sœur lui manquait tous les jours. Tuer Masahide dans le poste de police n’était pas un acte désespéré, puisqu’il savait que Azuma allait être enfermé avec les enregistrements. Il avait réussi sa vengeance dans son esprit tordu.
Une chose resta cependant en suspens pour les policiers, son agilité à tuer Masahide sous leur nez. Le détective de l’ouest pariait que son travail devait être proche de la mort et des combats. Il avait presque avoué côtoyer des mercenaires, et il avait raison, ce poison qu’était la scopolamine était assez dangereuse pour ne pas être connue du grand public, la preuve, lui-même ne le connaissait pas, et Ai la connaissait de par l’organisation la plus noire à ce jour.
Mais comme il avait en quelques sortes disparu des écrans depuis la mort de sa sœur, on n’a pas pu retracer le moindre de son chemin, et s’il était très éloquent sur ce qu’il venait de se passer, il n’en était rien concernant les dernières années. Il avait totalement disparu du système, et était réapparu pour assassiner ceux qui en avait eu après sa sœur des années auparavant.
Et il avait eu raison. Azuma avait été arrêté dans la journée, après authentification des enregistrements. De là où il était, Conan avait pu le voir arriver dans le poste, entouré d’une dizaine de policiers en colère. Sa pupille avait fait une connerie, d’après lui, et il avait dû la régler. S’il ne semblait rien regretter, il était au moins autant fou que Hayashi.
Ce dernier avait usé de la drogue du diable pour contrôler Takagi, puis Sato, Azuma et enfin Masahide, qui avait tué Chiguru. Il refusa d’expliquer comment il avait trouvé ce dernier, pourtant existant seulement sous forme de légende urbaine. Un élément de plus qui semblait indiquer qu’Hayashi était une personne de l’ombre.
Quand il sortit de la salle d’interrogatoire après y avoir passé des heures, Conan le vit passer à son niveau. Un détail le fit presque tomber au sol. Une gourmette en or avec un lion dessus, et deux autres, avec un ours et un aigle, annotées « Brother ». Conan le rattrapa et se posa devant lui.
-Que fais un enfant ici ?
-Ta gueule, Hayashi, cracha un policier. Conan, pars d’ici.
-Vous vous faites appeler Leo par vos deux frères, n’est-ce pas ? demanda Conan en fronçant les sourcils et en souriant, ignorant complétement l’ordre du policier. Le meurtrier jeta un coup d’œil à son poignet, puis regarda Conan avec des yeux perçants en souriant.
-Je ne vois pas de quoi tu parles, petit. Et félicitations pour m’avoir empêché de tuer l’inspecteur Sato, rares sont ceux qui ont réussi, surtout avec un plâtre. C’est bête que tu ais raté ton coup tout à l’heure, continua-t-il en marchant encadré.
Sur le pas de la porte, il lança au jeune détective :
-J’ai eu plusieurs noms, mais le plus récent est Sabra… que vas-tu en faire ? demanda-t-il en ricanant.
Conan serra les poings. Le sabra, il connaissait. C’était une liqueur de cacao.
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MessageSujet: Re: Paf le chien   Paf le chien - Page 10 Icon_minitimeSam 23 Juil - 17:41

Acte I, scène 5

Maxime, Paul, Samia, Angeline, Léa, Kabira, Abbad, Firdaous, Laura Powers

Maxime rouvre les yeux dans une chambre d’hôpital. Il met un peu de temps avant de se rendre compte de sa situation, et dés que c'est le cas, un grand sourie se dessine sur son visage.

Maxime, s'exclamant à voix haute. - Je suis vivant ! Vivant !

Se rendant compte de la référence culturelle qu'il vient de placer, Maxime se calme un peu et observe les environs.

Maxime, écoutant les conversations étouffé au loin. - Bon au moins, je n'ai pas le droit au coup de Rick Grimes, tant mieux ! Il se marre. J'ai franchement pas envie de buter du mort vivant aujourd'hui.

Il se redresse un peu mais il est encore assez faible suite à la balle qui s'est prise, les événements lui reviennent en mémoire.

Maxime, jouant avec ses cheveux. - J'espère que mes élèves vont bien, surtout Léa. Il soupire. J'espère que Bruce s'excusera, parce qu'un tir allié, c'est jamais sympa à endurer. Il se rappelle ses derniers mots. Pourquoi j'ai parlé de Angeline ? Il se tape le front en riant un peu. Bordel je suis en train de mourir, et moi je pense à une collègue que je viens à peine de rencontrer et qui a surement déjà un petit copain, n'est surement pas intéressé par un type comme moi, et qui si ça se trouve m'a déjà un peu oublié. Il soupira à nouveau. Ah la la la mon petit Maxime, tu ne vas jamais trouve l’âme sœur comme ça, il faut que tu te ressaisisses. Et puis tu devrais déjà être content d'avoir Léa Barloin, cette fille est un cadeau en or tombé de la hotte du Père Noel. Et pourquoi tu parles tout seul ? Tu te crois dans une pièce de théâtre ?

Il entend deux voix se rapprocher, dont une qu'il connait assez bien, et il commence à comprendre ce qu'ils disent.

Paul. - Donc ses jours ne sont plus comptés, c'est bien cela ?
Samia. - En effet, la balle n'a pas touché d'organes vitaux, il devrait pouvoir sortir d'ici 4 jours le temps que la plaie se referme et qu'il se remette de la perte de sang. Mais il devra encore rester quelques jours chez lui avant de pouvoir reprendre le travail.
Paul. - En parlant de son travail, il est étonnant que vous soyez la mère d'une de ses élèves.
Samia, ouvrant la porte à moitié mais s'arrêtant pour répondre. - Le Monde est petit, c'est ce que dirait ma fille qui se sent tout le temps harcelé, j'espère qu'elle arrivera à battre ses crises et à s'ouvrir plus aux autres.

Elle ouvre la porte en grand et s'approche de son patient tandis que Paul s'asseoir sur le coté gauche de lit en souriant à son ami.

Paul. - Hé bah Max la menace, tu m'as fait peur, tu le sais ça ? Il lui touche la joue. Qu'est ce que j'aurais sans mon vieil ami à mes cotés pour le reste de ma vie ?
Maxime, riant. - Ouais c'est sur, il enlève gentiment la main de son ami, tu te serais retrouvé paumé sans savoir quoi faire fasse aux brèches qui s’ouvrent de plus en plus en ce monde, et t'aurais tout fait pour me faire ramener à la vie, tel un zombi sortant de ton cercueil.
Paul. - Toi en zombi ? J'ai plus de chance d'avoir une saison 2 à la série où je suis une Magical Girl.
Maxime. Tu parles !
Paul. - Sinon je suis le seul à trouver qu'on fait très gai là ?
Maxime. - Ah je commençais à me dire que tu avais changé de sexualité.
Paul, se levant en rigolant. - Va te faire foutre !
Maxime. - T'aimerais bien pas vrai !?

Samia est gênée par cette conversation débordante, ils le comprennent assez vite et ils se taisent pour la laisser s'exprimer.

Samia, d'un ton neutre. Bon comme j'ai dit tout à l'heure à votre ami, la balle n'a rien touché de vital mais nous vous garderons encore 3 trois jours pour que la blessure puisse commencer à cicatriser, et aussi pour être sur qu'il n'y ait pas de complication. En suite vous resterez encore quelques jours chez vous ,et puis vous pourrez reprendre votre travail tranquillement.
Maxime. - Si on peut appeler ça un travail, c'est plutôt des vacances comparés aux missions que toi tu me files Paul.
Paul, embarrassé. - Max, tu sais bien que tu ne dois pas parler de ça devant n'importe qui.
Maxime, se rendant compte de sa bourde. - Oh merde désolé, sors le Neuralyzer !
Samia, essayant de détendre l’atmosphère. C'est bon calmez vous, je ne dirai rien à personne. Tant que ma fille à une note au dessus de al moyenne.
Maxime. - Je rêve ou c'est du chantage ?
Paul. - C'est du chantage.
Maxime. - Toujours pareil ces médecins !
Paul. - Enfin pas tous, n'oublie pas que ma petite amie est chirurgienne.
Maxime. - Eu là c'est toi qui vient de te griller tout seul mec.
Paul. - Merde...

Ils entendent toquer à la porte, c'est Angeline qui entre calmement dans la pièce et est un peu étonnée de voir qu'elle n'est pas la première arrivée.

Maxime, content. - Angeline, ça fait bizarre de voir te voir voir me rendre visite, je me serais plutôt attendu à Félix, c'est le seul vraiment avec qui j'interagie au bahut.
Angeline. - Je lui ai proposé de venir, mais il a dit qu'il attendra que tu sois seul pour venir.
Maxime. - Il est toujours comme ça ce Félix.
Paul, s'approchant d'Angeline. - Dis donc tu nous présente pas ?

Samia quitte la pièce en douce alors que Max se frotte l'arrière de la tête.

Maxime, rigolant bêtement. - Ouais suis je idiot ? Voici Angeline O'Dell si je ne me plante pas sur le nom.
Angeline, se retenant de rire. - Tu as bonne mémoire Maxime Moulin.
Paul. - Et moi c'est Paul Duquart. Il lui serre la main. Vous m'avez surement déjà vu dans des fictions tels que Les Mésaventures de Pinoulelapin ou encore l'Ascension du CoAi. Dommage que la Saison 3 fut abandonnée.
Maxime. - T'en as pas marre de faire ton Troy McClure ?
Paul. - Non, pas du tout !
Angeline, éclatant de rire. - On dirait de vrais gamins !
Maxime, amusé par la situation. - C'est ce qu'on est.
Paul. - C'est ce qu'il est, vous verrez quand vous le connaîtrez mieux.
Angeline. - Okay !
Paul. - Bon sur ce je vous laisse, et évitez d'être trop rapide de votre relation, ça me rappelle moi et une certaine Linda, ça s'est pas très bien fini cette histoire.

Paul quitte la pièce, Maxime préfère éviter de ce rappelait de cette histoire et Angeline préfère ne pas la savoir. Elle s’assoit sur le lit.

Maxime. - Je me demande où il voulait en venir avec notre relation.
Angeline. - Peut être que tout cela à un rapport avec les derniers mots que tu as prononcé avant de perdre connaissance ? Elle fait son sourire espiègle. N'est ce pas ?
Maxime, embêté. - Ouais ça, je ne sais pas pourquoi mais en pensant que j'allais mourir ,les noms de toi et de Léa me sont venus en bouche.
Angeline. - Et le "Je vous aime", c'est aussi venu comme ça, par hasard ?
Maxime, ne voulant pas y aller par quatre chemins. - Bon, autant le dire tout de suite, j'ai un petit... Je veux dire un gros faible pour toi, depuis que je t'ai vu pour la première fois, et quand on a parlé ensuite, ça n'a fait qu'arranger mon sentiment.
Angeline, perdant son sourire. - Je vois.
Maxime. - Après c'est un coup de foudre, et je ne pense pas que ce soit réciproque, en même temps on s'est à peine rencontré, j'ai dû mal à croire que ce soit le cas. Et puis tu as peut être déjà un petit ami, tu es peut être lesbienne, je ne sais pas assez de choses sur toi. Pour qu'il y ait une infime chance que ça marche, faut d'abord apprendre à se connaitre, et je suis loin d'être le plus doué comme ça, surtout quand mon cœur est sur le point d’exploser dans ma cage thoracique. Je vraiment nul je sais...

Il se tait, elle baisse la tête et ils ne parlent plus pendant quelques minutes.
C'est Maxime qui rompt le silence.

Maxime. - Et qu'elle est ton point de vue sur ça Angeline ?
Angeline, relevant la tête. - Je ne sais pas à vrai dire, car comme tu l'as dit, on vient à peine de se rencontrer. Je ne suis pas sur à 100 % si tu es le genre à me plaire, ou non. Elle commence à sourire tant bien que mal. Mais si j'ai ma réponse, je te préviendrai, sois en sur.
Maxime. D'accord, merci Angeline.
Angeline, elle regarde l'horloge sur le mur. - Déjà 11H30, elle regarde Max, je vais y aller, j'ai un cours à tenir dans 1 heure et je ne peux pas le sécher. Ne m'en veux pas.
Maxime. - Non c'est bon, je comprends, t'inquiète pas. J'ai besoin d'un peu de repos de toute façon.
Angeline. - D'accord, salut alors.
Maxime. - Salut.

Elle s'en va, Maxime est seul.

Maxime. - Bon maintenant je suis sur à 100%, vue sa réaction, c'est raté. Il main sa main contre son visage. Bravo Maxime, Zéro Tact, tu fais fuir les filles loin de toi, bravo ! Putain il y a des fois où j'ai envie de plonger du 4ème, c'est pas possible !

Il ferme les yeux pour espérer pouvoir se reposer, mais quelque secondes plus tard, il entends quelqu'un toquer à la porte et celle ci s'ouvrir.

Léa, s'exclamant à voix haute. - Il est là !
Kabira, roulant des yeux. - Sans déconné, comment tu voulais que je ne le vois pas alors qu'il l'objet central de cette pièce !?
Maxime, soupirant intérieurement. - Salut Léa, et Kabira c'est ça ?
Kabira. - Bravo, après 5 Scènes, il retient enfin mon prénom qui n'est pourtant pas si compliqué que ça !
Maxime, essayant de ne pas s'énerver. - Kabira, tu pourrais éviter de péter un câble pour une fois ,
Kabira, approuvant de la tête. - Tu as raison.
Léa. - Oh tu es d'accord avec Prof Maxiou pour une fois !
Kabira. - Oui car si je suis venue ici, c'est pas juste pour faire jolie, voir comment il va ou t'accompagner juste comme ça.
Maxime. - Alors pourquoi es tu venue dans ce cas là ?
Kabira. - Pour t'avertir d'un danger ?
Maxime, faisant une tronche de mongol. - Sérieusement ?
Kabira. - Oui, mes parents sont en route pour venir te voir, et mon Père veut en régler une bonne fois pour toute avec toi.
Maxime. - Je devine que le Tueur à Gage avait été envoyé par lui.
Kabira. Exactement. Elle regarde vers la porte. Et comme je t'apprécie quand même plus que mes parents, j'ai décidé d'être de ton coté pour cette fois. Elle se tourne vers son prof. Mais attention, ça ne veut pas dire que je t'aime bien, contrairement à sa copine ici présente qui elle t'adore à un point qui fait vraiment flipper.
Léa, se mordant les lèvres. - Je t'entends tu sais ?

Abbas entre dans la pièce soudainement, en colère, et Firdaous suit derrière en étant inquiète. Kabira s'interpose.

Kabira, rouspétant. - 'abia, marratan 'ukhraa !
Abbad. - Hors de mon chemin !

Il lui fout une claque, elle tombe sur le coté sur le sol, Firdaous va l'aider à se relever.

Firdaous. - Abbad, tu es devenu complètement malade !?
Abbad. - Ferme là ou se sera ton tour ! Il se retrouve bloqué par Léa. Laisse moi passer !
Léa, servant de bouclier à Max. - Jamais !
Abbad, se calme un peu. - Très bien, il la chope et la lance contre le mur à gauche, ça c'est fait.
Firdaous. - Abbad !
Abbad. - Famak ! Il fait le tour du lit et chope Maxime et commence à le relever. Comment cela se fait que tu sois toujours vivant toi !?
Maxime, ne perdant pas son sang froid. - Qu'est ce que tu veux ? C'est dans ma nature.
Abbad. - Ne me prends pas pour un con ! Il le lâche. Je suis l'homme le plus riche et le plus puissant de la ville, normalement tu devrais déjà être mort à l'heure qu'il est, mais tu es vivant ! Et ça c'est un problème !
Maxime. - C'est bien continuez à parler jusqu'à ce que les infirmiers viennent vous faire sortir d'ici.
Abbad, esquissant un sourire. - Tu crois ça ? Il prend un air encore plus mauvais qu'avant. Je les ai payé pour jouer les sourds pendant notre petite discutions, ils viendront donc seulement quand je les appellerai pour dire que le pauvre Maxime Moulin à fait une mauvaise chute à travers la fenêtre.
Maxime. - Ça me parait vachement crédible.
Abbad. - Avec la sommes que je leur ai versé, bien sur que ça l'est. Il se tourne vers la fenêtre et l'ouvre. Mais après tu sais... Il se penche sur le rebord. Un accident est si vite arrivé.

Kabira s'approche d'Abbad durant son discours et le pousse par dessus bord, le faisant chuter du vingtième étage.
Elle se tourne ensuite vers les autres, choquée de ce qu’elle vient de faire, mais parvient à reprendre miraculeusement son calme. Les autres sont aussi aussi surpris.

Kabira. - On est d'accord pour dire qui a glissé et est tombé par la fenêtre par "accident" ?

Maxime et Léa approuvent de la tête, Firdaous hésite mais fait de même.
A ce moment là, Laura Powers entre dans la chambre sans toquer.

Laura Powers. - Excusez moi je ne voudrais pas vous déranger mais on vous entend jusqu'à Springfield, donc faut baisser d'un ton, merci beaucoup.

Elle repart alors que Samia revient dans la pièce, essoufflée.

Samia. - Qu'est ce qui s'est passé ici ?
Kabira. - Mon père à eu un regrettable accident.

Les trois autres jouent le jeu, son mensonge semble passer comme une lettre à la poste.
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MessageSujet: Re: Paf le chien   Paf le chien - Page 10 Icon_minitimeJeu 28 Juil - 15:43

Acte I, scène 6

Maxime, Angeline, Léa, Jack

Léa ouvre la porte de la chambre et Angeline entre en aidant Maxime à marcher jusqu'au lit où il s’assoit.

Angeline, d'une voix douce. - Ça va ? Pas trop mal ?
Maxime, grimaçant un peu. - Non ça va pour l'instant.
Angeline, regardant les alentours. - Je croyais que tu avais dit sur le chemin que tu habitais encore avec tes parents.
Maxime. - Oui mais ils sont en vacance à Tokyo pendant 1 semaine.
Angeline. - D'accord.
Maxime, il commence à se lever. - J'ai soif, je vais me prendre à boire.
Angeline, le stoppant dans son élan. - Non laisse je peux le faire.
Maxime, la poussant délicatement sur le coté. - C'est bon, si j'ai un problème, je te préviendrai, ne t'en fais pas.
Angeline. - OK.
Maxime. - Vous voulez quelque chose à boire ?
Léa, souriante comme toujours. - De l'eau, c'est bon pour la santé !
Angeline. - De l'Ice Tea si tu en as.
Maxime, souriant à son tour. - Oui j'en ai, prenez place ne attendant.

Maxime quitta la pièce et les deux femmes se posent sur le lit cote à cote.

Angeline, s'étirant les bras en baillant. - Hé bien ses parents profitent bien de leur vie de couple à ce que je vois.
Léa, à voix basse. - Au moins il a encore des parents.
Angeline. - Ah... Elle joue avec ses doigts en étant gênée par sa boulette. Désolé, j'avais oublié que tu avais perdu toute ta famille.
Léa, rehaussant un peu le ton. - Oh ça ce fait rien, c'est moi qui devrait m'excuser d'avoir un peu gâché l'ambiance sur ce coup là.
Angeline, rigolant. - On devrait peut être s'excuser toutes les deux.
Léa, riant mélancoliquement. - Oui peut être... Ses yeux scintillent de souvenirs. Tu me rappelles ma petite sœur, Naomi, elle aimait aussi faire des farces à moi, et elle avait aussi une voix similaire à la tienne. Plus grave que la normale, je me demande d'ailleurs jusqu'où ça serait allée si elle était encore des nôtres aujourd'hui.
Angeline, touchée par ses mots. - Ah c'est pour ça que tu t'es rapprochée de moi aussi rapidement, je te rappelle ta petite sœur... Elle prend la main de Léa. Je ne voudrais pas trop de déranger avec des questions personnelles, mais ça ne te dérange pas de me dire ce qui lui est arrivé ?
Léa, émue par ce geste. - Oui, après tout tu es ma nouvelle soeur, je ne peux rien te cacher, mais ne le dit pas à Prof Maxiou, je voudrais lui dire moi même quand ce sera le bon moment.
Angeline. - Bien, motus et bouche cousue !

Un petit silence suit cette promesse, puis Léa raconte l'histoire.

Léa. - Ma sœur était victime de harcèlement de la part de ses camarades de classe, et malgré le fait qu'elle essayait de me faire croire que ça ne la touchait pas, j'avais compris que c'était en vérité l'inverse. J'ai essayé de l'aider du mieux que j'ai pu, mais...

Elle commence à verser des larmes, Angeline devine déjà la fin de l’histoire, mais elle préfère se taire.

Léa. - Elle s'est suicidé, en se jetant sous les roues d'un poids lourd !

Maxime arrive à ce moment là avec les verres mais il s'arrête et personne ne le remarque.

Léa. - Je me rappelle encore au service de réanimation, j'ai hurlé son nom à la mort, "Naomi, Naomi ne me quitte pas s'il te plait !". A coté tu avais son seul véritable ami qui était là et qui était silencieux, il subissait le drame à se manière...

Un blanc s'installe, personne m'ose dire quelque chose, finalement Léa le brise à nouveau.

Léa. - Ma petite sœur avait 8 ans quand c'est arrivé, et c'est elle qui a lancé la série d’événements tragiques durant le reste de l'année, conduisant finalement à faire en sorte que je sois la seule survivante de ma famille.
Angeline. - Et comment tu as fait pour ne pas sombrer toi aussi ?
Léa. - Je ne sais pas... J'ai prié nuit et jour mais cela n'a fait que me sauver la vie à moi seule, j'aurais préféré alors que le Seigneur m’envoie 6 pieds sous terre plutôt que de me faire vivre l'Enfer qui j'ai subi de force.

Angeline compatit et tourne le regard ailleurs, elle remarque alors Maxime et le fait savoir par un signe à Léa qui est très surprise de sa présence. Ce dernier se justifie calmement, la boule dans la gorge.

Maxime. - Je ne voulais pas vous déranger, votre conversation était émouvante et très sérieuse.
Léa. - Au moment je n'aurais pas besoin de te le redire. Elle affiche un sourire triste. J'espère que ma famille peut me voir de là haut, ma petite sœur, mon grand frère, mon papa, ma maman et tous les autres...

Maxime s'approche de Léa et pose une main sur son épaule.

Maxime. - Tu sais si tu as besoin de parler sincèrement, sache que je serai toujours pour être une oreille attentive à ton chagrin.
Angeline, serrant un peu plus la main de Léa. - Moi aussi je serai là pour jouer mon rôle de sœur.
Léa, ouvrant grands ses yeux. Merci. Elle les prends dans ses bras en pleurant un bon coup. MERCI !!!

Elle continue à pleurer pendant quelques instants avant de se lever en un bond et ramasser sa tasse avec rapidité puis elle se tourne vers sa nouvelle famille.

Léa, avec un grand sourire. - Je vais aller visiter un peu ton appart Maxime, je reviens vite !

Elle quitte la chambre, Maxime commence à boire sa tasse d'Ice Tea en même temps qu'Angeline.

Angeline, soulagée. - Je suis contente de voir qu'on a réussi à lui remonter le morale.
Maxime. - Pareil, si elle a un problème, elle pourra aller voir l'un de nous deux pour discuter, on l'écoutera c'est sur... Il s'arrête de boire. C'est moi où elle m'a appelé Maxime pour la première fois ?
Angeline, rigolant dans sa tasse. - Dommage, je commençais à apprécier Prof Maxiou.
Maxime. - Ouais c'est ça rigole ! Il finit sa boisson et reprend. En tout cas merci d'avoir été là pour m'aider, et d'avoir proposer de chercher les boissons avant, c'était gentil, tu n'étais pas obligé.
Angeline. - Tu sais, on doit savoir s'aider entre collègues.
Maxime. - Ouais ouais, entre collègue, à qui tu veux faire ça. Il rit tout autant que sa collègue. C'est pour ça que sur les 30 profs que je connais au Lycée, il n'y a que toi et Félix que j'ai vu durant mon séjour à l’hôpital.
Angeline. - Tu devais dormir quand ils sont passés.
Maxime. - Tu sais j'ai dû mal à prendre au sérieux quelqu'un qui est en train de s'étouffer de rire dans son verre !

Un bruit sourd se fait entendre du placard, ils sursautent et se lèvent en vitesse pour se tourner vers la localisation du bruit.

Angeline, inquiète sans le paraître clairement. - Tu as un dragon qui vit dans ton placard ?
Maxime, pareil. - Pas à ma connaissance.

Le placard s’ouvre et Jack en sort avec son air maladif habituel.

Maxime, plissant les yeux. - Sa tête me dit quelque chose.
Angeline, le reconnaissant. - Ouais c'est un élève de ma classe, mais il n'est venu que deux fois, j'ai pas encore retenu son nom.
Maxime, à Jack. - Qu'est ce que tu fiches là dedans !?
Jack, avec une mine déplorable. - Toby... Le chien abandonné que je nourrissais est mort, renversé par une voiture... Je suis donc venu ici pour faire mon deuil.
Maxime, se montrant un peu moins dur. - Mais pourquoi chez moi ?
Jack. - Vous êtes mon prof de CAV, et je vous aime bien.
Maxime. - Mais on ne s'est vu qu'une seule fois ?
Jack. - Une seule fois m'a suffit pour savoir que vous êtes un très bon prof.
Maxime. - C'est gentil, mais tu ne dois pas juger quelqu'un à sa première rencontre, je sais j'ai fais l'erreur jadis, donc tu dois...
Jack. - Vous me rejetez c'est ça ?
Maxime. - Non mais je...
Jack. - J'ai compris ?
Maxime, ne comprenant pas. - Compris quoi ?

Jack se dirige vers la fenêtre et l’ouvre. Maxime comprenant ce qu'il veut faire, l'attrape et le tire en arrière, tombant lourdement sur le sol. Ils perdent tous les deux connaissance au passage, Angeline n'en revient pas. Elle va vérifier pour voir si ils vont bien, c'est le cas, elle se relève donc.

Angeline. - Léa, j'ai besoin de ton aide !

Elle part chercher Léa.
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MessageSujet: Re: Paf le chien   Paf le chien - Page 10 Icon_minitimeSam 30 Juil - 18:18

Acte I, scène 7

Angeline, Charly Bell, Maxime, Paul, Lepur, Gomar, John, Brigadier

Angeline sort de derrière les poubelles avec Charly Bell avec qui elle a exercé son second job. La Chanteuse lui file l'argent tandis qu'elle remet ses habits droits.

Charly Bell. - On remettra ça à Avant la Fin de l’Été !
Angeline. - Si tu veux, je te ferais même à prix réduit car je dois avouer avoir pris encore plus de plaisir que d'habitude avec toi.

Charly Bell lui fait au revoir de la main et quitte la ruelle. Angeline prend son sac et en sort un paquet de tic tac à l'orange et en prend 10 d'un coup pour un gout encore plus savoureux.

Angeline, savourant les dragées. - Encore une affaire rondement mené. Elle regarde les environs et soupire intérieurement. Si seulement je pouvais faire ceci dans un endroit plus convenable, ça m'éviterait de choper un truc pas net. Mais pour cela, il faudrait déjà qu'ils se soucient vraiment de nous, au lieu de faire ça pour le Bien de l’Humanité, nous faisant passé pour les pauvres brebis qu'il faut protéger des faux bergers. Elle se retient de rire pour ne pas s’étouffer. Il faudrait que je rejoue à Bioshock Infinite un de ces quatre, même si la Fin m'avait déçu. Elle sourit en pensant à autre chose. J'espère que Whizzer n''a pas encore gerber sur le canapé, en même tant si ce chat arrêtait d'essayer d'avaler mes rideaux, il aurait moins de problèmes de ce coté là.

Elle a fini ses confiseries et en reprend une bouchée. Maxime et Paul arrivent en conversant entre eux deux.

Maxime, à voix haute. - Et quand je me suis réveillé, Jack n'était plus là, ses parents étaient venus le chercher pour l'amener chez son Psy. Voila la fin de l'histoire.
Paul, impressionné. - Hé bah t'as su te montrer digne d'être un bon professeur en empêchant ton élève de se suicider sous tes yeux !
Maxime. - Ouais je sais.... Il affiche un regard curieux envers Paul. Et sinon c'est quoi fascinante théorie dont tu voulais me parler ?
Paul, très fier de lui. Ah oui celle là ! Hé bine figure toi qu'en repensant à la Genèse de la Bible, j'ai remarqué un truc de fou !
Maxime. - Quoi donc ?
Paul. - Hé bien avant de manger la pomme de la connaissance, Adam et Eve se baladaient à poil sans problème, et niquaient aussi sans problème, jusque là tu me suis ?
Maxime. - Ouais.
Paul. - Hé bien sachant que Dieu a créé l'Homme à son image, j'en ai donc déduis que Dieu était un Nudiste Serial Niqueur ! NSN !
Maxime. - Putain c'est bien trouvé ça !
Paul. - Ouais je sais, c'est tout moi ça !

Angeline les remarque et prend peur, elle recule mais se heurte à Lepur et Gomar qui viennent d'arriver de l'autre coté. Lepur affiche ses deux dents de lapin sadique, tandis que Gomar souffle comme un cul avec ses narines.

Lepur. - Hé bien ma belle, on s'est perdu à ce que je vois !?
Gomar. - C'est vrai qu'elle est bien bonne celle là !
Angeline, affichant un mépris envers eux sur son visage. - Dégagez d'ici, c'est mon coin de rue !
Lepur. - Ah non ma jolie, il lui chope le bras, ici c'est le territoire de Mbjellë Konvertua et il n'admet pas que des putes défilent ici sans qu'elles soient à lui.
Gomar. - C'est qu'une grosse pute celle là !
Angeline, tapant le bras de Lepur. - Lâchez moi !

Maxime et Paul sont attirés par tout ce remue ménage. Angeline fout un coup de genou dans les bijoux de famille de Lepur qui recule en grimaçant et en rigolant aussi.

Lepur, se reprenant. - Frappe là Gomar.
Gomar, content. - Bien Lepur !

Il tente de lui foutre un pain mais c'est Maxime qui se le prend en s'interposant. Son nez commence à saigner et il tombe par terre. Paul dégaine son Desert Eagle et braque les deux types.

Paul, en colère. - Vous dégagez ou je répands vos sales tronches sur le mur juste à coté !
Lepur, continuant à rire. - OK OK OK ! Viens on se barre !
Gomar, déçu. - D'accord !

Ils s'en vont en vitesse, Paul rengaine ensuite son arme. Angeline aide Maxime à se relever puis elle sort un mouchoir de son sac et essuie le sein dégoulinant des narines de son collègue.

Maxime, grimaçant à cause de la douleur. - Merci Angeline.
Angeline, souriant. - C'est moi qui devrait te remercier t’être pris ce coup à ma place.
Paul. - En tout cas ces gars n'ont pas honte de s'en prendre à une prostituée qui veut juste faire son taffe en paix !

A ces mots, Angeline recule d'un bond, de la honte de dégage de son visage, Maxime le comprend aussitôt, et Paul aussi.

Maxime. - Angeline, tu sais je...
Angeline, le coupant sec. - Ne dis rien. Elle rit jaune. Je sais ce que tu vas me dire. Que ce n'est pas bien ce que je fais, de vendre mon corps pour de l'argent, ou bien tu vas rejeter la faute sur mes clients en me prenant comme une pauvre victime innocente qui n'a pas son mot à dire dans l'histoire. Dans les deux cas, cela va juste m'énerver, alors...
Maxime, la coupant sec à son tour. - C'est faux.

Elle semble surprise par sa réponse, Maxime enchaîne calmement avec sa voix grave.

Maxime. - Je sais pas pourquoi tu le fais, si c'est parce que ça te fait plaisir, ou parce que tu n'as pas assez d'argent pour ne pas crever de faim. Dans les deux cas, j'accepte le fait que tu sois prostitué. Dans le premier cas, si ça te fait plaisir de faire l'amour avec d'autres personnes, et que tu profites de cette passion pour avoir un peu d'argent, je peux comprendre, n'importe quel artiste de Youtube fait ça au final, et c'est leur droit, ton droit aussi. Dans le deuxième cas, je ne veux pas asséner une leçon sur la Dignité Humain et le sens moral, car c'est des Bullshit ! Je préfère franchement te voir vivante et en bonne santé que de te forcer à suivre ces conneries pour de voir morte au final ! Surtout que comme m'avait dit une amie "Le droit pénal sanctionne l'esclavage et le proxénétisme, qui portent atteinte à la dignité de la personne. Ce n'est pas le cas de la prostitution non contrainte, qui relève de la liberté entre adultes." Donc pour moi ce que tu fais est un métier comme un autre, mais comme tout métier, ils y a des mecs pas net, les proxénètes, qui viennent pour tenter d'abuser de ton corps alors que toi tu voulais juste le faire librement. C'est triste quand on y pense. Surtout que tous ces abolitionnistes vous traitent comme des pauvres esclaves qui ont juste le droit de fermer leur gueuler, donc eux ne valent pas mieux que les Macs qu'ils chassent car ils ne vous traitent pas non plus comme des personnes qui ont le droit de s'exprimer.

Un blanc s'installe, Paul est plutôt d'accord avec ce discours, Angeline à les yeux qui s'illuminent.

Maxime. - En gros vous n'êtes pas sorti du tas de fiente vue que peu de personnes vous traitent réellement comme des autres humains, et ça ça craint. Surtout quand un projet de loi allant droit dans le mur a été voté il n'y a pas si longtemps que ça. Monde de merde...

Maxime soupire, Angeline s'approche de lui, lui prend son visage et un immense sourire se grave sur le sien.

Angeline. - Je t'avais dit que je te préviendrai quand je serais sur à 100% que je t'aime, c'est le cas.

Elle l'embrasse et il se laisse entraîner dans cette belle scène romantique. Paul ne sait pas où se mettre. John et un collègue arrivent et le premier siffle un coup pour attirer toute l'attention sur lui.

John, regardant de haut. - Mais qu'est ce qu'o na là !? Un sale client profitant de la détresse d'une prostitué !
Brigadier, avec un visage de marbre. - C'est combien déjà pour ce délit Lieutenant ?
John. - 1500 Euros.
Angeline, s'inquiétant pour Maxime. - Non ce n'est pas...
Maxime, ne la laissant pas terminer sa phrase. - Je ne payerai pas cette amende.

Max tourne son visage vers sa nouvelle copine qui comprend alors qu'il a la situation en main, Paul le voit aussi et préfère se taire. John fait signe à son collègue d'aller à la voiture, ce qu'il fait, puis il continue prendre de haut Max avec un fier sourire.

John. - Alors comment se prénomme ce délinquant ?
Maxime. - Maxime Moulin.
John. - Ah tiens, mon fils Brandon à un prof qui s'appelle comme ça, et il m'a dit qu'il était louche, c'est sur que je comprends mieux pourquoi maintenant.
Maxime. - je commence à en avoir marre de croiser "par hasard" les parents de mes élèves, surtout quand ils viennent pour m'emmerder alors que j'ai rien fait et que deux autres connards se sont tirés sans problème avant. Il esquissa un sourire sarcastique. Mais bon vous avez l'art de ne pas être là où vous auriez dû être en ce moment, comme à Nice. La police n'est plus ce qu'elle était...
John. - Tu veux jouer comme ça, allons y ! Il pointe du doigt les ecchymoses. Je devine que ces marques là ne viennent pas du fait qu’elle vous a frappé quand vous avez essayé d'abuser d'elle !
Maxime, cassant son jeu. - En effet, elles viennent des deux albanais de tout à l'heure qui voulaient la frapper, je me suis interposé, et c'est moi qui me suis pris le coup à sa place.
Angeline. - Je confirme.
John, réfutant les paroles d'Angeline. - N'ayez pas peur de dire la vérité, c'est pas parce qu'il vous a menacé que vous devez me mentir.
Angeline, à voix basse, irrité par sa remarque. - Je t'ai dis la vérité abruti...

Paul commence à s'inquiéter du fait de laisser Maxime gérer le truc, il se rappelle des fois où ce dernier se lâchait trop. Max continue tofu de même.

Maxime. - Maintenant vous allez repartir de là où vous venez, et nous laisser tranquille.
John. - Vous croyez vous en tirer comme ça, c'est que vous êtes trop optimiste. Il dégaine sa matraque télescopique. La Loi c'est la loi, et vous opposez résistance, je serai obligé d'employer la force pour pouvoir vous emmener loin d'elle.
Maxime. - Vous parlez, vous parlez, agissez pour voir.
John. - Vous l'aurez voulez.

Il tenta de frapper Maxime mais Angeline s'interposa en le poussant violemment, ce qui le fit tomber. Il se releva en vitesse et vit la colère qui commençait à envahir l'expression de la prostituée.

Angeline, complètement énervée. - Mais c'est quoi votre problème !? Elle s'approche du flic. Quel est le mal à se donner du plaisir !? Si il aime ça hein !? Parce que moi j'aime ça, ça me fait vivre ! Et je l'assume ! J'aime me faire percer le minou, ça pose un problème !? Alors quel est le mal à gagner un peu d'argent en contrepartie !? Mêler l'utile à l'agréable ! C'est une atteinte à la dignité humaine !? Comme si VOUS me traitiez comme un être humain alors qu'en vérité j'ai juste le droit de fermer ma gueule et de subir vos jugements de merde !  Oh mais il y a les MST, les abus, les meurtres et patati et patata ! Oh bah si vous essayiez d'améliorer notre cas au lieu de nous enterrer, je ne serai plus obligé de le faire en pleine rue, et là les MST et les abus se réduiraient fortement, et là on irait mieux !  Mais non ! MAIS NON !!! Vous êtes entêté et complètement à coté de la plaque ! Vous dites vouloir nous aider, mais même une balle dans le bide m'aiderait mieux que ce que vous faites actuellement ! Vos arguments valent que dalle ! Ils nous font même passer pour de faibles victimes sans défense, vous nous faites du mal ! Vous me faites du mal...
Maxime. - Angeline...
Angeline. - MERDE !!! Je vous dis merde !!! Elle pleure. Je vous hais !!! Je souffre à cause de vous !!! Si je crève, ce ne sera pas de la faute à mes clients ou des Mafieux, mais de la votre ! Merde ! MERDE !!! MEEEEEEEEEEEEEERRRDDEEEEE !!!!!!!!!

Elle se casse la voix. Maxime la prend dans ses bras. John est touché par ce discours.

John. - Désolé...

Il s'en va, silencieux.


Dernière édition par WAF le Lun 1 Aoû - 17:46, édité 1 fois
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MessageSujet: Acte I, scène 8   Paf le chien - Page 10 Icon_minitimeDim 31 Juil - 14:59

Léa, Ai, Julia, Cyril, Romeo, Robert, Jackie, Shiho Miyano, Jack, Charlie

Léa, Ai et Julia sont assises à une table tandis que Cyril, Romeo et Robert sont assis à la table voisine. Jackie est à son bureau en train de pianoter sur son ordinateur, et Shiho Miyano lit un livre toute seule sur une petite table. Léa est un peu mélancolique et ses deux amies tentent de lui remonter le moral.

Julia, avec un sourire de chat et les yeux clos. - Well, tu nous avais dit que ton teacher avait un faible pour cette miss, finally l'inverse vient de se confirmer.
Ai, riant un peu nerveusement. - Julia, je ne pense pas que c'est ce qui va la consoler.
Léa. - Non Ai elle a raison, elle retrouve sa bonne humeur habituelle, ça devait arriver, mais ce n'est pas pour cela que c'est perdu, Prof Maxiou ne m'abandonnera pas et je serai quand même là pour lui. Elle tape du poing sur la table. Et j'en fait le serment !
Jackie, se tournant vers Léa. - Hé, pas de ça ici, on est pas dans une basse cour !
Léa. - Oups désolée !
Jackie, prenant un air chaleureux. - Ne t'en fais pas, je sais que vous n'êtes pas comme la majorité des élèves vous 3.

Mr Chan retourne à son occupation et Léa met ses écouteurs pour écouter The Last Night de Skillet. De son coté, Romeo a écouté leur conversation et il réajuste son bonnet pour préparer son prochain plan.

Romeo, se tournant vers ses potes. - Bon les gars, vous avez suivi ce qu'elles ont dit ?
Robert, planant complètement. - Non là bro je suis ailleurs, je ne serai pas disponible avant la prochaine heure.
Romeo, regardant Cyril. - Et toi Cyril ?
Cyril, matant Ai et étant perdu dans ses pensées. - Ouais... Il se reprend et se tourne vers l'aventurier en rougissant fortement. Je veux dire ouais j'ai un peu suivi ce qu'elles ont dit, je crois que Léa est un peu triste que notre prof de CAV se soit mis avec ta prof de français, c'est bien ça ?
Romeo. - Ouais, il lui tire l'oreille, sauf que ça c'était il y a 10 minutes mon petit, mais je sais à quoi tu pensais !
Cyril, devenant rogue comme une tomate. - Je ne vois pas de quoi tu parles !
Jackie, levant la voix. - Moins fort vous là-bas ! Il murmure à voix basse. Ils ne peuvent jamais être calme ces trois là.
Cyril, se baissant un peu, très gêné. Tu dois t'imaginer des trucs, maintenant laisse moi seul en silence s'il te plait.
Romeo, passant la main sur son bonnet. - Même pas en rêve vieux, je ne vais pas te lâcher.
Cyril, râlant intérieurement. - Mais pourquoi ?
Romeo. - Parce que tu es mon ami, et j'aide toujours mes amies quand ils sont dans le pétrin.
Cyril. - Donc tu ne me lâcheras pas c'est bien ça ?
Romeo. - C'est bien ça.
Cyril, soupirant. - Alors dis moi tout, je t'écoute.
Romeo, se chauffant la voix. - Tu as le béguin pour Ai depuis l'année dernière, ça se voit comme un nudiste en Syrie, et donc tout le monde le sait.
Cyril, encore plus embarrassé. - Tout le monde...
Romeo. - Mais tu fais ta chochotte en étant près d'elle, et tu n'as jamais osé vraiment te rapprocher d'elle, te disant surement que ça ne marchera jamais puisque tu as presque 10 ans de plus qu'elle. Mais il ne faut pas se laisser abattre, crois moi.
Cyril. - Comment pourrais te croire ?
Romeo, jouant avec son bonnet sans l'enlever. - Disons que mon instinct de chasseur de femmes me dit qu'elle a aussi le béguin pour toi, mais le seul moyen de le savoir, est d'aller lui parler, faire connaissance, tu vois le genre ?
Cyril. - Mais comment faire ?
Romeo. - Hé bien justement je vais te l'expliquer, donc écoute moi bien et sois attentif. Tu es près ?
Cyril, se concentrant. - Je le suis.
Romeo. - Tout d'abord...

Shiho Miyano se lève pour reposer le livre à sa place mais elle se rend compte que l'espace est maintenant comblé par Jack.

Shiho Miyano. - Tu fais quoi là toi ?
Jack, toussant fortement. - On m'a craché dessus, et je crois que j'ai attrapé la crève.

Shiho part voir Jackie pour lui parler.

Shiho Miyano, clignant beaucoup des yeux. - Je viens de voir un élève en train de sangloter dans l'espace où j'ai pris ce livre, je fais quoi ?
Jackie. - Ah laissez le là, ce doit être juste Jack, lui et Charlie font la paire !
Charlie, caché sous le bureau. - Hé ! Personne ne doit savoir que je suis là !
Shiho Miyano, sans expression faciale. - OK.

Elle pose le livre sur le bureau et quitte le CDI. Cyril se lève ensuite de son siège et s'approche de la table des filles puis il s'arrête.

Cyril, suant à grosse goutte. - Salut Ai.
Ai, avec son sourire angélique. - Salut Cyril, ça me fait plaisir que tu viennes me parler.
Cyril, avec de la fumée s'échappant de ses oreilles. - Je... Il bégaie. Je... Je suis... Je suis...
Léa, se levant. - Bon Julia, je viens de me souvenir que j'avais un truc à faire avec toi, viens avec toi !
Julia. - What ?

Léa entraîna l'américaine avec elle hors du CDI de façon très rapide et précipitée. Ai remarque la gêne de Cyril.

Ai. - Tu peux t'asseoir juste à coté de moi tu sais ?
Cyril, au bord de l'explosion. - OK, OK, OK...

Il écouta et prit place à ses cotés, c'est alors qu'elle pose ses mains sur les siennes.

Ai, avec une voix très douce. - Calme toi, respire Cyril.

Cyril est envoûté par cette voix et il essaye de calmer son stress, Ai rigole en voyant ça.

Ai. - Voila, je te préfère comme ça que en étant une tomate, mon cher Cyril.
Cyril, essayant de ne pas revirer au rouge. - Je vais essayer de ne plus être une tomate, je... Je vais rester comme je suis.
Ai. - De toute façon, je t'aime comme tu es.
Cyril. - Tu... tu m'aimes ?
Ai. - Oui. C'est juste que ma mère me disait tout le temps que c'était le garçon qui devait faire le premier pas, et comme j'ai vu que tu semblais être aussi amoureux de moi, j'ai attendu. Finalement j'aurais peut être dû y aller en première vue le temps que tu as mis pour y arriver, mais tu es arrivé, donc finalement tout va bien.
Cyril. - Oh moins y est arrivé.
Ai. - C'est ça oui.

Ils rigolèrent tous les deux, un peu gêné par tout ce temps perdu pour un rien. Romeo se lève discrètement de sa chaise pour aller à l'entrée du CDI.

Cyril, se grattant la main gauche. - Et maintenant, c'est on doit s'embrasser, ou c'est trop tôt ? Je ne sais pas, c'est ma première fois.
Ai. - A moi aussi, donc je ne sais pas, mais on pourrait essayé, on a peut être déjà assez perdue de temps, et on verra bien si c'est bon.
Cyril. - Oui tu as raison, allons y.
Ai. - Allons y.

Il s'approchèrent maladroitement leur visage et réussir à s'embrasser après une première tentative ratée. Romeo et Léa regardèrent cela depuis l'entrée, et elle sauta sur place en étant très contente.

Léa. - Ça y est ça a marché !

Elle s'arrête de sauter et fait un bref baiser au charmeur à ses cotés, ce dernier s'en va ensuite, victorieux et fier d'avoir eu aussi le droit à sa part lui aussi. Léa commence à verser des larmes et posant un regard nostalgique sur eux.

Léa. - Ça me rappelle ma sœur et son ami, ils étaient mignons tous les deux, même Thomas le trouvait aussi... Elle lève les yeux. J'espère que vous voyez ça de là haut, et que vous êtes fier de voir ce que j'ai réussi à accomplir.

Elle quitte la scène, pour de vrai cette fois ci.
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MessageSujet: Re: Paf le chien   Paf le chien - Page 10 Icon_minitimeLun 22 Aoû - 19:39

16 Août 2016

Etats Unis; New Raccoon City; Base Avengers

Le soleil s'apprêtait à se coucher sur New Raccoon City, alors qu'une journée bien chargée en mort se terminait, une nuit tout aussi éprouvante s'annonçait.
Dans le Hangar de la Base des Avengers, Gilbert Montagné s'apprêtait à entrer dans l'avion furtif et à taille variable suivant les RP, je veux bien sur parler du Whiteturtle.
Mais une voix qu'il connaissait bien, même très bien d'ailleurs, l'appela par son nom et l'empêcha d'entrer à bord de l'engin volant.
Elle venait d'Albert Wesker, le 47ème Président des Etats Unis qui était bien parti pour entamer un second mandat vu que sa popularité était élevé suite à sa victoire face au 4ème Reich d'Hydra, notamment avec des Avengers dont il est membres, et ses derniers aussi ont bonne réputation auprès des citoyens américains. Et même ceux du monde entier, sauf en Islande, mais tout le monde s'en fout de l'Island, pas vrai ?
Bref, Wesker était accompagné de sa garde rapprochée, tous des Jean-Jacques sauf Helena Harper qui pour une fois était à sa place car d'habitude elle trouve toujours une excuse pour ne pas avoir à protéger Wesker qui n'apprécie guère. Elle préférait largement son prédécesseur dont tout le monde a oublié le nom.
Le Scatophile s'arrêta dans sa course et regarda l'aveugle qui s'était retourné droit dans ses lunettes avec les siennes.

Albert : Gilbert, stop !

Gilbert : Désolé Wesker, j'ai un allié à aider, et c'est une mission d'assassinat alors...

Albert : Et tu ne comptes pas m'emmener !?

Tout le monde fut étonné de sa question, ce fut Helena qui gueula en premier.

Helena : Mais ça ne va pas la tête !? Vous avez un rendez vous avec l'Empereur Akihito dans 30 minutes !

Albert : Oh il peut attendre !

Helena : Mais vous êtes con ou quoi !?

Gilbert : J'accepte avec plaisir Whisky !

Helena : Oh putain je laisse tomber !

Albert : Tape la mon pote.

Deux mains s'entrechoquèrent avec des rires, il n'y avait que les 4 membres de l'USSS qui ne rigolaient pas et qui cherchaient à savoir ce qu'ils foutaient là.
Gil relâcha un peu son Best Friend (Après Holt Valentine bien sur ^^) et il se tourna vers ses gardes du corps.

Gilbert : On fait quoi d'eux ?

Albert : Oh j'ai juste besoin d'Helena.

Il sortit son Samurai Edge et colla une balle dans les têtes des trois agents masculins, ne laissant que la femme en vie. Cette dernière fut paralysée par la peur mais il se ressaisit vite et s'emporta contre le Président.

Helena : Mais ça va pas bien dans votre tête !? Pourquoi vous les avez tué !?

Albert : Oh merde désolé, sale habitude pardon !

Helena : Mais...

Albert : Ta gueule, j'te paye pas pour me parler mais pour me torcher, alors viens !

Elle n'avait pas le choix, c'était son boulot de le servir après, mais il y avait des jours comme ça où elle regretta de s'être engagé dans ce boulot, certes bien payé. Et heureusement d'ailleurs !
Une fois tout le monde embarqué, l'appareil démarra et la plateforme sur laquelle il se trouva commença sa montée sous le regard d'Ada Wong qui se tenait en silence depuis quelques minutes à l'entrée et qui glissa une phrase pour elle même avec un petit sourire.

Ada : Des vrais gamins.

Elle s'en alla ensuite pour aller retrouver Léon qui était parti en avance pour retrouver Henri Petrick et sa fille à l'hosto où ils étaient soignés de leurs blessures.
Le plafond s'ouvrit pour permettre à l'avion de décoller. Mais au passage, plusieurs joueurs de foot américain tombèrent dans le trou qui se forma et quelques uns moururent de la chute, et d'autres eurent des membres cassé.
Car oui en effet, le Hangar se trouvait juste en dessous du Stade de la Ville, pour des questions de pratique.
Les commentateurs sportifs s'emballèrent et al foule se mit à acclamer les Avengers, en s'en branlant complètement des morts, c'était monnaie courante dans le coin.
Une personne dans le public sortit un petit miroir de sa poche pour se regarder dedans à ce moment là, vous aurez reconnu qui c'est.
Il regarda ensuite le Whiteturtle s'en aller dans le ciel orangé et il sourit.

Nick : Courage Avengers, empêchez que ce qui est arrivé à ma femme, arrive à d'autres personnes.

L'Inspecteur, qui était en dehors de ses heures de travail, espérait que son souhait soit exaucé. Nous verrons bien.
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MessageSujet: Asile d'Arkham Patient N°1 : Le Joker   Paf le chien - Page 10 Icon_minitimeMer 21 Sep - 17:36

Nom : Le
Prénom : Joker
Genre : Je suis vraiment obligé de préciser !? Ah ah ! ^^
Date de naissance : Le siècle dernier. =)
Âge : Vous me donnez quel age ? :-)
Groupe sanguin : Ah ah !
Taille : Franchement, entre nous, est ce que ça intéresse vraiment quelqu'un de savoir ma taille ? Vous voulez me relooker !? Hé hé hé hé ! XD
Poids : C'est une surprise ! ^_^
Nationalité : Je les ai toute ! =D
Cheveux : Verts, vous voyez que je peux faire un effort quand je veux ! X-)
Yeux : Approchez pour voir ! Wink
Groupe : Mettez Tricell, pour le LOL comme le disent les jeunes ! ^^
Occupation (job) : Clown, ça parait évident, non ? :=)
Caractéristiques : Je sais faire des pitreries, demandez à Jason Todd ! ^v^
Physique : Beau, élégant, charmant... Enfin c'est ce que me dit tout le temps Harley. ;=D
Arme favorite : Oh vous savez, moi, tant que ça pête et que c'est fendard ça me va ! =-)
Pire ennemi : Comment ça, Batman !? Vous vous moquez de moi j'espère !? Batou, c'est mon meilleur pote ! Non, mon nemesis, c'est cet enfoiré de Superman bien sur !
Caractère : Drôle, ça se voit non !? =-D
Histoire : J'étais un petit enfant d'une riche famille, mais mes parents sont morts sous mes yeux quand j'étais jeune... Ah ah ah !!! Je vous ai eu !
Personne sur l'Avatar : Bah c'est moi !


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MessageSujet: Re: Paf le chien   Paf le chien - Page 10 Icon_minitimeDim 25 Sep - 19:07

26 Septembre 2016



Maubeuge; Chez Eyto Ikeda



Eyto était comme d'hab en train de continuer d'écrire la suite de sa fiction chérie, intitulée Delta, il en était déjà au 131ème chapitre, hé oui quand même.

Son petit ami, Jean-Bob Ikeda était déjà allé se coucher depuis 1 heure car il était déjà minuit passé, hé oui !

Qui était Jean-Bob ? Oh juste un membre lambda de la famille Ikeda complètement fictif que tout le monde peut utiliser sans problème que ça l'arrange car pas besoin de lui demander une permission.

Mais revenons à ce bon vieux Eyto qui venait de se retrouver bloqué à un passage tout con de sa fiction. Et de façon tout aussi naturel qu'un sèche cheveu dans une baignoire, il se mit à causer à voix haute pour exprimer ses pensées.

"Ah la la la la la !! Mais que vais je bien pouvoir mettre dans ce passage !?"

Autant dire que son jeu d'acteur était un savoureux mélange entre Nicolas Cage et Gérard Depardieu, je vous laisse imaginer cela.

Le passage qui lui posait problème était celui ci :

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MessageSujet: Re: Paf le chien   Paf le chien - Page 10 Icon_minitimeSam 22 Oct - 7:54

Pendant ce temps dans le XIIIème Arrondissement de Paris, un beau sniper se promenait tranquillement, le fusil au dos tel un cartable, près du Square René-Le Gall avec sa tenue top discrétion. Pour autant, personne ne le remarqua, dû personne avec un nom, car une jeune fille en chaperon rouge l'interpella en le reconnaissant alors qu'elle était assise sur un banc à attendre inattendu.
Ces deux personnages s'étaient déjà côtoyé en venant dans cette ville, ça leur fit plaisir de se revoir, surtout après les boom boom d'avant.
Mais une question les démangeaient, et ce fut Deadshot le plus rapide à la pose.

Floyd : C'était toi le coup des deux bombes ?

B. B. Hood : Non je pensais que c'était toi.

Floyd : Ah non moi, c'est mon fusil ou rien ,et d'ailleurs je l'aurais eu si la première bombe m'avait distraite.

B. B. Hood : Moi j'ai à peine eu le temps d'arriver quand ça a pété.

Floyd : Tu comptes faire quoi maintenant ?

B. B. Hood : Attendre que ça se dissipe pour me remettre à la poursuite de la cible, je doute qu'elle soit morte là bas.

Floyd : Bien, moi je rentre, je considère mon contrat quand clos.

B. B. Hood : OK, salut et sois prudent sur le chemin.

Floyd : D'ac !

Il continua son chemin, la laissant patienter toute seule.
Non loin de là, dans le XIVème Arrondissement, devant l'entrée des Catacombes de Paris, les Haïtiens étaient en marche. Ils avaient formé des petits groupes de trois après avoir quitté leur véhicules, et ils se rendaient séparément vers la scène de crime.
Ils croisèrent sur le chemin encore quelques civils qui fuyaient l'endroit vers lequel ils se dirigeaient, ce qui voulait dire qu'ils étaient sur la bonne voie et qu'ils n'allaient pas tarder à croiser leur premiers ennemies.
Le groupe de Shamouchou fut justement celui qui tomba sur le premier zombi, alors que la brume était visible au bout de la rue où ils étaient, car il faut dire que celle s'était répandu à plusieurs routes à la ronde, c'était un carnage. Ils ne s'étaient pas équipés de masque à gaz car pas besoin, ils ont le soutient Mawu pour leur quête d'assassinat, et ils étaient désormais immunisé au Virus C. C'est parfaitement logique.
Le Chef des Mercenaires voulait être le premier à lancer les hostilités, c'est pour cela qu'il s'approcha du zombi avec sa machette tout en causant à ses camarades.

Shamouchou : Aujourd'huidui avec la bénédiction de Sakpata, j'vais renvoyer cette âme défunte là où qu'là elle doit être !

Il asséna un coup verticale qui s'enfonça dans le crane du mort puis il lui foutu un coup de pied pour retirer son arme de la boite crânienne et faire tomber sa victime. Malheureusement, l'effet ne fut pas celui espérait, car la créature s'embrasa pour se transformer en Bloodshot, plus rapide et agressif.
Et un poil plus résistant, même si il eut dû mal à résister au coup que lui porta le Chef quand il se releva, il en perdit même la tête, le faisait rejoindre l’au-delà.

Shamouchou : Voyez mes Fréro Delavega, j'ai accompli l'accomplable !

Des rugissements se firent alors entendre, d'autres créatures semblables a celle vaincue sortirent du brouillard bleuté pour attaquer les mercenaires.
Au même moment le bruit d'un hélico se fit entendre au dessus d'eux, c'était celui du BSAA qui arrivait sur les lieux, en dernier, mais c'est gentil quand même de passer.
A l'intérieur, ils s'étaient tous équipés de masque pour ne pas respirer le Virus C, et ils étaient prêt à affronter un bestiaire qu'ils connaissaient bien, ils avaient déjà eu à faire à ces bestioles.
L'Uomo en tête du groupe était en position pour ouvrir les portes et sortir accomplir leur mission, il adressa quelques mots à son équipe avant ça.

Parker : Notre but est de neutraliser la menace bioterroriste, découvrir l'auteur de celle ci et si possible, sauver les civils.

Tout à coup, des turbulences dans l'appareil. Le copilote arriva alors ne panique.

Copilote : Le pilote a fait un infarctus !

Parker : Mais perché ils crèvent toujours ces cons !?

Aucune réponse, l'appareil vola tout droit vers l'immeuble qui n'avait pas encore mangé cher et se crasha dans le 4ème étage, détruisant tout sur son passage.
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MessageSujet: Re: Paf le chien   Paf le chien - Page 10 Icon_minitimeDim 23 Oct - 22:25

A l'extérieur, une Ford Ranger 3, avec à son bord l'Inspecteur Bob Freeman de la Criminelle qui n'était pas en service comme pour son partenaire. Il était en train de se griller une Winston tout en écoutant Ma beauté du Maître Gims avec ses écouteurs sur ses oreilles. Il attendait le retour de quelqu'un, et on pouvait bien se demander qui.
C'est alors qu'il vit un gros 4X4 gris arriver et s'arrêter devant l'hôtel, puis 4 Russes en sortir, en discutant entre eux dans leur langue natale, ils semblaient en colère et près à se battre, puisqu’ils avaient arme dehors.
Heureusement que personne n'était de sortie dehors, ça permettait de faire un massacre sans problème, ils le savaient, Ailein aussi l'avait su, et Bob le sait.
C'est pour cela qu'il affichait un petit sourire sur son visage avant d'ouvrir la portière pour aller leur toucher deux mots.
ce qui était sur, c'est que les cadavres de Kenny et du Concierge n'allaient pas rester seul bien longtemps.
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MessageSujet: Re: Paf le chien   Paf le chien - Page 10 Icon_minitimeMar 25 Oct - 14:33

Le brouillard s'était répandu dans sa tête, mais l'italien parvint à ne chasser à surmonter son inconscience pour se réveiller dans l'épave de l'équipe avec lequel ils étaient venus ici. Il s'accrocha à la parois en se relever pour ne pas retomber et ils contempla tous les corps autour de lui d'un air contrarié car encore une fois il était le seul survivant de son équipé.
Mais non, ça n'allait pas se passer comme ça cette fois ci ! Il toussa un petit coup avant d'en gueuler un plus grand.

Parker : Alzatevi ! Sinon je vous encule tous jusqu'au dernier !

C'est marrant puisque d'un coup tous sauf le copilote et le pilote se relevèrent car ils avaient fait sembler de dire qu’ils étaient morts !
Ils se mirent tous au garde à vous, avec leurs drôles de masques à gaz attachés à leur visage qui n'avaient miraculeusement pas cassé avec le crash. Leur Capitaine leur fit savoir alors le prochain ordre.

Parker : Lasciamo questo elicottero !

Soldats : D'accordo capitano !

Ils quittèrent ce qui restait de leur appareil, et les 10 soldats du BSAA purent enfin fouiller le sol bien sale du 4ème étage de l'immeuble où il avait atterri, et où le brouillard menaçant ne se répandait pas encore jusqu'ici malgré le gros trou qu'il y avait maintenant dans le mur.
Néanmoins autour d'eux, les anti-bioterroristes purent voir les ravages de leur intervention qui consisté en une trentaine... Non, une quarantaine de cadavres de diverses espèces, répandus sur le sol, la plupart en hachis ou crêpe après ce qu'ils venaient de se prendre.
Mais miracle ! Il y avait des survivants !
A savoir Nick, Charlie, Anne, Lucie, Frank et Marchenko. Ce fut ne faisait pas non plus masse de gens si on comparait au tas de macchabées juste à coté.
Parker s'approcha de ceux qui étaient les plus proche de lui, à savoir Charlie et Nick, pour s'adresser à eux.

Parker : Tout va bien, aucun blessé ?

Nick : J'ai rien de cassé.

Charlie : Moi non plus, mais la prochaine fois soignez votre entrée en scène !

Anne : Ma copine a la jambe broyé !

Lucie : C'est rien, je vais m'en remettre, même si ça fait un mal de chien putain !

Parker : Antonio, va chercher une trousse de soin pour soigner la dame !

Antonio : Ça marche capitano !

Parker : Othello, amène les des masques pour éviter qu'ils se transforment quand le gaz viendra !

Othello : Si mio capitano !

Le Capitaine attendit le retour de ses deux hommes en regardant l'homme au crane de mort posé sur son tee shirt, sa gueule lui disait quelque chose, il avait déjà dû le voir quelque part.

Parker : Hé, t'es pas ce justicier américain qui sauve al veuve et l'orphelin des méchants en leur massacrant la face façon Rambo ?

Frank : Oui, c'est surement moi.

Parker : je suis ton plus grand fan !

Il se précipita sur lui avec un bout de papier et un stylo.

Parker : Tu peux me signer un autographe au nom de Parker Luciani, grazie mille !

Le lieutenant de la Brigade Criminelle avait envie de se facepalm en voyant cette scène insolite.
Entre temps dehors, Shamouchou et ses deux gars avancèrent, triomphant à chaque Bloodshot croisé, et ils arrivèrent finalement à l'intérieur du brouillard. Et miracle, ils ne se transformèrent pas en zombie, leur connerie de croyance avait fonctionné.
Finalement ils tombèrent sur un groupe de zombinous trop choupinous, une dizaine, et au sein de ce groupe se trouvait un Shrieker avec sa grosse bouboule à la gorge qui poussa un cri pour stimuler les autres autour de lui.
Et ce que les mercenaires ne savaient pas, c'est que le hurleur en question était l'ami Jonathan de Paul, qui n'avait donc pas survécu au coup des bombes, dommage pour lui.
Notre Chef Haïtien monta sur un voiture et pointa de la machette le point faible de la créature.

Shamouchou : Celui qui boubalagomolle ce fils de lala, aura le droit à wamalik dans la voiture !

Ses deux hommes se mirent à mitrailler dans le tas et ils réussirent à détruire la gorge du monstre, ce qui le fit pousser un hurlement encore plus fort qui explosa la tête de tous les zombies au alentour. C'était encore une victoire pour eux.

Shamouchou : Allons narguer ah oui narguouais ce Naroux !

Il descendit de son estrade improvisé et repartit à l'aventure, s'approchant dangereusement de l'immeuble qui voulait être un peu en paix, le pauvre.
Justement en parlant de lui, attardons nous aux faits et gestes de Paul Duquart toujours bloqué dans sa voiture non loin de l'endroit où tout se passait. Cependant il avait marre d'attendre, et il remarqua que la mec qui s'était encastré n'avait pas fissuré son masque et que qu'il était à portée de main puisqu'un trou de sa taille s'était glissé dans la pare-brise.
L'Agent de la DGSE se décida à se reprendre en main et il arracha le masque au mort, en évitant que celui ci soit ensuite au contact au Virus C sinon ce serait compromettant. Maintenant qu'il avait l'objet en sa possession, il s'en équipa.
Il sortit alors de sa ceinture le pistolet qu'il allait ramassé dans la boite à gant juste avant, un Glock 26 de bonne qualité. C'était le moment, le moment de prendre les choses en main.
Il actionna la poignet de sa portière et l'ouvrit en grand avant de sortir et de la refermer derrière lui. Il vérifia ensuite les environs, certes la champ de vision s'était agrandi depuis peu dans cette brume intense mais on y voyait encore pas grand chose. Néanmoins il pouvait dire que pour le moment il ne semblait y avoir aucun danger.
C'est pas pour autant qu'il se reposa sur ses lauréats, surtout quand des bruits de pas de firent entendre au Sud, la nouvelle direction où il pointa son arme.
Était ce le gros lard qui revenait ? Non c'est pas assez sourd pour être lui.
Une silhouette commença à se dessiner, se révélant être... Un chanteur au doux nom de Gilbert Montagné qui passait par là comme par hasard.
Paul qui reconnut le tronche du people, baissa son arme, mais il resta circonspect par une chose qu'il remarqua rapidement et qui l'intriguait.

Paul : Comment ça se fait que vous ne vous transformez pas alors que vous êtes au contact du gaz et sans masque ?

Gilbert : Ah ça !? Loooooongue histoire, ça remonte à ma naissance car voyez vous, je...Attention derrière vous !

Paul ressentit un danger se glisser dans son dos, c'est pour cela qu'il fait un coup de pied retourné qui balaya le chien zombi qui avait essayé de la niquer, et l'envoya s'écrasa contre la voiture, le tuant sur le coup.
C'est ce qu'on appelait un beau coup dans le jargon. Ceci fait, retour à la conversation.

Paul : Vous devriez vous casser d'ici Monsieur Montagné, c'est pas vraiment le meilleur endroit où se promener.

Gilbert : Ouais je sais, mais je cherche une amie qui s'est perdue, une japonaise, vous ne l'auriez pas vu ?

Paul : Non j'ai pas vu une japonaise, par contre je suis là pour attraper un dangereux japonais.

Gilbert : Ah bon !? Qui ça !?

Paul : Bah justement lui là qui tente de passer sans qu'on le voit.

Il pointa du doigt en effet le fugitif en mode Splinter Cell dans ce brouillard qui n'allait pas tarder à se dissiper. Sauf que là) il venait de se faire voir, et en plus de ça, l'aveugle le reconnut.

Gilbert : Naru, nos chemins se croisent à nouveau !

Il s'approcha de façon menaçante vers ce dernier mais finalement décrocha un sourire et lui tendit sa main en se marrant.

Gilbert : Qu'est ce que tu deviens depuis notre aventure à la Maison Blanche ?

Il attendit sa réaction et surtout sa réponse.


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MessageSujet: Rapport du Légiste John McNistown : Clara Lille   Paf le chien - Page 10 Icon_minitimeVen 4 Nov - 10:04

Nom : Lille
Prénom : Clara
Surnom : BadBoy17
Genre : Femme
Date de naissance : 1985
Date de Décès : 2013
Cause de la Mort : Poumons Touchés par deux projectiles, suffocation.
Âge : 28 au moment de sa mort.
Groupe sanguin : AB-
Taille : 1M79
Poids : 61 Kg
Nationalité : Canadienne (Québécoise)
Cheveux : Bruns, reflets blancs
Yeux : Bleus-Gris Foncés
Groupe : ???
Occupation (job) : Membre DedSec
Caractéristiques : Hackeuse Professionnelle.
Physique : 0101010101010101
Arme favorite : Son Smartphone Infinix
Pire ennemi : Censure
Caractère : 010000000000000000010
Histoire : 010001000001010000100010001F0000000001110000011A000000000111111
0000011K0000000000000111010101E0000101010101D000100101E00010010
1A01010101010101T00001010101H0001001010101010101
Personne sur l'Avatar : Elle-même.
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MessageSujet: Rock & Roll Guys !   Paf le chien - Page 10 Icon_minitimeJeu 10 Nov - 23:50

Nom : Ryman
Prénom : Kevin
Genre : Mec
Date de naissance : 12 Août 1967
Âge : 49 ans
Groupe sanguin : A+
Taille : 1m82
Poids : 89 kg
Nationalité : Américaine
Cheveux : Bruns
Yeux : Bruns
Groupe : STARS
Occupation (job) : Major STARS Police New Raccoon City
Caractéristiques : Très Bon Tireur
Physique : Carrure plutôt athlétique, le reste sur la photo.
Arme favorite : Colt 1911
Pire ennemi : Bioterroristes
Caractère : Toujours optimiste et gai, ce qui peut lui jouer des tours.
Histoire : Il fait parti des rares survivants de l'Incident de Raccoon City, et il a fait parti d'un groupe de 8 d'entre eux qui durent se serrer les coudes durant leur périple en aidant plusieurs autres survivants dans la ville déchue. Suite à ce drame, leur chemins se sont séparés mais ils gardent quand même contact pour se revori de temps à autre. En 2016, il est désormais marié à Rita, une flicarde de 10 ans dem oins que lui qu'il a connu à l'époque et qui a aussi survécu au drame, et ensemble, ils otn eu une garçon, Victor. Mais comem celui voulut devenir uen femme, il devitn par la suite Butrina. Suite aux évènements du 1 Octobre de cette année, une place s'est libérée dans les STARS de New Raccoon City, et Kevin a saisi cette occasion pour enfin réaliser son rêve, en faire parti...
Personne sur l'Avatar : Lui Même
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MessageSujet: Re: Paf le chien   Paf le chien - Page 10 Icon_minitimeVen 11 Nov - 21:55

Ailein avait un petit creux et elle avait hâte de manger un peu de barbe à papa, mais bizarrement elle avait la drôle d'impression qu'ils n'allaient pas du tout vers un stand pour en acheter. Non ils étaient plutôt en train de se rendre dans un endroit peu fréquenté, comme ils allaient faire des choses pas très sages.
C'est alors qu'arriver au niveau d'une impasse, sans pouvoir rien faire, elle se fit attraper par derrière par un inconnu, et un autre vint de devant, tout fier. Ils semblaient connaître ses parents, et c'était réciproque. Elle tenta d'hurler mais un chiffon fut placé dans sa bouche pour l'empêcher d'émettre le moindre son.

Homme : Bien joué Vector.

Vector : De rien Grim Reaper.

Rachḗl : Calme toi ma puce, laisse toi faire !

Náthan : Vous savez ce qui reste à faire HUNK.
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WAF
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MessageSujet: Ma fiche.    Paf le chien - Page 10 Icon_minitimeSam 12 Nov - 22:44

Nom : Miyano
Prénom : Shiho
Genre : Femme voyons !
Date de naissance : M'en rappelle plus.
Âge : De même.
Groupe sanguin : 0+
Taille : 1m69
Poids : 55 kg
Nationalité : Japo-franco-américaine
Cheveux : Auburn
Yeux : Bleus-verts
Groupe : Tueur à Gage
Occupation (job) : Avengers et d'autres trucs.
Caractéristiques : Très bonne chimiste; peut se métamorphoser en canne et d'autres trucs.
Physique : Très Belle, tout ce qui a à savoir.
Arme favorite : Moi même.
Pire ennemi : Aucune idée, il y en a tellement. Ah oui, un nom de code, Gin.
Caractère : De quoi je me mêle !?
Histoire : Vous la connaissez, elle est décrite dans les FIC et RP.
Personne sur l'Avatar : Moi.
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MessageSujet: Re: Paf le chien   Paf le chien - Page 10 Icon_minitime

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